Journées Sans Rire

remise à la marche. Mme D, marche avec des béquilles depuis qu’elle à enlevait son plâtre. Mme D est une très coquette, sociable, qui aime rire et racontait des séries TV de la veille au soir. En ce qui concerne son autonomie, elle n’a pas besoin d’être assisté, mis à part, pour se laver les pieds, le dos et pour mettre les bande de contentions. Ces journées se ressemblent souvent, le matin elle se lève vers 7H, nous arrivons dans sa chambre vers 7h15, nous l’aidons pour la toilette des pieds et

raviné. Il flottait dans sa jaquette d’hôpital. Tristan lui a décoché un regard mauvais, naseaux frémissants. L’autre s’est remis à faire des formes géométriques avec les smarties offerts par Tristan. Un triangle. Il a souri. Un losange. Éclat de rire. Une croix. Il a avalé un rouge. Il a secoué les smarties, les a jetés sur la longue table de métal, comme des dés. Observé longuement l’éparpillement, comme s’il était truffé de signes cabalistiques. Un sourire mystique a glissé sur son visage

amoureux, le valet rusé... Le comique -La comédie, qui vise d'abord à divertir et à faire rire le spectateur, recourt à toutes les formes de comique : comique de situation, de caractère, de langage, de gestes. -Le dénouement est heureux : la comédie se termine par un mariage ou une reconnaissance qui supprime les conflits. -Certaine comédies, cepandant, prêtent à réfléchir autant qu'à rire : Dom Juan de Molière est une comédie sérieuse. La farce Au Moyen-Age, la comédie perdure sous

parfois trois, parfois deux, mon cœur se mettait à battre. J'aimais particulièrement regarder celle où je suis assis sur Tom, dans le sable, aux Maldives. Il rigole à gorge déployée. Je me souviens que c'est Gustav qui a pris cette photo, qui me fait rire, qui me donne le sourire. J'imagine que je suis nostalgique de ces moments d'insouciance. LennyUn jour, Tom était venu chez moi, avait ouvert les volets, aéré l'appartement, fais le ménage. Il m'avait mis sous la douche, m'avait habillé, lissé les

signes conventionnels qui coupent le théâtre du réel. a. Le temps Le temps théâtral est illusion : le spectateur admet que deux heures de spectacle équivalent à une journée réelle, voire à plus de dix ans dans Cyrano de Bergerac. Le temps du spectacle raccourcit le temps de la fiction et l'auteur, pour créer l'illusion qu'une journée ou dix ans sont égaux à deux heures, recourt à des moyens artificiels. L'auteur recompose le temps et le résume en quelques répliques. Les entractes accélèrent son

signes conventionnels qui coupent le théâtre du réel. a. Le temps Le temps théâtral est illusion : le spectateur admet que deux heures de spectacle équivalent à une journée réelle, voire à plus de dix ans dans Cyrano de Bergerac. Le temps du spectacle raccourcit le temps de la fiction et l'auteur, pour créer l'illusion qu'une journée ou dix ans sont égaux à deux heures, recourt à des moyens artificiels. L'auteur recompose le temps et le résume en quelques répliques. Les entractes accélèrent son

DISSERTATION THEMATIQUE :Problématique : Dans quelle mesure Gargantua est un humaniste.Plan de la dissertation :I/Dans un premier temps, nous verrons qu’effectivement l’œuvre de Gargantua est un livre humaniste a travers le rire érigé en valeur fondematale.Argument 1 :Tout d’abord le rire apparaissant comme gaulois , grivois et scatologique est lié au plaisir de devenir « pantagruéliste ». Exemple 1 : dans le prologue, introduction du thème de la nourriture . Rabelais dit qu’il a écrit Gargantua

SEQUENCE 2, Texte 1,Le Fou et la Vénus, Baudelaire. Quelle admirable journée! Le vaste parc se pâme sous l'oeil brûlant du soleil, comme la jeunesse sous la domination de l'Amour. L'extase universelle des choses ne s'exprime par aucun bruit ; les eaux elles-mêmes sont comme endormies. Bien différente des fêtes humaines, c'est ici une orgie silencieuse. On dirait qu'une lumière toujours croissante fait de plus en plus étinceler les objets ; que les fleurs excitées brûlent du désir de rivaliser

sont accentués au fils du temps et qui viennent lui rappeler la cruauté du temps qui passe. Toutefois, Monsieur M. ne semble pas rigide face à l’évocation de ses changements physiques, il les évoque avec humour comme le montre les nombreux éclats de rire lorsqu’il décrit son corps comme fripé, gras et vieillis. L’humour est un mécanisme de défense, une réponse à un conflit lié au stress, à l’angoisse ou à l’anxiété en insistant sur les aspects amusants, ironiques d’un conflit entre les instances psychiques

ça se passe ». Contre toute attente, ces derniers donnent une réponse grotesque et absurde à la suite d’un « long silence » : « Du moment qu’on est prévenus ». Cette réponse s’analyse comme une indifférence, une dérision qui ne manque pas de faire rire le spectateur. La situation de dérision se poursuit lorsque Pozzo leur pose des questions « Comment m’avez – vous trouvé ? Bon ? Moyen ? Passable ? Quelconque ? Franchement mauvais ? ».Ce dynamisme contraste avec l’inertie des autres personnages.