Jonc

choses à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait ! Le clocher solitaire, s'élevant au loin dans la vallée, a souvent attiré mes regards; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats lointains où

René. En effet, le champ lexical de la nature telle que les mots « désert » (l. 5), «automne » (l. 6), « feuille séchée » (l.12), « cime dépouillée » (l. 13), « mousse qui tremblait » (l. 13), « roche écartée » (l. 14), « étang désert » (l. 14), « jonc flétri » (l. 14)et « pluie » (l. 21) interprète de façon claire l’état dechagrin du héros. De plus, la métaphore « Les sons que rendent les passions dans le vide d’un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans

prend sa source dans l’est du Massif central, au pied sud du mont Gerbier de Jonc, dans la commune ardèchoise de Sainte-Eulalie, à 1 408 m d’altitude. Elle n’est à l’origine qu’un simple filet d’eau, et il serait plus juste de parler des sources de la Loire car le fleuve n'est au départ qu'une multitude de petits ruisseaux qui se rejoignent progressivement. La présence d'une nappe phréatique sous le Mont Gerbier de Jonc donne naissance à de multiples sources, trois d'entre elles situées au pied

son vêtement apporte beaucoup de luminosité. Il porte son regard sur le marché, le domine. L’attention est centrée sur lui, sur son importance dans la société aztèque. Au second plan, à gauche de l’empereur, c’est l’endroit où se vendent les tapis de jonc (« las esteras »), les couvertures, …Puis, derrière encore, apparaît une pyramide. Rappelons que les aztèques pratiquaient les sacrifices humains au sommet des pyramides. Derrière, on remarque la ville de Tenochtitlán par laquelle on accède grâce à

accolées entre elles grâce à systèmes de jonc°. Elle a une membrane basale ( « passoire » formée par des molécules qui vont autoriser ou non le passage de certaines molécules)  Les cellules forment des jonc° avec la membrane basale. Ø vaisseaux dans épithelium d’où les échanges très important entre extérieur, cellules épithélial, tissu conjonctif et capillaire sanguin. LUMIERE : syst de jonc° Epithéliums

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de ces caractéristiques des terrils expliquent pour les végétaux qui y poussent et les animaux qui y vivent ne sont pas forcément les mêmes qu’ailleurs. Une mare artificielle a été créée par la mine, au bord de celle-ci se développe des roseaux, jonc ainsi que des phragmites. Des oiseaux tels que des hérons, des poules d’eau ou encore des grèbes. On y trouve des libellules aussi. On peut donc voir que l’homme a fait des modifications sur cet environnement: -Dans la forêt en créant des chemins

pour palier son mal de vivre. D’une part, il a une imagination furtive. Effectivement, l’auteur utilise une accumulation de mots référents à la nature tel que « Qu’il fallait peu de choses à ma rêverie : une feuille séchée […] un étang désert où le jonc flétri murmurait! » (l. 12-14) démontre que tout ce qu’il voit ou même entend l’amène à s’imaginer autre chose. Par ailleurs, la présence du champ lexical de l’imagination comme «rêverie» (l.12), «égarais» (l.12), «figurais» (l.16) et «autre vie»

conscient de ses faiblesses : il est lucide sur lui-même. Il veut se battre avec les armes de Don Salluste, il devine ce qui se trame, et est lucide de son trouble : Je suis fou - Il est aux prises d’une autorité supérieure : o N’est plus qu’un pauvre jonc tordu par un orage! [...]