Jorge Semprun Maurice Halbwachs

1. « L’écriture ou la vie » est un roman autobiographique, retraçant la vie de son auteur, Jorge Semprun. Nous pouvons affirmer du style autobiographique de l’œuvre, car le texte est à la première personne du singulier, et que nous avons accès à toutes les pensées du personnage principal et que la triple égalité est respectée (narrateur, personnage principal et auteur se confondent). la tonalité pathétique est particulièrement présente dans le livre, l’auteur évoque surtout les rapports humains

historique page 10 page Il 1.2 Le témoignage et le texte littéraire CHAPITRE Il LE TÉMOIGNAGE CHEZ SEMPRUN, LE CORPS CO:M:ME MÉDIATION DE LA MÉMOIRE 2.1 Le témoin page 21 page 28 page 29 2.2 La mémoire dans les récits de Semprim page 37 2.3 Le corps dans le témoignage de Semprun page 53 CHAPITRE III LA FICTION DANS LE TÉMOIGNAGE DE JORGE SEMPRUN 3.1 L'art dans le témoignage: littérature, poésie et musique page 69 page 72 3.2 Les personnages

imparfait, plus-que-parfait) qui renvoie au moment du souvenir... Déroulement de la séquence: Séance 1: L'univers autobiographique (lecture, O. RUIZ, « J'traîne les pieds ») Séance 2: Les enjeux de l'autobiographie (lecture, Montaigne, Essais, Semprun, L'Ecriture ou la vie) Séance 3: L'accord du participe passé (langue) Séance 4: L'énonciation dans le texte autobiographique (lecture, L-F Céline, Mort à crédit) Séance 5: Les modalités d'écriture (lecture + langue, M. Leiris, L'âge d'homme – le

affectueux et montre le lien profond qui unit les deux hommes. « Lorenzetta » met l’accent sur son apparence efféminée et vaut pour une insulte. Cette ambivalence est présente en I, 4, Lorenzo joue toute une comédie pour ne pas affronter Sire Maurice à l’épée : il tremble et manque de s’évanouir, refuse, même sur l’ordre d’Alexandre, de prendre une épée, se fait passer pour un lâche, un « pauvre amant de la science » qui ne sait pas manier les armes. Au contraire en III, 1, on le voit s’entraîner

affectueux et montre le lien profond qui unit les deux hommes. « Lorenzetta » met l’accent sur son apparence efféminée et vaut pour une insulte. Cette ambivalence est présente en I, 4, Lorenzo joue toute une comédie pour ne pas affronter Sire Maurice à l’épée : il tremble et manque de s’évanouir, refuse, même sur l’ordre d’Alexandre, de prendre une épée, se fait passer pour un lâche, un « pauvre amant de la science » qui ne sait pas manier les armes. Au contraire en III, 1, on le voit s’entraîner