Jonc

Le frêle esquif sur la mer sombre Sombre ; La foudre perce d'un éclair L'air. C'est minuit. L'eau gémit, le tremble Tremble, Et tout bruit dans le manoir Noir ; Sur la tour inhospitalière Lierre, Dans les fossés du haut donjon, Jonc ; Dans les cours, dans les colossales Salles, Et dans les cloîtres du couvent, Vent. La cloche, de son aile atteinte, Tinte, Et son bruit tremble en s'envolant Lent. Le son qui dans l'air se disperse Perce La tombe où le mort inconnu

chose à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s’élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du Nord sur le tronc d’un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait ! Le clocher solitaire s’élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards ; souvent j’ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats lointains où

chose à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait ! Le clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats lointains où

l’âme A) La nature, une force puissante 1° Champ lexical de la nature a) «les  vents » (l.4), « les eaux » (l.4), « un désert » (l.5), etc. → La nature est omniprésente. 2° Personnification de la nature a) « un étang désert où le jonc flétri murmurait » (l.14) et « Levez-vous vite, orages désirés » (l.20) → La nature est une force incontrôlable. C.A : René associe la nature à une force qu’il ne peut pas contrôler et qui l’entoure en tout temps. B) René perçoit son

chatouille - ruisseau Couchée sur le ventre, un linceul de sable me couvre à demi. Si je bouge, un fin ruisseau de poudre s'épanche au creux de mes jarrets, chatouille la plante de mes pieds... Le menton sur mes bras croisés, le bord de la cloche de jonc borne mes regards et je puis à mon aise divaguer, me faire une âme nègre à l'ombre d'une paillote. 20. Transcrire phonétiquement le premier paragraphe. Donner les fonctions du graphème "t" dans tout le texte. A mi-chemin de la cage au cachot, la

nom des mers ou des océans. Repasse les fleuves et leurs affluents selon la légende, puis réponds aux questions. BELGIQUE ALLEMAGNE LUXEMBOURG ROUEN PARIS NANTES PLATEAU DE LANGRES SUISSE MT GOTHARD LYON MT GERBIER DE JONC ITALIE TOULOUSE MALADETTA bleu La Loire et ses affluents rose Le Rhône et ses affluents violet La Seine et ses affluents rouge orange La Garonne et ses affluents Autres fleuves et rivières www.alencreviolette

sur l'agriculture des Chipayas sont le résultat de recherches approfondies menées par des experts dans le domaine de l'anthropologie et de l'ethnographie. Ils sont également connus pour leur artisanat, en particulier pour la fabrication de paniers en jonc, de tapis et de vêtements traditionnels colorés.La culture des Chipayas est riche en traditions et en rituels religieux. Ils ont une religion unique qui combine des éléments catholiques et des croyances ancestrales, et célèbrent plusieurs fêtes religieuses

la nature présente un état de désolation. Le champ lexical en lien avec la désolation composé des mots «désert» (l.5), «automne» (l.6), «roche écartée» (l.14), «cime dépouillée» (l.13), «feuille séchée» (l.12-13), «mousse qui tremblait» (l.13-14), «jonc flétri» (l.14) met en évidence la nature triste et instable qui reflète l’état dépressif du héros. Le personnage principal, souffrant d’instabilité affective, trouve alors refuge dans la nature morte. De plus, la comparaison « Les sons que rendent

l’homme = Siège du lyrisme. Mais lyrisme mélancolique. Troisième paragraphe. Héros qui aime se perdre dans l’immensité de la Forêt. Egarais – bruyère – forêt. Contemplation dans la Nature. Attention à des détails – Une feuille/La mousse/Le jonc flétri. Singularité + décrépitude = solitude/ mélancolie. + Pour souligner ces correspondance – personnification. Aspiration à l’ailleurs, à l’absolu, à l’inconnu. * Au loin, les oiseaux de passage, au dessus, bords ignorés, lointains. Le

René. En effet, le champ lexical de la nature telle que les mots « désert » (l. 5), «automne » (l. 6), « feuille séchée » (l. 12), « cime dépouillée » (l. 13), « mousse qui tremblait » (l. 13), « roche écartée » (l. 14), « étang désert » (l. 14), « jonc flétri » (l. 14)et « pluie » (l. 21) interprète de façon claire l’état de chagrin du héros. De plus, la métaphore « Les sons que rendent les passions dans le vide d’un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans