Joseph Joffo

La difficilesuccession de Lenine Il meurt en Janvier 1924 et sa mort accentue les divisions internes au parti entre Trostsky, commissaire du peuple à la Guerre et Staline (J. Djougachvili), un georgien, secrétaire général du Parti. Les discensions Trostky est pour la révolution mondiale et Staline es t plutôt partisans de la coinstruction du socialisme dans un seul pays. Pour cela il compte utiliser la 3eme internationale fondée à Moscou en mars 1919. Staline au contrôle de l’Etat

Tallédec Sofiane TES2 Epreuve écrite Sujet 3 : Métropole, juin 2004 Question 1. Selon Joseph A. Schumpeter, l’activité économique suit un déroulement relativement précis dans le temps. Elle est structurée par des périodes d’essors et de récessions qui se succèdent et qui forment ce que l’on appel des cycles longs. Ceux-ci, en théorie, durent environ 50 ans (la durée peut varier du fait du contexte et de diverses facteurs tels que les innovations apparut durant ce cycle). Mais qu’est

Dissertation appuyée sur un dossier documentaire SUJET Quels sont les effets des innovations sur l'emploi ? DOCUMENT 1 L'idée que les gains de productivité conduisent inéluctablement à une destruction des emplois est contredite par la coexistence, depuis la révolution industrielle, d'une forte croissance de la productivité et d'un maintien de l'emploi (en proportion de la population active). [...] Il n'en demeure pas moins vrai que les gains de productivité induits par une innovation de procédé

Tenue du 4 au 11 février 1945 dans le palais de Livadia situé dans les environs de la station balnéaire de Yalta, sur la côte de la mer Noire, en Crimée, la conférence de Yalta réunit en grand secret les chefs de gouvernement de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill), des États-Unis (Franklin D. Roosevelt) dans les buts suivants: _adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la guerre; _régler le sort de l’Europe après la défaite du IIIe Reich; _garantir la

Entre 1945 et 1948, les pays d'Europe centrale sont intégrés, de force pour la plupart, à la sphère d'influence de l'URSS : ils doivent adopter le modèle de société communiste en vigueur à Moscou. Cette situation s'est prolongée durant toute la guerre froide, jusqu'en 1989 : on parle alors des « pays de l'Est », car ces pays appartiennent au bloc oriental ; ils sont séparés de l'Europe occidentale par le rideau de fer. On utilise aussi pour les désigner l'expression de « démocraties populaires »

Régime totalitaire : c’est un régime politique dirigé par un dictateur qui cherche à obtenir la soumission et l’obéissance de la population par tous les moyens (propagande, encadrement de la population, terreur et répression). Les droits et les libertés de la population sont supprimés. 1) Un régime de Terreur Dans les années 1930, la dictature de Staline se renforce. Toute critique du régime est interdite et la population est surveillée par une police politique (le NKVD). Tous les opposants

l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Le modèle politique est apparu dans l’entre-deux guerre, dans trois pays : en Italie sous Benito Mussolini le 31 octobre 1922, dans l’URSS de Joseph Staline en 1924 et dans Allemagne nazie d’Adolf Hitler dès le 30 janvier 1933. Il est souvent considéré que seuls deux pays avaient alors connu un véritable totalitarisme : l'Allemagne sous le nazisme et l'URSS sous Staline. Mais on distingue toutefois

D’où vient le progrès technique ? Jusqu’à Schumpeter, une grande partie des économistes considéraient le progrès technique comme un fait économique imprévisible et indépendant. Au mieux, certains le considéraient comme un fruit de la croissance. Pour eux, plus il y a de capital accumulé, plus on peut faire de recherches et donc plus on a de chances de parvenir à innover. Pour l’économiste autrichien, le progrès technique n’est pas une manne qui tombe du ciel. Il s’explique par la volonté d’innover

pour la croissance. Mais, au-delà de ce rôle, le progrès technique permet au système productif d’évoluer et empêche l’obsolescence ; c’est le principe de la « destruction créatrice ». b. Le phénomène de destruction créatrice L’économiste autrichien Joseph A. Schumpeter a montré les bouleversements qu’entraînait à long terme le progrès technique dans les structures de la production. Le mécanisme est assez simple à comprendre : dans les secteurs où les gains de productivité sont rapides parce qu’il y

Introduction : Bien souvent, le Progrès technique apparaît comme l'ennemi du salarié. Définit par Schumpeter comme "destruction créatrice", il aboutit souvent à des suppressions d'emplois en mécanisant le processus de production et en laissant de côté des emplois peu qualifiés ne pouvant pas faire face aux besoins de savoir-faire technique. Nous devons, donc dès lors, analyser pourquoi ce phénomène dont les effets positifs sont réels pour les salariés en termes de qualité de l'emploi comme en élargissement