Jeu Amour Hasard Social Marivaux

conclusion – bilan. Corrigé : Le corpus qui nous est proposé est composé de trois extraits de pièces de théâtre allant de l’Antiquité romaine (Plaute) au XXe siècle (Beckett), en passant par le XVIIIe siècle (Marivaux). Les deux premières (La Marmite de Plaute et L’Île des esclaves de Marivaux) sont des comédies. La troisième (En attendant Godot de Samuel Beckett) fait partie du théâtre de l’absurde et peut être considérée comme une farce tragique. Quelles que soient ces différences d’époque et de

blanc... Attention ! Les indications en couleur ne sont qu'une aide à la lecture et ne doivent pas figurer dans votre rédaction. IntroductionCurieusement, dans le théâtre grec, le mot qui désignait l'action d'une pièce : agôn, signifiait aussi le « jeu », le « concours », la « lutte », le combat » ; ce terme marquait clairement que le conflit, ainsi que sa concrétisation l'affrontement - sont primordiaux au théâtre. Pascal, au XVIIe siècle, va dans le même sens quand il affirme : « Les scènes contentes

également la force de l’amour comme dans Le Jeu de l’Amour et du Hasard de Marivaux où Silvia et Dorante deux nobles promis l’un à l’autre vont se déguiser en valets pour pouvoir étudier l’autre, ne sachant évidement pas que celui-là aura eu la même idée. C’est ainsi qu’il vont tout deux tomber amoureux l’un de l’autre mais en croyant être attiré par une personne de classe sociale inférieure. Ainsi dans son dénouement, Marivaux fait avouer à Dorante son amour pour Silvia, lui, en tant que noble elle

les textes A et C, Molière utilise un quiproquo dont l’effet est comique. Dans l’extrait de L’Avare (texte A) en effet, tandis qu’Harpagon se lamente de la perte de sa chère cassette et pense que c’est Valère qui la lui a dérobée, Valère évoque son amour pour Mariane, la fille d’Harpagon. Le quiproquo se noue donc autour de la confusion qu’engendrent la situation et les mots. Ainsi, toutes les répliques de Valère sont interprétées par Harpagon comme un commentaire sur son argent. On voit ici comment

première personne (ainsi on a un sentiment de réalité). Ils vont privilégier l'analyse et l'expression naturelle du développement : romans, mémoires ou récit mémorial. Ex: Manon Lescaut de l'Abbé Prévost; La vie de Marianne et Le paysan parvenu de Marivaux. En parallèle, on trouve des romans épistolaires. Ex: La nouvelle Héloïse de Rousseau; Les liaisons dangereuses de Laclos. Puis, le genre autobiographique: Les confessions de J. J. Rousseau. Les romans à la troisième personne existent aussi. Les

d’accentuer l’herméneutique de la pièce. Molière blâme donc le monde dévot et donne raison à la justice grâce à ce système de dénouement. Un second exemple, celui de Dom Juan de Molière, qui met en scène un libre-penseur qui défie toutes les lois sociales et la puissance divine. Le dénouement ambigu et fatal de cette pièce est prévisible dès l’acte 3, se fait attendre puis est précipité en 2 scènes. Le personnage qui apparaît au moment de ce dénouement est la statue du Commandeur qui entraîne Dom

- L’idée de Nature. La mère Nature permet à l’ homme de prendre la juste mesure de la grandeur du monde. La curiosité de la Nature permet de rendre hommage à la Création dans toute sa variété. - L’amour. Il convient de distinguer le vrai amour qui doit conduire à la contemplation du Divin et l’amour vulgaire, sensuel, défini comme une maladie. Conclusion : Œuvre humaniste = réflexion de l’homme avec ses espoirs, ses doutes, ses questions, son savoir… 1è moitié du XVIIe siècle : Le

prisonnière, est contrainte d’accepter le chantage de Pyrrhus qui veut l’épouser en échange de la vie sauve accordée à son fils, Astyanax. La fatalité pèse donc sur deux personnages (cf. v. « Non, non, j’ai beau pleurer, sa mort est résolue »). Un jeu de scène, explicité par une didascalie « Andromaque, se jetant aux pieds de Pyrrhus », entre tout à fait dans l’esthétique tragique où nous voyons Andromaque supplier Pyrrhus lors d’une réplique particulièrement poignante : l’infortunée veuve d’Hector

personnage,· celui de la dramaturgie,· et celui du genre même de la comédie. Tantôt c'est un personnage qui, consciemment ou non, se donne en spectacle aux yeux de son entourage, comme les personnages qui se déguisent (MARIVAUX, Le jeu de l'amour et du hasard ), tantôt c'est le théâtre qui dans quelques-unes de ses dimensions, devient le sujet de la comédie, notamment avec le théâtre dans le théâtre ou l'anti-théâtre. I. Le personnage

322453081470500Sommaire Page 2 à 4 : Candide de VOLTAIRE. Page 5 à 6 : Zadig de VOLTAIRE. Page 7 et 8 : le misanthrope de MOLIERE. Page 9 et 10 : le jeu de l’amour et du hasard de MARIVAUX. Page 11 et 12 : le mariage de Figaro de BEAUM- ARCHAIS Page 13 : Rhinocéros d’Eugène IONESCO Page 14 : La leçon d’Eugène IONESCO Page 15 à 17 : Pierre et Jean de MAUPASSANT Page 18 à 24: La bête humaine de ZOLA Page 25 et 26 : Claude gueux d’HUGO Page 27 et 28 : Un sac de bille