Jean-Paul Marat

Jean-Paul Marat Jean-Paul Marat Jean-Paul Marat, né à Boudry (principauté de Neuchâtel) le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793 est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français. Il fut député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Il a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de Septembre, ce qui a noirci son image, même si les historiens sont revenus assez largement sur son rôle. Son assassinat par Charlotte Corday permit

Charlotte Corday * Saint-Saturnin-des-Ligneries * Orne 1768 - Paris 1793 * Arrière-petite-nièce de Corneille, républicaine dès avant la Révolution →indignée par la Terreur et la proscription des Girondins * Elle rendait Marat responsable pour la Terreur et la proscription de Girondis Maximilen de Robespierre * Avocat * Il est élu au tiers état en Artois * A l'assemblée constituante, il est l'un des rares députés démocrates. * Il impose au club des Jacobins

Jean-Paul Marat I.Introduction Jean-Paul Marat est né près de Neuchâtel (Suisse) en 1743 et est mort le 13 juillet 1793. De famille modeste. Il fut médecin, physicien, journaliste et homme politique français durant la Révolution. Il était atteint d’une forme grave d’eczéma qui le forçait à prendre des bains très souvent pour l’éviter de souffrir. II.La vie de Marat 1) Les début de médecine de Marat Il est instruit par son père, médecin et protestant espagnol qui a fui la Sardaigne pour la

acceptée par l’Assemblée. L’Assemblée veut que cette commémoration du 14 Juillet célèbre l’unité de tous les Français. 4ème salle : Dans cette salle nous avons pu voir les portrait de personnages très importants à l’époque de la terreur qui sont : Marat, Robespierre et Danton. Danton : Georges Jacques Danton, né le 26 octobre 1759 à Arcis-sur-Aube et mort guillotiné le 5 avril 1794 (16 germinal an II) à Paris, est un avocat et un homme politique français. Danton est une des figures emblématiques

Jean Sylvain Bailly Eléments principaux de sa vie : Jean Sylvain Bailly (1736-1793), astronome de métier et passionné par Jupiter, se fit surprendre par la politique, et fut élu premier député de Paris. Il devint le représentant puis le président du tiers état aux Etats généraux. Ami de Buffon, il entra grâce à lui à l’Académie des Sciences puis à l’Académie Française. Le 3 juin 1789, il est élu président de l’Assemblée Nationale. Il donna ordre de tirer sur les manifestants qui exigeaient

» à l'Assemblée constituante, défendant l'abolition de l'esclavage et de la peine de mort, le droit de vote des gens de couleur, des juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel et l'égalité des droits, contre le marc d'argent. MARAT Jean-Paul Marat, né à Boudry (principauté de Neuchâtel) le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793 est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français. Il fut député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Il a longtemps

Madame Roland, Charlotte Corday, Olympe de Gouges, Marie Antoinette etc. Madame Roland : Manon Roland, née le 17 mars 1754 sous le nom de Jeanne Marie Philipon et mort le 8 novembre 1793, plus connu sous le nom de Madame Roland, tenait un salon fréquenté par les révolutionnaires, surtout par les girondins. Grâce a ses relations elle a fait nommer son mari, Jean-Marie Roland de la Platière, au ministère de l’intérieur, elle rédigea elle-même la « lettre du roi » que son mari signa. Conseillère secrète

Titre à souligner: La mort de Marat Année de réalisation: 1793 Technique: Huile sur toile Dimensions: 165cm par 128cm Thème abordés: L 'assassinat de Marat Situer l'œuvre dans son contexte Marat, que l’on surnommait à l’époque « l’ami du peuple » fut assassiné le 13 Juillet 1793 et ce crime fut considéré par les révolutionnaires comme un attentat contre la nouvelle Constitution. La Convention commanda à David cette toile au fond hautement politique. Marat était une figure du radicalisme

Jean-Paul Marat est né 1743 à Boudry en Suisse et mort à Paris en 1793, est issu d'origine modeste. Il suit des études de médecine en France puis par pour l'Angleterre en 1765 pour exercer le métier de médecin. Il écrit parallélement «Les Chaînes de l’esclavage». En 1776, il revient en France et tente de comfirmer sa réputation scientifique en fesant des expériences sur la lumière entre autres et en publiant des écrits scientifiques mais échoue devant l’Académie des sciences. Il devient journaliste

véritable tribun, talents d’analyste et grand sens de la rhétorique. Ferveur révolutionnaire mais aussi intrigues secrètes auprès de Louis XVI et Marie-Antoinette (pense être ministre d’une monarchie constitutionnelle). Beaucoup d’ennemis: à sa gauche Marat, à sa droite, son propre frère cadet. Auteur de la phrase célèbre « Allez dire à ceux qui vous envoient que la force des baïonnettes ne peut rien contre la volonté de la nation » lors de la tentative de dispersion des membres du Tiers état de l’Assemblée