John Locke Bien Que La Terre Et Toutes Les Creatures

................................................................................................................................................................................................................... Philippe Hamou L ’opinion de Locke sur la « matière pensante ». .........................................................................................................................................................................................................................

écrivains impriment cette époque de leurs esprits critiques en se donnant pour tâche d’éclairer (d’où la métaphore de la lumière) par la « Raison » une humanité plongée dans l’obscurantisme : les anciennes idées politiques et religieuses qui nient tout progrès et tout nouveau savoir et qui s’opposent à la science et à la diffusion des idées nouvelles et progressistes ; à l’image d’Emmanuel Kant (philosophe allemand) qui scande en 1784 : « Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement 

I Introduction. . Etat : organe du pouvoir politique, constitué par l’ensemble des institutions : politiques, juridiques, militaires, administratives, économiques, etc , qui organisent une société sur un territoire donné en fonction d’une idée du bien commun. (Communauté juridique) cela suppose : 1- un pouvoir qui dure dans le temps, une permanence de l’institution et du pouvoir qui ne se confond pas avec la personne du chef ou du représentant. Une formule illustrait autrefois cette continuité

chaque élément, organes à une fonction. L’homme possède la distinction du bien/mal, juste/injuste or ces distinctions sont seulement utiles en société. D’où les caractéristiques de la thèse d’Aristote : l’association est naturelle, commandement/obéissance par nature. Maître/esclave= force physique, intelligence de l’obéissance, incapable de ↓ liberté, de décider pour son propre bien. =physique faible, intelligence du commandement, capable de décider pour

On va essayer de voir comment les européens ont essayé d’ordonner le monde qui les entourait par la pensée. Pour cela ils ont élaboré des théories philosophiques, ils se sont interrogés sur la façon de gouverner sur l’art de vivre ensemble ou l’art tout court. On va voir comment les idées se répandent, comment elles s’engendrent, s’opposent, se répondent ou enfin disparaissent. De nombreux historiens de la pensée ont abordé ces questions. Jacqueline Russ dans L’aventure de la pensée européenne envisage

permet de saisir simultanément. L’œil divin «qui voit tout» est encore figuré par le soleil. C’est l’œil du monde, cette expression correspond à Agni, et désigne aussi Bouddha. L’œil du monde est aussi le trou au sommet du dôme, la porte du soleil. Ainsi, c’est le regard divin embrassant le cosmos. Mais c’est aussi le lieu de passage pour sortir du cosmos. En Inde, l’œil de Civa signifie le feu, on peut en déduire que le regard réduit tout sur son passage. Il exprime la dimension, la simultanéité

INTRODUCTION GENERALE 0.1. Choix et intérêt du sujet Le concept d’état de nature tout comme celui de contrat social a d’ailleurs été souvent critiqué par nombre de penseurs comme une abstraction, une entité fictive. Or, il ne doit pas y avoir de malentendu : sur ce point, les philosophes du contrat ne se trompent pas ; il s’agit de bien comprendre que cet état n’est en aucun cas pour eux une réalité historique. Il ne constitue jamais qu’une hypothèse. Ils ont, globalement, le raisonnement

et envers l’Eglise de l’autre. Calvin insiste sur le comportement citoyen, il y a pour lui coïncidence parfaite entre le citoyen et le croyant.   Finalement c’est une doctrine qui prône la séparation sans être extrémiste, d’autre part elle détruit tout ce qu’il reste de la théorie des deux glaives : il n’y a pas d’idée de contrat. A noter que Luther et Calvin ont tous deux une méfiance importante vis à vis de la démocratie.       En conclusion on voit déjà comment cette nouvelle éthique qui exprime

Incarnant, selon Portalis, « le véritable ciment de l’édifice social », les bonnes mœurs, dans leur déclinaison pénale ou civile, tendaient conformément à la formule employée par la CA Paris, dans un arrêt du 7 janvier 1958 Dermée et Rossard à prohiber tout comportement « de nature à exciter les passions d’ordre sexuel ». A la fin du XX° siècle, dans le sillage de la révolution culturelle de 1968, la notion de « bonnes mœurs » décline peu à peu et la liberté d’entretenir des relations intimes et notamment

sont également membres d’une communauté religieuse . Chaque cités à ses dieux tutélaires .Ainsi Socrate à été condamné à mort car il avait bafoué les Dieux de la Cité d’Athènes ;il y a donc toujours confusion entre le politique et le religieux. Toutes les cités Grecques, romaines et antiques connaissent ce phénomène.  L’autre point commun entre les cités est leur mode d’apparition : le Synœcisme , ce sont des rassemblement de tribus qui font émerger la cité . Cela peut avoir un incidence