Jeanne Duval

fortune léguée par son père, dont il a hérité l’amour des œuvres d’art et cultive le genre de dandy (nonchalant et excentrique). Puis, il s’installe à Saint-Louis et fait la connaissance de Hugo et de Gautier ( qu’il admire). Ensuite, il rencontre Jeanne Duval, l’amour de sa vie, sa « Vénus Noire ». En 1844, Baudelaire est déclaré juridiquement irresponsable à la demande de sa famille. Ayant dépensé tout son argent, il est contraint d’écrire pour vivre. D’abord avec les « Salons » pendant lesquels il

sensuel et envoûtant, figure maternelle et aimante, mais aussi beauté inaccessible, allégorie de l'absolu. Les Fleurs du Mal sont divisées en quatre cycles, dont les premiers s'inspirent de trois de ses maîtresses : on distingue ainsi le cycle de Jeanne Duval, le cycle d'Apollonie Sabatier, une semi-mondaine présentée par Baudelaire comme une madone pure et inaccessible, le cycle de la comédienne Marie D'Aubrun, et un quatrième cycle consacré à des femmes diverses, réelles ou fictives.

vécu sur une île tout comme Baudelaire l’a fait, cette admiration, cette fascination par rapport aux paysages occidentaux, l’exotisme c’est tout simplement la nostalgie d’un bonheur perdu.. Les poèmes « parfum exotique >> et > parle de Jeanne Duval la femme métisse qu’il a aimé. > fait référence à la nature une petite touche qui nous rapporte à l’exotisme, > et > nous rappelle plusieurs points de l’exotisme avec les odeurs, les couleurs, les paysages. Dans > Baudelaire parle d’une promesse

scandaleuse », décide de l'envoyer en voyage vers les Indes, périple qui prend fin au bout de sept moisà l'île Maurice.Plusieurs poèmes comme L'Albatros ou Parfum exotique ont certainement été inspirés par ce voyage. De retour à Paris, il s'éprend de Jeanne Duval, qui lui inspirera de nombreux poèmes, dont La Chevelure et Le Serpent qui danse. Il rencontre Marie Daubrun, une actrice dont les yeux lui inspirent en particulier Le Poison et Ciel brouillé. Il publie ses premières traductions d'Edgar Poe. Une

pour le poète une façon comme une autre de se moquer de la société bourgeoise moralisatrice, un moyen de rébellion qui se retrouve même dans les femmes que Baudelaire a aimé : Marie Daubrun, l’actrice, Madame Sabatier, la demi-mondaine, et surtout Jeanne Duval, la métisse comédienne, sont toutes plus ou moins en marge de la société. B comme Beauté Le thème de la beauté est présent par tout dans le receuil des Fleurs du Mal car Charles Baudelaire utilise beaucoups l'esthétique dans ses poèmes

danse » il assimile les femmes dont il parle au voyage. Or l'on sait que les voyages sont très importante à la vie de Baudelaire et qu'il assimile le bonheur au voyages. Il arrive à voyager par l'intermédiaire de ses femmes, notamment la sienne, Jeanne Duval et je pense que c'est pour sa qu'il les aime autant, j'ai trouvé sa très beau et romantique, c'est ce qui ma plut dans ses poèmes. Dans les poèmes « la beauté » et « la muse malade » ou il montre une vison négative de la beauté, en expliquant dans

liquide qui parsème D’étoiles mon cœur ! Analyse I. Eloge d'une femme aimée qui invite à la rêverie A. une déclaration d'amour 1. L'énonciation (qui parle à qui) Dans le poème, le «je» s'adresse à un «tu». Le « je » est le poète et le « tu » est Jeanne Duval, Charles Baudelaire s'adresse donc directement à elle et le tutoiement indique une intimité. Il y a donc une proximité dans le vécu mais aussi une proximité spatiale. 2. Le registre lyrique Le poème a un lexique affectif important : « chère indolente

Baudelaire: le Spleen de Paris 1869 Introduction : «  un hémisphere dans la chevelure » est la réecriture en prose d'un poeme versifié «  la chevelure » paru dans Les Fleurs Du Mal section Spleen et Ideal . Ces pomes font parti des textes inpirés de Jeanne Duval , une jneune metisse qui lui rappelle le souvenir ebloui de son voyage dans les iles . Baudelaire reexploite les themes de son 1er poeme: le parfum , les esnsatuions , le port , l'ocean l'ivresse sensuelle le goût .. baudelaire utilise la synesthésie

d'un paquebot pour les Indes. Bien qu'il n’aille pas au terme de son voyage, Baudelaire en retira un grand nombre d'impressions dont il s'inspirera dans ses œuvres (L’Albatros, Parfum exotique...). Baudelaire retourne à Paris en 1842 et rencontre Jeanne Duval qui devient sa maîtresse. Il dépense sans compter l'héritage qu'il a reçu de son père, ce qui incite sa famille à le placer sous tutelle. Il est alors contraint de travailler pour subvenir à ses besoins et devient journaliste et critique d'art

« À une dame créole ». Peu après son retour en France, Baudelaire bénéficia de l’héritage paternel lors de sa majorité qu’il dépense alors sans compter dans l’alcool, l’amour et l’art. Il mena une vie de dandy et d’esthète et rencontra alors Jeanne Duval (dite encore Prosper), femme exotique, sensuelle et dangereuse, qui lui inspirera de nombreux poèmes. En 1843 sa liaison avec cette dernière lui apporte une syphilis qui ne l'abandonnera jamais. De plus avec son train de vie il ne tarda pas à