Joie

toujours désirer et à toujours souffrir. Ici, Schopenhauer s’interroge sur la nature de la douleur et sur celle du plaisir. Dans un univers comme celui de Schopenhauer, le bonheur est-il possible ? Comment ressentons-nous la joie ? Pouvons-nous prendre conscience de la joie quand elle est là ? Ou, c’est simplement par contraste, que le bon se conçoit ? Pour répondre à ces questions, Schopenhauer passe par une analyse de la sensibilité. Ce texte se décompose en trois parties : la première étudie la

lui ai confié mes peurs, mes secrets, mes joies... & je l'ai soutenu du mieux que j’ai pu lorsqu'elle tu me réclamer du soutient. Mon petit bijou est la prunelle de mes yeux, mon rayon de soleil. Tu est Belle, tu me donne de la force & de la joie; je ne me vois plus sans cette perle là, qui m'as fait croire en l'Amitié à un moment de ma vie où je n'avais plus aucune raison d'y croire; Ma perle rare s'appelle VICTOIRE. Elle est mon Anciiene, mon bonheur. Je l'aime d'une folie & d'une force

? Ne devrait-on pas plutôt dire qu’il y a du plaisir que dans l’instant ? En effet lorsque l’on regarde son émission favorite on ressent du plaisir mais peut on parler de bonheur ? Le plaisir est également une forte émotion. Elle représente de la joie qui, elle, en revanche, ne s’éternise pas. Le bonheur n’est pas que dans l’instant, en effet, cette ataraxie est durable en général or l’instant est t’il durable ? Non. Ce n’est autre qu’une durée d’un éphémère ponctuel. C’est pourquoi lorsque l’on

une limousine, j'en ferais quoi ? Papalapapapala …........ moi du personnel, j'en ferais quoi ? Un …........... à Neufchatel, ce n'est pas pour moi. Offrez moi la …..........., j'en ferais quoi ? papalapapapala (Refrain:) Je Veux d'l'amour, d'la joie, de la …......... …........., ce n'est pas votre …......... qui f'ra mon ….........., moi j'veux crever la main sur le …....... papalapapapala allons ensemble, découvrir ma liberté, oubliez donc tous vos clichés, …............ dans ma …........

source de tous sentiments, de joie, de bonheur, d’amusement, semble s’être rempli du plus grand malheur, de douleur intense et de peines sans fin. Des Grieux fait donc part d’une grande souffrance puisqu’il a le cœur brisé au point d’en mourir. Éventuellement, ce même personnage principal sera amené à vivre une grande tristesse. Effectivement, à l’aide d’une antithèse, le protagoniste prétend vivre plus de chagrin que de joie face au retour de sa bienaimée, Manon « La joie de la retrouver ne l’emportait

Mais nous allons tout d’abord voir qu’est-ce que réellement le bonheur. Le bonheur n’est pas un sentiment que l’on ressent sur le moment présent, en seulement quelques instants. Il a une valeur plus durable, et se définie par une sensation agréable de joie, de bien-être, ou tout ce qui nous entoure nous parait source de ce bonheur. Le bonheur exclu toute forme de stress, d’angoisse, de tristesse ou de doute. Il est vécu pleinement. Chaque action, chaque instant est un moment de satisfaction. Le bonheur

un « vous » et lui dessine un paysage d'élection qui symbolise à la fois la joie et la mélancolie. Ce paysage est un parc (« jets d'eau, marbre ») où jouent des personnages Le paysage est aussitôt caractérisé par un adjectif laudatif : « choisi » ( = élu, privilégié) b) Dans le dernier quatrain, les éléments du paysage sont personnifiés. Les oiseaux => rêver Les jets d'eau => sangloter, extase, sveltes II- La joie et son expression a) Champ lexical de la fête la musique (« luth, chantant

politique durant l’époque des lumières ou les gens du peuple devaient obéir à un gouvernement despotique : « Rendons grâce au ciel de nous avoir fait naître dans un gouvernement différent, ou nous obéissons avec joie au Monarque qu’il nous fait aimer. » (l.4-5) Cette antithèse d’obéir avec joie démontre une opposition au fait que les hommes en général n’obéissent pas nécessairement à un ordre pour le plaisir de le faire, mais plutôt par la peur qui les habitent. Par ailleurs, l’auteur mentionne que

les saisons évoquées permettent à la fois de relier cette femme à la souffrance ( «je sèche» ) et à la joie ( « je verdoie » ). Le désordre amoureux est donc aussi perceptible dans ce corps soumis puisque que la poétesse insiste sur le changement d'état constant dont elle est victime. Ces antithèse insiste sur la dualité des sentiments avec le croisement de deux champs lexicaux, celui de la joie et de la douleur, d'un côté, les termes « joies » v.4 , « rit » v.5, « plaisir » v.6, « hors de peine »

sa fille. Enfin, pour le père Grandet, protéger sa fille et protéger sa fortune sont vraiment la même chose. Il est si avare qu’il ne voit pas de différence entre l’argent et la joie. L’exemple le plus significatif se trouve dans sa tentative à agrémenter sa femme. Quand elle est malade, il lui dit, « Vive la joie ! » et « [jette] dix écus de six francs sur le lit de sa femme » (214). Immédiatement après, il la demande si elle va mieux, comme si cet argent avait le pouvoir de la guérir instantanément