Jérôme Bosch

du paradis en font un jardin, chose identifiable, mais puisqu’aucune image réelle ne nous est parvenue, il est souvent teinté de rêverie, d’imaginaire, d’irréalité et des sentiments que l’artiste a voulu y adjoindre (cf Le jardin des délices de Jérôme Bosch, La chute de l’homme de Cranach, La tentation d’Eve de William Blake). Il nous reste donc un imagier commun, quelques références connues et partagées par une grande partie de l’humanité, il nous reste la pomme, le serpent, l’arbre… Néanmoins, il

- En France : La construction des châteaux de la Loire marque cette époque. Le château fort fait place à un château de plaisance confortable et luxueux. - Aux Pays-Bas : La Renaissance est marquée par des peintres comme Pieter Bruegel et Jérôme Bosch qui sont un peu influencés par la Renaissance italienne.

rester coi.
 L’Envie enfin, toujours implacable et cruelle, Regarde sa sœur en grondant, Puis, tout à coup, se décidant
 « Que l’on m’arrache un œil, dit-elle. » Victor Hugo (19siècle) http://fr.wikisource.org/wiki/L’Avarice_et_l’Envie Jérôme Bosch, ma mort de l’avare (1494)

et la proportion, et par une amélioration sans précédent des techniques picturales. Les peintres flamands, hollandais et allemands de la Renaissance tels que Hans Holbein le Jeune, Albrecht Dürer, Lucas Cranach l'Ancien, Matthias Grünewald, Jérôme Bosch ou Pieter Bruegel l'Ancien avaient une approche différente de leurs collègues italiens, plus réaliste et moins idéalisée. L’adoption de la peinture à l'huile dont l’invention est traditionnellement, mais indûment, attribuée à Jan van Eyck, a rendu

qu’est né le triptyque. Le triptype ne fut exposé qu’une seule fois à Berlin, il dut ensuite être mis en sécurité pour échapper aux nazis. La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour ce triptyque, rappelle celle des anciens comme Jérôme Bosch et son Jugement Dernier. Le retable de Grünewald à Issenheim a servi de modèle à la composition du tableau. I. Ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos tournent le dos au spectateur et marchent dans

chrétienté Moyen Âge classique    Europe féodale Naissance de la bourgeoisie Expansion de la chrétienté Bas Moyen Âge   Période de crises Période de progrès Analyse d’une peinture    Le char de foin (ou le chariot de foin) de Jérôme Bosch 1502 Prado Questions  Scène ◦ Description  sommaire Personnages ◦ Choisir 5 personnages ou groupes de personnages  Symbolique ◦ Interprétation symbolique de l’œuvre (au moins 3 éléments)  Liens avec le Moyen Âge ◦ Au moins 3

dont les deux volets extérieurs peuvent se refermer sur celui du milieu). Otto Dix a employé pour ce tableau la technique de la tempera sur bois (c'est une technique de peinture basée sur un liant à l'émulsion), ce qui rappelle le triptyque de Jérome Bosch , « Jugement Dernier ». Description : 1er partie : 1er plan : On voit des soldats partirent au front, il y a de la brume. On suppose que c'est la brume du matin. -soldats habillé guerre, casque, fusil, sac. Position, ils sont entrain de marcher

Elodie Milot - Mr Bricolage Valérie Boulanger - Leroy Merlin Frédéric Groux - Leroy Merlin Laurent Jarreau - Mr Bricolage Jean Maltaverne - Brico Dépôt Didier Martin - BHV Christophe Montagner - Weldom Philippe Ruton - Castorama Marc Van Den Bosch - Bricomarché Anthony Zubizarreta - Bricorama LA COMMISSION JURIDIQUE ________________________________________ Benjamin Brasseur - Leroy Merlin Blaise Creusat - Bricoman Didier Delplace - Leroy Merlin Valérie Delplanque - Leroy Merlin - Présidente

et peut accorder son pardon.Dans le domaine artistique :début de la renaissance artistique ; quattrocento italien : les écrivains Boccace (le Decameron, 1350) et Pétrarque (1304-1374) ; les frères Van Eyck (retable de la cathédrale de Gand), et Jérôme Bosch (La nef des fous), en peinture ; le graveur Dürer. Trois courants se dessinent, en ce XVIème siècle :- la littérature humaniste ;- la littérature courtoise ;- la littérature engagée.

cachée des uns et des autres, de Brodeck aussi. C'est ce qui fait tout le charme de cette lecture. Un peu comme si l'on découvrait peu à peu les pièces d'un grand puzzle. Un puzzle où il s'agirait de reconstituer un tableau. Mais un tableau de Jérôme Bosch. Car c'est bien l'horreur et la noirceur que l'on découvre derrière chaque image. «- C'est toi qui a lavé le sol ? - Il faut bien que quelqu'un le fasse ... - Et cette tache qu'est-ce que c'est ? - À ton avis Brodeck ?» Je me suis retourné