Jeune Fille L Amour C Est D Abord Un Miroir

 Louis Thompson était un jeune britannique d'une vingtaine d'années. C'était un homme charmant et qui plus est, en avait la conscience. Il savait pertinemment que quiconque avait l'opportunité de goûter au charisme naturel que dégageait sa voix, qu'il en tombait presque subitement sous le charme. Tout en lui n'était que dans le seul but de plaire. Tout en lui n'était pourtant qu'illusion. Aux premiers abords, Louis était un véritable gentleman. Souriant, aimant, courtois... Les mots ne manquaient

Missy ; célèbrent leur amour Dans « Jour gris » évocation touchante du pays d'enfance, pays métamorphosé par l'écriture et la distance du souvenir « Le dernier feu » : Les violettes de mon enfance Nonoche ; La dame qui chante : Description très fine de la chatte. Célébration de la vie animale mais aussi dimension symbolique de ce récit : la chatte interroge sur les rapports humains, sur l'infidélité, l'appel de l'amour. Certains ont vu une représentation de Colette jeune ds Nonoche qui aurait

Chartres, une jeune « beauté » orpheline âgée de seize ans et élevée par sa mère, fait son entrée à la Cour pour la première fois. Elle rencontre M. De Clèves, un prince qui tombe immédiatement amoureux d’elle. Elle accepte de l’épouser, mais sans être amoureuse de lui, d’autant qu’elle est encore jeune et inexpérimentée. Un jour, la nouvelle Mme de Clèves rencontre le duc de Nemours au cours d’un bal. C’est le coup de foudre entre les deux personnes. Mme de Chartres, la mère de la jeune femme, pousse

rester.— Pourtant, quand on vous regarde comme ça, on est forcé d'accepter…— Alise… geignit Colin, en l'enlaçant et en frottant sa joue contre les cheveux d'Alise.— Quoi, mon vieux Colin ?— Zut… Zut… et Bran !… Peste diable bouffre. Vous voyez cette fille-là ? …— Chloé ? …— Vous la connaissez ? … dit Colin. Je lui ai dit une stupidité, et c'est pour ça que je m'en allais.Il n'ajouta pas qu'à l'intérieur du thorax, ça lui faisait comme une musique militaire allemande, où l'on n'entend que la grosse caisse

frères – Pierre et Jean –, l’un déjà médecin, l’autre bientôt avocat, un couple de parents retraités affectueux, une jeune et jolie veuve, un héritage inattendu qui favorise curieusement un des frères et des secrets de famille enfouis qui ressortent. Maupassant jette un regard désabusé et lucide sur le jeu des uns et des autres ; il fait partager le drame à peine avoué de Pierre, jeune homme sombre et tourmenté, qui se sent étranger dans sa propre famille. [Présentation du texte] Jean, personnage insouciant

, paraît pour la première fois en 1889. Roman d’un amour impossible, il tente de raconter la déchéance de l’âge, la solitude, l’artiste manqué et attaque la vie mondaine. Tous les thèmes qui sont chers à Maupassant dans les dernières années de sa vie. Peintre âgé, Olivier Bertin, après avoir eu une liaison de 12 années avec Anne de Guilleroy, tombe éperdument amoureux de la fille de sa maîtresse, qui est la parfaite image d’Anne jeune et qui ramène donc le peintre à sa propre jeunesse. L’extrait

monde et n’appartient pas à leur milieu social. Il se cache donc derrière des masques qui ne font que compliquer l’absence de nom d’auteur sur les premières pages. Pour la première fois, il affirme aussi sa volonté de présenter dans son roman « un miroir au public », formule qui deviendra une des grandes formulations de la poétique romanesque stendhalienne. Le début d’Armance introduit le personnage principal, Octave de Malivert, qui à vingt ans sort de l’Ecole polytechnique, et possède « beaucoup

a la possibilité de ne pas mourir, c’est un devoir que de rester en vie ! — Pourquoi ? — Pour les vivants qui t’aiment ! — Ceux qui m’aimaient sont morts dans le bombardement. — Et moi ? Je t’ai aimée comme un père depuis le premier jour. Tu es ma fille depuis ces cinq années. Il n’y a rien à répondre à cela. Cependant, à l’intérieur de ma tête, il y a une voix qui hurle : «Si vous êtes mon père, comment osezvous coucher avec moi ? Et puis, vous avez plus l’âge d’être mon grand-père que mon père

insignifiante ? Ou serait-elle une lecture significative de la réalité ? Dans cette perspective, nous verrons que si le genre théâtral apparaît comme le miroir d’une réalité dérisoire et absurde, le travail du dramaturge et du metteur en scène s'attache quant à lui, à rendre à l'existence une certaine cohérence. PLAN PROPOSE Axe I : Le théâtre est le miroir grossissant d'une réalité dérisoire et absurde. § 1 : Le théâtre de l'absurde, né dans les années 1950, reflète l'absurdité tragique d'un monde

ANTHOLOGIE POETIQUE La rancœur amoureuse Trop souvent les sujets de la femme parfaite, de l’idéal féminin et de la puissance des sentiments amoureux sont abordés en poésie. En effet, ces thèmes puissants ont toujours été longuement approfondis par les poètes qui lui ont assuré la place la plus importante dans leurs écrits. Les raisons en sont multiples: séduire, faire partager son expérience ou même célébrer par plaisir ce qui est à la base de la vie. Cependant, les l’amour, ce qui rend