Jérôme Bosch

prisonniers de Saint-Cyprien par les autorités françaises, l’enfermement (les baraques de bois sur le sable, les lignes de fer barbelé) et la maladie (la dysenterie qui humilie deux hommes à l’arrière-plan). Dans une atmosphère qui n’est pas sans évoquer Jérôme Bosch ou Bruegel, Nussbaum crée ici l’effigie de l’interné, à la chemise tachée et déchirée, à la barbe naissante, au regard impénétrable et indompté.

Florence, comme Sandro Botticelli, Léonard de Vinci, Paolo Uccello, Verrocchio et Michel-Ange ou à Venise comme Titien, Tintoret, Véronese, Carlo Crivelli ou Vittore Carpaccio. La Flandre a aussi donné de grands peintres comme Jan Van Eyck, Jérome Bosch ou Hans Memling. - Que peignent-ils ? Au XVème siècle et à la Renaissance les peintres ont principalement 3 sujets d'inspiration : • La mythologie gréco-latine : Les peintres élaborent des toiles illustrant des sujets mythologiques pour

quotidienne (Pieter Bruegel, Jan Sanders van Hemessen). Traces de voyages : La Tour de Babel (1563) de Bruegel est sans doute inspirée du Colisée romain. Bruegel est aussi svt appelé « nouveau Jérôme Bosch » : oe à sujet biblique ou fantastique dans style de J. Bosch (Les Proverbes flamands, 1559). * Le paysage Amour du détail caractéristique de peinture flamande (et hollandaise) = se reflète dans oe de Jan Bruegel, fils de Bruegel (paysages raffinés

questions que se sont posées nos reporters. Ils se sont penchés sur trois cas particuliers de la scène internationale. Au cours de l’histoire Depuis des siècles, l’art fait peur et dérange. De nombreux artistes Gustave Courbet 1819-1877 Jerome Bosch 1450-1516 Influence religieuse Les différents arts peuvent-ils être mélangés ?  En quoi cela dérange ? Jusqu’au 12 décembre on a pu assister à Versailles à l’exposition très controversée de Takashi Murakami. Cet artiste japonais exposait

rapports de l’Europe avec le monde. On trouvera pendant ce début de siècle, des artistes comme Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël à Florence puis à Rome et Titien, Tintoret ou Véronèse à Venise. Le jugement dernier de Michel-Ange ou les œuvres de Bosch témoignent d’une attente religieuse angoissée quand au salut. L’usage des bibles imprimées multiplie les interrogations. L’art italien rayonne, aux recherches d’harmonie sobre et sereine de l’apogée de la Renaissance, succède le Maniérisme. Les

  en   Flandre,   les   artistes   effectuent   des   synthèses   originales   entre   les   traditions   médiévales   et   les   innovations   italiennes   (Dürer,   Van   Eyck,   Jérôme   Bosch).   En   France,   les   rois   invitent   des   artistes   étrangers   dans   leurs   châteaux   de   l’Ile-­‐de-­‐France   ou   du   Val   de   Loire   (Léonard   de   Vinci

thème de la mort en poésie : *Derniers vers, Ronsard, « Je n’ai plus que les os » * La ballade des pendus, Villon * Une charogne, Les fleurs du Mal, Baudelaire * Ophélie, Poésies, Rimbaud (extrait) Histoire des arts : Etude du triptyque de Jérôme Bosch « Le jugement dernier » et plus particulièrement le panneau central. La fuite du temps en poésie du XVI°s au XX°s Problématique choisie : Comment s’exprime le thème de la fuite du temps à travers les différentes formes poétiques ? Etudes

parallèle avec Le Jugement Dernier de Jérôme Bosch : sur le panneau de gauche de La Guerre, les soldats semblent « motivés » pour aller au front. Cependant, le ciel gronde. Il en est de même pour le panneau gauche du triptyque de Bosch : les Hommes y vivent sereins, mais à nouveau le ciel est menaçant et peuplé de démons. Sur le panneau central du triptyque de Dix, on trouve un « ange » cadavérique (le cadavre suspendu). C’est un monde de cruauté. Chez Bosch, c’est Dieu et ses anges (véritables,

prisonniers de Saint-Cyprien par les autorités françaises, l’enfermement (les baraques de bois sur le sable, les lignes de fer barbelé) et la maladie (la dysenterie qui humilie deux hommes à l’arrière-plan). Dans une atmosphère qui n’est pas sans évoquer Jérôme Bosch ou Bruegel, Nussbaum crée ici l’effigie de l’interné, à la chemise tachée et déchirée, à la barbe naissante, au regard impénétrable et indompté. Nussbaum le sait et nous le dit : cet univers c’est la mort, on ne sort pas vivant de cela

marqué les esprits. Otto Dix nous montre la guerre autrement que par l'art officiel qui fait des monuments aux morts où les soldats sont héroïsés. Et plus...: -Le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald. -Triptyque du jugement dernier de jérôme bosch.