Jeux olympiques antiques

LA MONDIALISATION DU SPORT Le phénomène de mondialisation n'est pas un processus récent dans le domaine sportif. En effet, sans pour autant revenir aux Jeux panhélleniques, le sport moderne a connu son expansion au XIXème siècle en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Des rencontres professionnelles étaient organisées dans les villes et métropoles minières et industrielles sous une forme commerciale, alors que le sport amateur, notamment le football «américain» faisait son apparition sur les campus

l’Oracle qu’on appelait la Pythie à qui on a fait respirer des fumées qui vont lui provoquer des visions. Autre site important : Olympie situé au nord-ouest de la Grèce dédié à Zeus, on y pratiquait les jeux olympiques (tous les 4 ans) et lui rendait hommage, il désignait le vainqueur de ces jeux. ●Voyages d’initiation et de formation : familles fortunées qui envoient leur fils à Athènes à l’école des plus grands philosophes. D’autres envoient leur fils à Rome au temps de l’Empire Romain. Le loisir

Mais ces rapports sont-ils une nouveauté de notre temps? A) La Grèce antique, Rome, Le Moyen-âge : -Dès l’Antiquité grecque, mise en valeur par les Jeux Olympiques, la rémunération des athlètes apparaît conséquente. Si le vainqueur ne recevait sous les acclamations du stade qu’une simple couronne de feuillage, sa cité d’origine lui réservait à son retour de substantiels avantages. A Athènes un vainqueur olympique se voyait gratifié d’une récompense de 500 drachmes et était nourri gratuitement

salle de sport LES JEUX OLYMPIQUES Chaque année, de + en + de nations, pays trouvent exaltant d’affronter leurs athlètes Origine : Grèce Antique, confronter les cités sans passer par la guerre Permet aux différentes civilisations de se rencontrer De Coubertin ne pouvait pas imaginer que tous les pays voudraient se rencontrer  JO idée forte d’égalité pdt création, va s’étendre hors occident après Enjeux : largement autant sur les médailles que sur le fait d’avoir les jeux dans la ville Pq 

est aussi un carrefour d'influences, c'est un "Nabuchodonosor norvégien qui a construit les escaliers des ministères", unealliance de mots pour traduire ces villes de ce XIXème siècle, alliance de colonisateurs et de colonisés, riche de L'Orient antique avec ses traditions et l'Europe nordique moderne. Tous ces peuples se retrouvent dans une même alliance de pensée, d'influence pour la réalisation d'une gloire commune. "Les boissons polaires se payent en monnaie indienne" met en évidence le caractère

application de l'article 3 de l'ordonnance n° 58-1360 du 29 décembre 1958 modifiée portant loi organique relative au Conseil économique et social) LE SPORT AU SERVICE DE LA VIE SOCIALE In Honorem Colette BESSON (1946-2005) Championne olympique - Membre de section à la section du cadre de vieIII SOMMAIRE AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du mercredi 11 avril 2007 .............. I - 1 Première partie - Texte adopté le 11 avril 2007 ........

la Grèce antique, on attendait des athlètes qu’ils fassent preuve d’esprit sportif en reconnaissant dignement la supériorité de leur adversaire en cas de défaite. Au Moyen Age, les tournois de chevaliers étaient régis par un code basé sur la loyauté et l’honnêteté des participants. Au siècle dernier, l’Angleterre favorisait une pratique sportive reposant sur le fair-play, c’est-à-dire, le respect des règles écrites et non écrites. Le français Pierre de Coubertin, père des Jeux Olympiques modernes

retrouve des traces d'épreuves sportives jusqu'en Égypte antique!). On peut ainsi dire que le sport accompagne la vie humaine depuis sa naissance, ou presque. (nous doutons en effet qu'à la préhistoire les hommes s'entretenaient physiquement par la pratique du sport). Il revêt dans l'histoire plusieurs aspects et enjeux. Si en Grèce antique, les jeux olympiques servaient à régler de manière pacifique les différents entre les villes, les gagnants des jeux gagnaient la guerre politique et idéologique sans

l'historien français Roger Chartier et par les sociologues Norbert Elias[9],[10] et Pierre Bourdieu[11]. En 2000, l'historien du sport Philippe Lyotard (université de Montpellier) juge qu'« il y a une coupure très nette entre le sport moderne et le sport antique : c’est la notion de record (et donc de performance). Le record et la performance expriment une vision du monde qui est profondément différente entre les Grecs et les modernes. La culture du corps est différente. Pour les Grecs, cette culture est

grandes dynamiques des sociétés tout en constituant une forme originale de la culture. Encore convient-il, au préalable, de fonder l’idée même d’une invention récente du sport « moderne », en établissant sa rupture avec les pratiques plus anciennes, antiques ou médiévales. I. – Filiations ? Historiquement, le terme de desport ou disport est utilisé au Moyen Âge pour signifier la distraction, l’amusement. Le Grand dictionnaire universel duXIXe siècle de Larousse définit d’ailleurs encore le sport