Joan Miró

1997 - Jean-Paul Clébert, Dictionnaire du Surréalisme, Paris, Seuil, 1996 - Gaëtan Picon, Journal du Surréalisme : 1919-1939, Genève, Skira, 1976 • CATALOGUES D’EXPOSITION - La révolution surréaliste, Centre Georges Pompidou, Paris, 2002 - Miró, la Collection du Centre Georges Pompidou, Musée d’art contemporain de Bordeaux, 1999 - Man Ray, la photographie à l’envers, Centre Georges Pompidou, Paris, 1998 - Dessins surréalistes : visions et techniques, Centre Georges Pompidou, Paris, 1995 -

nous ne comprenons pas pourquoi. De plus, les multiples interprétations possibles renvoient à la paranoïa-critique. Cet intérêt pour l’objet que ce soit dans la sculpture ou dans la peinture par les surréalistes annonce le mouvement Pop Art. Joan Miro, Yves Tanguy, Man Ray, Max Morise, Cadavre Exquis. Le cadavre exquis est un jeu surréaliste pratiqué à partir de 1925. Le but est de composer des poèmes ou des dessins à plusieurs, chacun inscrivant un mot ou un motif sur un papier plié à l’insu

l’imaginaire iconique surréaliste. Capricorne, 1948-1964 Capricorne, 1948-1964 Œdipe, 1934 Œdipe, 1934 e) Miro et Victor Brauner Nous pouvons voir en dernier lieu plus succintement les œuvres de Joan Miro et Victor Brauner, qui sont davantage peintres que sculpteurs mais qui ont produit des exceptions dont nous pouvons parler ici. ●MIRO Comme Ernst, Miro trouve et invente aussi son propre monde à partir d’un fonds d’imagination associative fertile, il combine lui aussi sans cesse

lettres de recommandation destinées à Max Jacob et André Breton. D’après lui, ce voyage fut marqué par 3 visites importantes : Versailles, le musée Grévin et Picasso. Picasso avait déjà reçu des commentaires élogieux concernant Dalí de la part de Jean Miró. Ils passèrent la journée à admirer mutuellement leurs toiles et restèrent en contact tout au long de leurs vies. Dalí revint à Figueres et pour se consacrer à la peinture. Il réalise sa deuxième exposition individuelle aux Galeries Dalmau de Barcelone

d'Alexander Calder – une sculpture de 15 mètres de haut – située non loin de la tour Total ; • la fontaine monumentale de Yaacov Agam qui marque vers l'Est la fin de la partie la plus animée de la Dalle ; • une sculpture monumentale de Joan Miró très colorée devant l'une des entrées du centre commercial des Quatre Temps ; • le bassin de Takis piqueté de signaux énigmatiques fermant la dalle vers l'Est (qui ont leur pendant à l'Ouest de la Grande Arche) ; • la Cheminée de Raymond

séjour de Lorca, pour qui Dali ressent une amitié et une complicité grandissante, à Cadaqués. Alors qu’en novembre, c’est la première exposition personnelle de Dali qui se déroule à la Galerie Dalmau à Barcelone, à l’occasion de laquelle Picasso et Miro commenceront à s’intéresser à ses travaux. En avril 1926, Dali fit son premier voyage à Bruxelles et à Paris, où il rendit visite à Picasso qui fut très impressionné par les œuvres qu’il lui montra. Dali est définitivement exclu « volontairement

par André Masson ou les rayographes par Man Ray. Deux courants principaux traversent le surréalisme: la tendance vériste, représentée principalement par Giorgio de Chirico et Salvador Dali, plus figurative et onirique, ou le surréalisme absolu de Joan Miro et Yves Tanguy, qui privilégie l’abstrait. Les surréalistes se distinguent nettement de leurs précurseurs par l’influence des travaux de Freud sur le rêve et la psychanalyse. Giorgio de Chirico, Hector et Andromaque (1926)

Desnos... Les artistes s’inspirent de l’œuvre de Giorgio De Chirico, unanimement reconnue comme fondatrice de l’esthétique surréaliste. Dès 1924, Max Ernst, Jean Arp et Man Ray adhérent au mouvement. Ils sont rapidement rejoints par André Masson, Joan Miró, René Magritte, Salvador Dali, Alberto Giacometti, et Yves Tanguy. Hans Bellmer, Raoul Ubac, Oscar Dominguez et Victor Brauner adhérèrent ensuite également au mouvement. La 1ère exposition collective des surréalistes a lieu à Paris en 1925. Puis

Le bureau de recherches surréalistes s’ouvre également cette année-là. 1925 : Inauguration de la première exposition de peinture surréaliste regroupant des œuvres de Giorgio De Chirico, Hans Arp, Max Ernst, Paul Klee, Man Ray, André Masson, Joan Miró, Picasso et Pierre Roy. 1927 : Breton se joint au mouvement communiste. Il écrit également Nadja, portrait d’une jeune femme dont il a été amoureux et qui a sombré dans la folie. L’ouvrage se termine sur l’affirmation désormais célèbre : "La beauté

un marchand d'art de New York qui s'est spécialisé dans les peintures allemandes.  La collection Guggenheim inclus désormais un riche éventail de grandes œuvres expressionnistes et surréalistes avec des peintures de Marc Chagall, Paul Klee, et Joan Miró. Le prochain saut en avant a été en 1963, quand Thomas M. Messer, qui avait succédé en tant que directeur deux ans plus tôt, a acquis un grand groupe d'œuvres ( il en acquerras 73) de la collection privée du marchand d'art Justin K. Tannhäuser