Jean Luc Hees

et de relation avec une de ses collaboratrices. Le lendemain, l’humoriste assure avoir subi des remontrances de la part de la direction de France Inter à propos de sa chronique de la veille. Le PDG de Radio France Jean-Luc Hees, tranchera : Il est licencié. Pour se justifier, M. Hees affirme «Quel patron d'une grande entreprise accepterait de se faire insulter par un de ses salariés sans le sanctionner. J'ai un certain sens de l'honneur et je ne peux accepter que l'on me crache dessus en direct»

mais pas avec n'importe qui - est souvent avancée, mais elle ne résout pas le problème. "L'attaque au faciès" (Alain Minc à propos de Guillon) est soupçonnée d'être le fait d'ironistes médiocres, voire dangereux. Le président de Radio France, Jean-Luc Hees, se réfère à l'histoire française pour présenter l'attaque personnelle fondée sur le physique de la personne comme attentatoire à la morale républicaine (Le Monde, 2 avril). Ces débats posent la question des contours du phénomène général que

vais devoir me passer de cette différence… Mercredi 23 juin 2010 restera comme un jour funeste dans les mémoires. Philippe Val, ancien rédac-chef du très politiquement incorrect Charlie Hebdo et fraichement nommé à la tête de France Inter, et Jean-Luc Hees, patron de Radio France désigné par Nicolas Sarkozy, ont versé la goutte qui a fait déborder le vase. Et il leur faudra une sacré éponge pour nettoyer. Après avoir présenté la grille 2010-2011 des programmes qui se voit amputée d’excellentes émissions

pour SG car, étant lui même comédien et chroniqueur sur la même station, il considère que l'humour ne doit pas avoir de barrière et que les propos de SG sont pardonnables dans le sens où il s'agissait là d'humour. Dans le dernier texte c'est Jean-Luc Hees, directeur de Radio France, qui donne son avis dans le journal «Le Monde» et dénonce les propos injurieux de SG, considérant que les barrières de l'humour sont celles de la décence. Besson : il considère les propos de SG comme diffamatoires

l'humoriste en soulignant ses "dérives" et qu'il "faudrait réfléchir à la responsabilité de France Inter comme radio publique" alors qu'il n'a pas entendu la chronique et qu'il s'appuie sur des SMS envoyés par des amis. Le président de Radio France, Jean-Luc Hees "présente les excuses du groupe" à Éric Besson. Il revient sur l'attaque physique du ministre ne lui paraissant "pas conforme aux valeurs du service public" et ajoutant que "les critiques sur le physique des personnes n'ont pas lieu d'être sur

Sylvain Jaffré, délégué à la production et à l’antenne de France Culture a indiqué que la suppression de la retransmission de la liturgie de Noël orthodoxe était un choix du directeur de France Culture, Olivier Poivre d’Arvor, en concertation avec Jean-Luc Hees, président directeur général de Radio France », affirme le Service de presse orthodoxe. La nouvelle n’a pas fait réagir seulement les auditeurs traditionnels de cette retransmission, orthodoxes éloignés d’un lieu de culte ou dans l’incapacité

de... » à 7 h 55 du lundi au mercredi dans Le six trente dix sur France Inter. En effet, celle-ci a été supprimée par Jean Luc Hees, président de R adio France à cause des polémiques créées par les chroniques particulièrement satiriques de l’humoriste. Il a notamment fait des chroniques sur des personnalités comme Martine Aubry, Dominique Strauss Kan, François Bayrou, ou encore Luc Chatel. Le 22 mars 2010, Stéphane Guillon consacre sa chronique du jour à Eric Besson, qui était au moment des

dans le journal Libération ; le second aussi, publié le 27 mars, « La réaction de Besson est démesurée », interview de François Morel ; et le troisième, extrait du quotidien le Monde, « Je persiste et signe : l’humour a ses frontières », par Jean-Luc Hees, le 1er avril. Dans ces conditions, on peut se demander si le métier d’humoriste ou simplement la liberté d’expression, ne sont-ils pas menacés, voire censurés ? Ainsi, nous étudierons tout d’abord le rire qui ici a fait polémique, pour ensuite

fait réference à une émission satirique de télévision en Australie. La France n'est pas en reste avec la célèbre émission "Les Guignols de l'info" présenté dans la photo de l'émission de Canal + du 11 février 2009 édité par Stéphane de Sakutin. Jean-Luc Hees, quant à lui, évoque dans un article du Monde qui date du 10 avril 2010, intitulé "Je persiste et signe : l'humour a ses frontières", une émission humoristique de Radio France. L'humour dans sa globalité est d'origine destiné à adoucir les moeurs

mais pas avec n'importe qui - est souvent avancée, mais elle ne résout pas le problème. "L'attaque au faciès" (Alain Minc à propos de Guillon) est soupçonnée d'être le fait d'ironistes médiocres, voire dangereux. Le président de Radio France, Jean-Luc Hees, se réfère à l'histoire française pour présenter l'attaque personnelle fondée sur le physique de la personne comme attentatoire à la morale républicaine (Le Monde, 2 avril). Ces débats posent la question des contours du phénomène général que chacun