Jean XIII

par l'Eglise, Jean-Baptiste décide d'épouser la carrière théâtrale. Il signe en juin 1643 un acte d'association avec les Béjart (il est aidé financièrement par son père qui accepte la vocation de son fils), et fonde la troupe de l'Illustre Théâtre, qui regroupe 10 hommes et 5 femmes. Il prend comme nom de scène Molière dont on ignore l'origine. La troupe veut concurrencer les deux théâtres prépondérants à Paris, l'Hôtel de Bourgogne et le Marais. Gaston d'Orléans, le frère de Louis XIII, devient leur

pudeur dans l'expression. Caractère de ce qui est conforme au goût traditionnel : Le classicisme de ses vêtements. Les règles du théâtre classique du XVIIe siècle Contexte historique : le Cardinal de Richelieu est le principal ministre de Louis XIII dès 1624 et le reste jusqu'à sa mort (en 1642). Le Cardinal Mazarin lui succède alors, pendant la jeunesse de Louis XIV. En 1661, âgé de 23 ans, Louis XIV règne enfin (jusqu'à sa mort, en 1715). La création des règles : A partir de 1630 environ, le

universités européennes, internationalement reconnu comme l'historien de la monarchie de l'Ancien Régime en France et de l'absolutisme en Europe. Il s'est consacré en 1932 à la préparation de sa thèse sur la vénalité des offices sous Henri IV et Louis XIII qu'il soutint en 1945 dont il avait un goût assez prononcé pour le droit et les institutions.Il décéda le 9 février 1993 à Draveil dans l'Essonne. Mots clés : assassinat, tyrannicide, affermissement, monarchie absolue, gallicane,

Le théâtre du XVII ème siècle Le théâtre obtient ses lettres de noblesse au XVII ème siècle. Celui-ci devient alors le Siècle du théâtre.Durant le XVIIe siècle, le théâtre français atteint un véritable apogée. Louis XIII et Richelieu donnent déjà une forte impulsion à l'expression théâtrale. Les troupes ambulantes : Au début du siècle, le théâtre n’est pas un genre noble : il est joué par des comédiens nomades, devant un public plutôt grossier. Le répertoire est alors assez pauvre et

de France, 1285-1314 Louis X le Hutin roi de France, 1314-1316 Jean 1er le Posthume roi de France, 1316 Philippe V le Long roi de France, 1316-1322 Charles IV le Bel roi de France, 1322-1328 - LES VALOIS DIRECTS Nouveau roi choisi par les Grands du royaume, de préférence au roi d’Angleterre Edouard III, pourtant petit-fils par sa mère de Philippe IV le Bel Philippe VI de Valois Roi de France, 1328-1350 Jean II le Bon Roi de France, 1350-1364 Charles V le sage Roi de France

de MolièreFils de Jean Poquelin, riche marchand-tapissier établi rue Saint-Honoré à Paris, Jean2011-02-26T12:06:20<!---ATTENTION : son acte de baptême n'enregistre que le prénom Jean. On y ajoutera Baptiste plus tard--> Poquelin est baptisé le 15 janvier 1622 à la paroisse Saint-Eustache, vraisemblablement né le même jour ou la veille. Deux ans plus tard, l'enfant, à la suite de la naissance d'un frère cadet également baptisé Jean, sera appelé Jean Baptiste. Sa mère

 Le Règne de Louis XIV Héritier longtemps désiré, Louis, né le 5 septembre 1638 au château neuf de Saint-Germain-en-Laye, devient roi à cinq ans, à la mort de son père, Louis XIII, en 1643. Sa mère, Anne d'Autriche, lui préfère son frère cadet Philippe, le futur Monsieur ; délaissé par elle, il grandit solitaire et se renferme de bonne heure sur lui-même. Là est peut-être l'origine de sa méfiance envers les hommes, de son goût du secret, qui sera une des règles de sa politique. Chassé de sa

certaines paroles Le théâtre de Pierre Corneille fait ainsi écho aux tournures du Grand Siècle dont il reflète aussi les valeurs comme l'honneur et les grandes interrogations, sur le pouvoir par exemple (contexte de la mort de Richelieu et de Louis XIII et question de la guerre civile dans La Mort de Pompée (1643) - lutte pour le trône dans Nicomède (1651, dans le contexte de la Fronde). L’œuvre étendue et riche de Corneille a donné naissance à l’adjectif « cornélien » qui dans l'expression "un dilemme

dans l'iconographie médiévale, au lieu des personnages de l'Ancien Testament, aux saints les plus vénérables du diocèse, dont les reliques se trouvaient conservées dans la cathédrale. Par exemple, des reliques de saint Étienne, saint Denis ou saint Jean-Baptiste, entre d'autres. En quant à la galerie des rois, les vingt-huit statues placées dans une arcature ne furent pas interprétées par l'imaginaire populaire comme les rois de Juda, tels que saint Matthieu les avait défini dans sa généalogie, mais

Dieu. C'est pour cette raison que l'on dit de lui qu'il est le lieu - tenant de Dieu sur terre. Plusieurs théoriciens juridiques de premier plan ont contribué à développer cette idée. Dès le siècle précédent, dans les « six livres sur la république » Jean Bodin s'exprimait à peu près en ces termes : « si le roi de cause préjudice alors prie pour lui ». Mais dans le siècle qui nous intéresse, des hommes comme Charles Loyseau, Bossuet, ou même Cardin Le bret ont largement abondé dans ce sens. L'épisode