John McDouall Stuart

Dossier 6 : Les origines de la théorie néoclassique : Léon Walras (p. 68) Dossier 7 : Les origines de la théorie néoclassique : John Bates Clarke (p. 76) Sujets d’examen 2004-2010 (p. 84) Bibliographie (p. 88) ____________ 2 3 Dossier 1 : Introduction à l’économie politique classique Adam Smith et la division du travail CONTENU DU DOSSIER - Texte 1 : Joan ROBINSON & John EATWELL, L’économique moderne, Traduction française, Ediscience, Paris, 1975 (extrait). - Texte 2 : Adam SMITH (1776), Enquête

1867 « Des principes de l’économie politique et de l’impôt ». 2. L’école néoclassique Un français, Jean-Baptiste (1767-1832) connu pour un « traité d'économie politique » dont la 1ère édition date de 1803 et la 6e de 1848. Beaucoup plus tardif John STUART MILL (1806-1873, anglais) auteur en 1848 des « principes d'économie politique », en tant qu'économiste, il reprend les thèses de Ricardo, économiste technicien. A partir de SMITH, il y a eu une tentative de « comprendre comment ça marche indépendamment

siècle : Adam Smith (1723-1790), Jean-Baptiste Say (1767-1832), David Ricardo (1772-1823), Thomas Malthus (1766-1834) et John Stuart Mill (1806-1873) sont généralement associés à ce courant. La définition de l’Ecole classique est discutée : elle est en général vue comme se situant dans une période de l’histoire économique située entre 1776 (parution John Stuart Mill, portait par John Watkins, 1865 de « La Richesse des nations » de Smith) et 1848 (parution des « Principes d’économie politique » de Mill)

libéraux comme plus conventionnel et socialement moins subversif. John Locke, l’un des philosophes libéraux du 17ème siècle, a fait une distinction entre le droit divin d’un roi à diriger, qui devient un model pour d’autres relations hiérarchiques entre serviteur et patron, mari et épouse. C’est dans les oeuvres des écrivains et des philosophes de la deuxième moitié du18ème siècle et le 19ème siècle comme Mary Wollstonecraft, John Stuart Mill et Harriet Taylor que la théorie libérale était explicitement

John Stuart Mill « L'utilitarisme » I. Présentation de l'auteur: A. Le classicisme: Contemporains de la Révolution industrielle, les économistes classiques ont eu l'ambition de créer une véritable science de l'économie. Pour cela ils s'intéressent tout d'abord au problème de la valeur des marchandises notamment en fonction de la quantité de travail fournie pour leur production. Mais leur objectif (qui les rapprochent de leurs prédécesseurs: les physiocrates) est de mettre à jour des lois

» et a besoin d’un régime autoritaire pour le guider. Jérémy Bentham est dans la même lignée de pensée puisque pour lui l’homme est égoïste et a besoin de lois et de règles pour le guider. Pour Kant ca sera l’intention qui compte alors que pour John Stuart Mill se sont les actions qui comptent, etc. Ainsi l’on remarque à travers ces quelques exemples à quel point il peut être complexe de juger un problème éthique. Nous pouvons aussi aborder la problématique du point de vu strict de « l’information

nombre le seul principe de légitimité, sans considération de toute règle ou de tout principe autre. C’est également une cause de conformisme qui confine en des bornes étroites l’exercice de la pensée. Une critique semblable sera conduite par John Stuart Mill dans son livre “De la liberté” (1859), ce manifeste de libéralisme politique. Face à l’intolérance de l’opinion majoritaire, il y fait l’apologie de la liberté d’opinion et d’expression, du droit de l’individualité au développement, à la libre

IVe République que les femmes obtiennent des droits civils, politiques et sociaux égaux à ceux des hommes. Le féminisme est soutenu principalement par les femmes, bien qu'il soit également activement supporté par des hommes comme, par exemple, John Stuart Mill (1806-1873), Victor Schoelcher (1804-1893)... De nos jours, on peut citer le mouvement français "Ni putes ni soumises", créé en 2003, qui, de manière très médiatique, attire l'attention sur les problèmes que rencontrent les femmes dans les

libéralisme moral (liberté des mœurs, laïcité)… o Les libéralismes conservateurs (qui défendent et veulent maintenir les positions acquises et notamment les intérêts de la bourgeoisie) des (social-)libéralismes progressistes et réformistes (de John Stuart Mill à John Maynard Keynes). o Les libéralismes constructivistes et rationalistes (des utilitaristes classiques et néo-classiques en général) des libéralismes critiques et sceptiques (des ultralibéraux autrichiens)… Ce que nous pouvons essentiellement

la IVe République que les femmes obtiennent des droits civils, politiques et sociaux égaux à ceux des hommes.Le féminisme est soutenu principalement par les femmes, bien qu'il soit également activement supporté par des hommes comme, par exemple, John Stuart Mill , Victor Schoelcher.De nos jours, on peut citer le mouvement français "Ni putes ni soumises", créé en 2003, qui, de manière très médiatique, attire l'attention sur les problèmes que rencontrent les femmes dans les banlieues : mariages forcés