John Rawls Théorie De La Justice

(Note obtenue : 16/20) Sujet : La référence au principe d’égalité suffit-elle à garantir la justice sociale au sein des sociétés démocratiques ? Introduction : Les valeurs de la démocratie libérale ressortent principalement de l’article premier de la Déclaration universelle des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789, qui stipule que « tous les hommes naissent et demeurent égaux et libres en droit ». C’est au XIXème siècle qu’Alexis de Tocqueville met en évidence le fait que l’idéal d’une

« Nous avons besoin de relations pour nous accomplir, pas pour nous définir » Philosophie politique Communautaristes et communautariens Introduction – 1° John Rawls et la théorie de la justice 1/3 (é.35) – 2° John Rawls et les inégalités naturelles 2/3 (é.36) – 3° John Rawls et l’idéal démocratique 3/3 (é.37) – 4° Robert Nozick et le libéralisme philosophique 1/2 – 5° Robert Nozick et la critique de l’égalitarisme 2/2 – 6° Alasdair MacIntyre et la morale d’Aristote 1/3 – 7° Alasdair MacIntyre

................................................................................................................2 I. Les tendances du rôle social de l’impôt......................................................................4 A. La justice redistributive de l’impôt dans la société..................................................4 1. La progressivité de l’impôt........................................................................................4 2. La sélectivité des impôts

sociétés sans droit. Ainsi la règle de droite et sanctionnée par la puissance publique. Le droit a un caractère coercitif, il sanctionne publique. Cette sanction montre la droit, le droit est là pour assurer l'ordre en société, le droit n'est pas la justice Il assure l'ordre. La sanction est une peine prévue par la loi une infraction pour punir une infraction, la sanction c'est l'acte par lequel le chef de l'État rend exécutoire une mesure législative. Le droit est là pour assurer l'ordre dans la société

positives a contrario des lois morales ou divines, considérées comme naturelles. Exprimant la volonté de Dieu (testament, Bible ?). En tant qu'elle exprime la volonté de Dieu par des règles générales et promulguées, la Loi s'oppose à la Grâce (Justice?). Par suite, exercice d'une autorité ; contrainte imposée par les hommes ou les choses Subir la loi du vainqueur. Règle obligatoire, exprimant la nature idéale d'un être ou d'une fonction, la norme à laquelle il doit se conformer pour se réaliser

mœurs ou encore à son opuscule Qu’est-ce que les Lumières ? à Schelling et ses conceptions de la liberté, à Spinoza et son Ethique, à La Boétie et son Discours de la servitude volontaire mais aussi à des auteurs plus contemporains comme John Rawls et saThéorie de la justice…Pensez enfin aux Fables de la Fontaine, qui sont toujours une source d’enseignement philosophique (« Le Chien et le Loup », par exemple…) La démarche est la suivante : montrer qu’en apparence il serait tentant de penser que le responsable

internationale 1. 1. Qu’est-ce que la Démocratie sociale ? 2. Valeurs fondamentales 2.1. Liberté 2.2. Egalité / Justice 2.3. Solidarité 2.4. Que disent les autres, en fait ? 2.5. Les valeurs fondamentales en pratique 3. Comparaison de modéles de société 3.1. Capitalisme de marché et Démocratie 3.2. Positions libérales 3.3. Positions conservatrices 3.4. Démocratie sociale et Socialisme démocratique 4. La théorie de la Démocratie sociale de Thomas Meyer 4.1. Le point de départ 4.2. Libertarisme contre Démocratie

limiter autant que possible l’incertitude et l’erreur. Et non pas arriver à une vérité certaine. Magistrate B. Patrie « l’école devrait inculquer l’esprit de doute ». Illustration par la création de l’IHEJ institut des hautes études sur la justice animé par A.Garapon. « Le Juste » ouvrages écrit par Ricœur. Double qualité de cette approche : - une attitude modeste face à la complexité et au mystère des choses et donc du droit. - Curiosité, capacité d’étonnement, une capacité qui exprime

il faut être raisonnable, la liberté de l’homme doit connaître quelques limites, sinon, ce serait le chaos! Une action doit pouvoir être justifiée. Pourquoi être libre de faire un geste si on ne connait pas l’enjeu de celui-ci. D’ailleurs, cette théorie reflète un échec du Siècle des lumières, c'est-à-dire la dérive de l’autonomie. Donc oui, l’homme qui possède le droit d’aller voter et est libre de le faire. De plus, il devrait le faire, mais pourquoi exercer ce droit s’il ne sait pas pourquoi

grâce à l’éducation comme expérience (2.). J’examinerai donc à tour de rôle l’apport de l’expérience démocratique (2.1), puis celui des expériences sociale et économique (2.2). À terme, mon objectif est de montrer le potentiel égalitariste de la théorie millienne de l’éducation pour la liberté. 1. L’éducation pour la liberté La formulation générique du principe millien de liberté est énoncée d’entrée de jeu dans De la liberté, l’ouvrage auquel on se réfère le plus fréquemment pour définir la liberté