Joseph Stiglitz Le Commerce Sera Equitable

valeur de 250 millions de dollars. En 1948, le GATT lance son premier round de négociations, visant à favoriser les échanges internationaux en baissant les droits de douane. Après l'Uruguay Round, le GATT se transformera enOrganisation mondiale du commerce (OMC), en 1994. D'un autre côté, la Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPAL), dépendante de l'ONU, a aussi été fondée en 1948. Présidée par l'économiste argentin Raúl Prebischde 1950 à 1963, la CEPAL sera l'un des lieux

connaissance se veut mémorisable et une accumulation au cours du temps. Par exemple, sans Pigou pas de Keynes et sans Keynes pas de Friedman. Sans Walras pas de Pareto, sans Pareto pas d’Arrow, ni Debreu et sans Arrow et Debreu pas de Grossman ni Stiglitz. Schumpeter y voit trois utilités: « un avantage pédagogique, de nouvelles idées et des perspectives sur les voies de l’esprit humain ».  On peut y voir aussi la boîte à outils classée des économistes, ou l’expression du choix d’une communauté très

adoptent de bonnes politiques », imposé aux grandes organisations mondiales telles que la Banque Mondiale, la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD), le Fonds Monétaire International (FMI), l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l'Organisation Internationale du Travail (OIT), le modèle du « capitalisme des parties prenantes » (intégration des dimensions économiques, sociales et environnementales du développement durable dans

réaffirmant leurs engagements malgré les « crises globales, des catastrophes naturelles et des conflits actuels » [10]). L'ONU par la voix de son secrétaire général Ban Ki-moon reconnait que les avancées sont insuffisantes, avec un bilan mitigé, pour Joseph Deiss (président de l'Assemblée générale de l'ONU). La faim concerne 925 millions de personnes et les indicateurs sont mauvais pour les objectifs concernant le SIDA, le développement durable, l'objectif de réduction de la perte de la biodiversité

financier doit permettre tout à la fois une orientation efficace de l’épargne vers considérables pour un grand nombre de banques et d’institutions financières, conduisant même certaines à la faillite. 11 les activités rentables et une répartition équitable des risques. La crise financière de 2007-2008 serait ainsi exclusivement due à l’intervention étatique qui n’a pas permis ce fonctionnement optimal. La multiplication des autorités de régulation nationales et internationales nuit aux fonctionnements

Janson-de-Sailly, Paris Sous la direction de Albert COHEN Lycée Claude Monet, Paris Lycée Lakanal, Sceaux Denis ANNE Lycée Notre-Dame de la Paix, Lille Stéphane CARRÉ Lycée Pablo Picasso, Fontenay-sous-Bois Pierre-Olivier PERL École nationale de commerce, Paris Mathieu FERRIÈRE Lycée Pothier, Orléans Franck RIMBERT Lycée Gabriel Guist’hau, Nantes Yves LE ROLLAND Lycée Émile Zola, Rennes Gilles ROBERT Lycée Descartes, Rennes Gilles MARTIN Lycée Lakanal, Sceaux Nicolas THIBAULT

financement des PME par les banques. par Ayman BADREDDINE thèse de doctorat en Sciences de gestion sous la direction de Fabrice ROTH Présentée et soutenue publiquement le 12 Mai 2011 Membres du jury : Michel HADDAD, Professeur, Université Saint-Joseph de Beyrouth (Liban) Jacques LIOUVILLE, Professeur, Université de Strasbourg Fabrice ROTH, Professeur, Université Jean Moulin Lyon 3 Alain TESTON, Maître de conférences honoraire, HDR, Université Jean Moulin Lyon 3 Table des matières Contrat

clés pour une meilleure contribution du secteur privé dans la mise en oeuvre des politiques de développement. J’en citerai ici trois : la responsabilité sociale, les partenariats publics privés et enfin un environnement commercial international équitable. D’abord, la responsabilité sociale. Le concept de gouvernance d’entreprise englobe aujourd’hui la capacité des dirigeants à prendre en compte les intérêts des autres parties prenantes, travailleurs, société civile, associations, etc. Ce nouveau

.................... Chapitre 2 : L'évolution de la structure des échanges internationaux de biens et services Section 1 : L'évolution de la structure des échanges internationaux par produit.................... Section 2 : Le développement du commerce interbranche et intrabranche............................. Section 3 : La division internationale du travail...................................................................... Section 4 : L'évolution de la structure géographique des échanges

remédier aux asymétries d’information et de compétence, mais au moins de réduire le risque pour les plus faibles et de les protéger contre ceux et celles qui possèdent l’information et la comprennent. La solution qui pourrait s’inspirer des pratiques du commerce international (voir ci-après l’article de Jérôme SGARD) ne semble pertinente qu’entre banques ou hedge funds, mais pas pour le grand public. En tous cas, depuis la décennie 80, l'économie mondiale a été rythmée par une succession de crises financières