Jiangxi

millions de locuteurs) ; 3. le cantonais parlé dans les provinces du Guangdong et du Guangxi, à Hong Kong, Macao, en Asie du Sud-Est et par certains Chinois d'outre-mer (environ 71 millions de locuteurs) ; 4. le gan parlé dans la province du Jiangxi (environ 31 millions de locuteurs) ; 5. le hakka, dans la partie nord du Guangdong, le Fujian et à Taïwan (environ 34 millions de locuteurs) ; 6. le min), dans les provinces du Guangdong, Fujian et à Taïwan (environ 60 millions de locuteurs) :

soulèvements fin 1927 sont des désastres. ● La décennie de Nankin (1928-1937) Le Guomindang doit faire face à la menace japonaise, qui s'est emparée de la Mandchourie en 1931-1932. Pendant ce temps, Mao Zedong s'affirme à la tête du soviet du Jiangxi qui devient l'une des principales bases du PCC. Mais les communistes font l'objet de campagnes d'anéantissement et se voient obligés de trouver refuge dans le nord du Shaanxi. Le Guomindang de son coté a obtenu de la restauration de l'autonomie douanière

et Tianjin ; Fujian ; Guangdong ; Hainan ; Heilongjiang ; Jiangsu avec Shanghai ; Jilin ; Shandong ; Zhejiang ; Liaoning avec Shenyang. Environ 44% de la population occupent les provinces du centre de la Chine (Anhui, Guizhou, Hubei, Henan, Hunan, Jiangxi, Shaanxi, Shanxi, Sichuan) qui représentent 20,6% du territoire. Enfin, 13% seulement résident en Chine occidentale et sur les marges mongoles (Gansu, Guangxi, Mongolie-Intérieure, Ningxia, Qinghai, Tibet, Xinjiang, Yunnan) qui couvrent 61,4% du pays

important d'exportations illégales étant susceptible de s'ajouter aux productions officielles, notamment à partir des nombreuses petites exploitations tout aussi illégales d’argiles ioniques, riches en terres rares lourdes, des provinces du Guangdong, du Jiangxi, et du Sichuan. Les chiffres relatifs à la demande par grands types d'usage de terres rares, et à son évolution anticipée d'ici 2015, proviennent des présentations de Dudley Kingsnorth, l'un des experts internationaux les plus réputés dans le domaine

guerre civile se poursuit et l’unification du pays reste précaire. Après l’échec des insurrections urbaines (1927), Mao oriente la stratégie des communistes vers les campagnes et le prolétariat rural : ils fondent en 1931 la République soviétique du Jiangxi dans le sud-est du pays. Mais les nationalistes entreprennent de mater les rebelles communistes en attaquant leurs bases rouges et les contraignent à mener une épuisante retraite de 12 000 km, la « Longue marche » entre octobre 1934 et novembre 1935

locuteurs). Le xiang parlé dans la province du Hunan (environ 36 millions de locuteurs). Le hakka parlé dans la partie nord du Guangdong, le Fujian et à Taïwan (environ 34 millions de locuteurs). Le gan parlé dans la province du Jiangxi (environ 31 millions de locuteurs). Us et coutumes En Chine, on ne salue pas par la bise sur la joue. Les Chinois aiment plaisanter et faire preuve d'humour, mais on ne plaisante jamais sur la sexualité qui constitue un sujet

probablement les guerres entre Mongols et Chinois qui provoquèrent les conditions sanitaires permettant le déclenchement de l'épidémie. Elle se déclara en 1334, dans la province chinoise du Hubei et se répandit rapidement dans les provinces voisines : Jiangxi, Shanxi, Hunan, Guangdong, Guangxi, Henan et Suiyüan, une ancienne province disputée entre les empires mongol et chinois. En 1346, les Tatars de la Horde d'Or attaquèrent la ville portuaire de Caffa, comptoir commercial génois, sur les bords de

marché ayant entraîné la fermeture d’importantes entreprises de l’Etat et le licenciement de millions de travailleurs. L’agitation sociale ne s’est pas limitée aux provinces du nord-est. De la province du sudouest de Sichuan à la province du sud, Jiangxi, les agriculteurs ont protesté contre des impôts oppressifs et la diminution de leurs revenus. La principale raison qui sous-tendait cette vague de protestations a été la demande des travailleurs du paiement des arriérés de salaires et des allocations

Parti communiste chinois sur le travail et la propagande (1957) », les « Directives sur l’action éducative du Comité central du Parti communiste chinois et du Conseil des affaires d’Etat », la « Lettre sur l’Université des travailleurs communistes du Jiangxi », le « Projet de règles de travail provisoires du Ministère de l’éducation concernant les établissements d’enseignement supérieur », approuvé par le Comité central du Parti, le « Projet de règles de travail provisoires des écoles primaires à plein

en Chine et 111 en Inde. Dans certaines régions, les chiffres sont plus impressionnants encore : les Etats indiens du Pendjab et de l'Haryana ont recensé, en 1998-2000, 125 naissances de garçons pour 100 de filles. Dans les provinces chinoises du Jiangxi et du Guangdong, en 2000, le nombre de garçons avait atteint 138 pour 100 filles. Les discriminations ne s'arrêtent pas à la naissance. Il suffit de comparer le taux de mortalité infantile des deux sexes pour comprendre qu'en Asie, les familles n'accordent