Jerry Lee Lewis

qui chanta, sans en avoir conscience, des chansons que l’on pourrait classer aujourd’hui comme appartenant au Rock. En effet plusieurs de ses chansons furent reprises par de grands chanteurs des débuts du Rock’n’roll tels que Elvis Presley et Jerry Lee Lewis.. Il annonçait le mode vie dans les années futur, relâché et décadent par son style de vie basé sur l’abus : alcool, drogues etc. L’expression de Rock’n’roll fut véritablement son apparition en 1936 lors d’un enregistrement de Benny Goodman et

le Tchoo-Tchoo Beat, qui s'inspire du rythme du train. Ses deux musiciens étaient aimés par leurs fans notamment grâce à leur particularité de donner une grande énergie sur scène. Mais parmis les musiciens des années 50 le plus sauvage était Jerry Lee Lewis qui utilisait un piano qui était son instrument de prédilection. Mais celui qui sortit le premier tube était Bill Haley avec sa chanson « Rock around the clock » sorti en 1956. Mais la star incontesté était Elvis Presley. Présentation du

de tout ce qu'il y a à savoir sur le R'n'B. Alors le R'n'B qui est aussi appelé le «rhythm and blues» est un genre musical américain des années 40 et 50, qui combine des influences du gospel, du blues et du jazz. Il fut introduit en 1949 par Jerry Wexler, qui fut l'un des producteurs les plus réputés de son époque au sein de la firme Atlantic Records. Ce terme qui se prête davantage au marketing musical, remplace peu à peu l'expression race music (« musique raciale») une expression trop négatif

: Les Deux Visages de Docteur Jekyll de Terence Fisher 1963 : Docteur Jerry et Mister Love (The Nutty Professor) de et avec Jerry Lewis 1971 : Dr Jekyll et Sister Hyde (Dr. Jekyll and Sister Hyde) de Roy Ward Baker avec Ralph Bates 1971 : Je suis un monstre (I, Monster) de Stephen Weeks avec Christopher Lee 1981 : Dr. Jekyll et les femmes de Walerian Borowczyk avec Udo Kier 1982 : Jekyll and Hyde... Together Again de Jerry Belson 1989 : Docteur Jekyll et M. Hyde (Edge of Sanity) de Gérard Kikoïne

Bruce Lee (de son vrai nom chinois : 李振藩 ; pinyin : Lǐ Zhènfān ; cantonais Jyutping : Lei⁵ Zan³faan⁴ en mandarin Lee Junfan, en cantonais), nom de scène chinois « Li Xiao-Long » (chinois simplifié : 李小龙 ; chinois traditionnel : 李小龍 ; pinyin : Lǐ Xiǎolóng ; Wade : Li³ Xiao³long² ; cantonais Jyutping : Lee⁵ Siu²lung⁴), né dans le quartier de Chinatown à San Francisco aux États-Unis le 27 novembre 1940 et mort d'un œdème cérébral à Hong Kong (colonie britannique à l'époque) le 20 juillet 1973, est un

Stoker en 1897. Celui-ci étant irrémédiablement aux prises avec sa double personnalité vampirique qui le ronge de l’intérieur et le condamne pour l’éternité, à moins que quelqu’un le délivre de cette malédiction en le supprimant. Christopher Lee en Dracula dans Horror of Dracula réalisé par Terence Fisher en 1958. - D’autres auteurs, contemporains à Stevenson, vont imaginer des histoires ayant pour thème le double, dont, Edgar Allan Poe en 1839 avec « Nouvelles histoires extraordinaires

seront Bill Haley and his Comets, avec Rock Around The Clock en 1953 qui marque les débuts du rock, mais aussi Chuck Berry et son fameux Roll Over Beethoven, faisant justement allusion à l’arrivée massive du rock sur les ondes radios, ou encore Jerry Lee Lewis ou le Tutti Frutti de Little Richard et son irrésistible cri « A-wop bop-a loo-bop, a-wop bam-boom ! » ; ils deviendront au fil des succès les icônes de cette musique aux sonorités électriques. Mais le rock’n'roll a besoin d’un visage et ce

loup-garou (The Curse of the Werewolf, 1961). Héros de cette nouvelle vague du fantastique — rejetée par les puristes ne jurant que par la beauté en noir et blanc des premiers « Universal Monsters » —, Peter Cushing (le baron Frankenstein) et Christopher Lee (le comte Dracula) imposent leur jeu glacial et mesuré à une nouvelle génération de spectateurs. Face à cette hémoglobine torrentueuse, certains réalisateurs persistent à assumer un noir et blanc tout aussi terrifiant pour distiller une angoisse

Sibérie– n’encourageant guère les sorties. Ils se nourrissent de cartoons de Tex Avery, de serials et autres séries B diffusée à profusion par le petit écran depuis la fin de l’âge d’or hollywoodien, des films où s’illustrent Bob Hope, Tony Curtis et Jerry Lewis, notamment Boeing Boeing qui reste l’un de leurs films favoris. Les frères Coen affectionnent également les stars des premiers longs métrages de Disney, Don Murray, Dean Jones Jim Hutton etc. : des acteurs plutôt que des cinéastes. La production

choix avec Petit Richard, Baie de mandrin et Houx de copain étant exposants notables. Elvis Presley était le superstar musical de la période avec la roche, rockabilly, l'evangile, et balladeering romantique étant ses signatures. Facture Haley, Jerry Lee Lewis et Argent comptant de Johnny étaient rockabilly les musiciens. Doo battent à plat de couture était un autre genre populaire alors. Calypso popularité appréciée avec le Jamaïquain Harry Belafonte étant doublé le « roi de la calypso ». Trio de Kingston