John Locke

de la séparation des pouvoirs publics étant la rame l'exécutif traditionnels, législatif et judiciaire, est l'un des principes plus importants l'état de droit depuis le XVIIIe siècle. La division tripartite des pouvoirs conçu à l'origine par John Locke et Montesquieu, conduit à une analyse des fonctions de l'Etat, qui a finalement porté et tournait autour de la loi (création, mise en œuvre, l'interprétation). Cette division est justifiée en tant que le seul moyen d'assurer la liberté et les

la pratique, le pouvoir exécutif va souvent au-delà de son rôle en s'assurant la mainmise sur les autres pouvoirs (nomination des juges, possibilité de légiférer). Le principe de séparation des pouvoirs a été énoncé par le philosophe anglais John Locke (1632-1704) dans son "Second traité du Gouvernement Civil"de 1690 et plus tard par Montesquieu (1689-1755) dans "L'esprit des lois" (1748). Montesquieu qui est favorable à une monarchie non despotique distingue : - le pouvoir exécutif détenu par

ses actions l’homme va se construire une image, image qu’il va renvoyer à autrui. A ce moment l’on peut dire que nos actes son le reflet de notre conscience. De fait l’homme a conscience de chacune de ses actions. La conscience est pour l’empiriste Locke un facteur majeur de l’identité personnelle. Par déduction les actes seraient un moyen de la conscience, de notre caractère de s’exprimer. Ceci expliquerait l’existence d’un langage corporel. Certaine de nos émotions transparaissent par notre corps

Ce souverain concentre l’intégralité du pouvoir étatique. Ses sujets doivent lui obéir, sauf si le « Léviathan » ne parvient plus à protéger ses sujets contre l’insécurité, ils peuvent changer de souverain. 2) Le « gouvernement civil » de Locke John Locke va revisiter la théorie de Hobbes dans son « Essai sur le gouvernement civil » en 1690. Pour lui l’homme est un être intelligent et l’état de nature est ainsi un état de liberté relative où la raison l’emporte sur la guerre. Pour lui, si l’insécurité

Settlement » en 1701 qui défini les conditions d'exercice de la monarchie. Ainsi, depuis sa création, le Parlement Britannique incarne pleinement la souveraineté du Royaume-Uni et participe ainsi au principe de séparation des pouvoirs mis en place par John Locke dans son second traité du gouvernement civil paru en 1690. Le Parlement Britannique est l'organe de conquête des libertés populaire, ce qui lui permet d'acquérir une certaine légitimité démocratique. Nous pouvons nous poser la question de savoir

(1734) et De l'esprit des lois (1748) dans lequel il développe sa réflexion sur la répartition des fonctions de l'État entre ses différentes composantes, appelée postérieurement « principe de séparation des pouvoirs ». Montesquieu, avec entre autres John Locke, est l'un des penseurs de l'organisation politique et sociale sur lesquels les sociétés modernes et politiquement "libérales" s'appuient. Les Lumières est ce mouvement intellectuel du XVIIIème siècle qui est à la fois une révolte, une révolution

raison et le savoir doit triompher et conduire l'homme au progrès. Par ailleurs, ce mouvement conteste la monarchie absolutiste rigoureuse mise en place par le roi soleil pendant son règne. Pendant son exile, Voltaire à rencontre le philosophe John Locke en Angleterre. Ce dernier lui expose un régime politique idéal avec une monarchie constitutionnelle et un respect de la liberté de pensée. Au contact des philosophes d'Outre Manche où la liberté d'expression était alors plus grande qu'en France

réfléchirait de façon plus collective, plus communiste. La politique est la plus grande source d'idéologie, des idéologies qui justement sont venus au jour pour la seule raison de protéger d'autres croyances et intérêts d’où vient la citation de John Locke ‘La raison pour laquelle on entre dans une société politique, c'est de conserver ses biens propres’. L’idéologie et l’identité sont deux termes que l’on revoit souvent soit en classe d’études sociales mais surtout dans la politique et dans notre

l’expérience par les sens comme critère de vérité, qu’il qualifie de nécessaire. Cet extrait pose la question de savoir comment atteindre la vérité et s’inscrit plus largement dans le débat qui oppose l’innéisme à l’empirisme prôné notamment par John Locke dans son Essai sur l’entendement humain. Des enjeux majeurs se dégagent de ce texte : Qu’est-ce qu’une vérité ? Sur quoi se fonde-t-elle ? Si les sens ne peuvent être une condition suffisante pour établir l’objectivité des connaissances, peut on

ensemble d'idées qui propose un système d'organisation social (exemple: Marx >> prolétaires de tout pays unissez vous). I- Le libéralisme 1°- le libéralisme politique libéralisme politique nait avant le libéralisme économique. Théorisé par John Locke avec un Second traité sur le gvt civil, l'homme est un homme avant de vivre en société, il n'a pas besoin de la société pour être un homme, l'état est un état de malaise l'homme est toujours "animé d'inquiétude" car il se projette vers le futur