Juan-les-Pins

du Groupe PARTOUCHE bénéficient enfin de leurs premières autorisations d’exploitation de machines à sous. Cette année-là, le Groupe prend le contrôle du casino Lyon Vert à La Tour de Salvagny et de ses filiales, les casinos de St-Galmier et de Juan-les-Pins. Le casino de Berck est rouvert par le Groupe. 1992 - Le Groupe est choisi par les communes de Royat et Chamalières pour rouvrir le casino de Royat. Cessions des casinos de Fécamp et de Bagnoles-de-l’Orne. 1994 - Le Groupe PARTOUCHE prend le

ACCOR HOTELS USA 154 700 38 CRT POITOU-CHARENTES 145 641 39 AEROPORT PARIS VATRY 144 469 40 BRITTANY FERIES 138 575 41 SOPEXA 132 216 42 VAR TOURISME AGENCE 120 196 43 PIERRE ET VACANCES BENELUX 118 999 44 CDT HERAULT 116 829 45 OT ANTIBES JUAN LES PINS 103 676 46 CENTRE DES MONUMENTS NATIONAUX 102 014 47 CDT AUBE EN CHAMPAGNE 89 348 48 SEM SAINT TROPEZ TOURISME 88 613 49 OT LYON 86 252 50 SAVOIE MONT BLANC TOURISME 83 896 51 OT TOULOUSE 82 017 52 HAUTE ALSACE TOURISME - ADT 80 482 53

Borhane ; LANFRANCHI, Marie-Christine Dir. Association Femmes, Sport, Culture, Méditerranée, 2002, 460 p. Communications et témoignages du colloque «!Femmes et Sport dans les pays méditerranéens!» qui s'est tenu du 23 au 25 novembre 2000 à Antibes-Juan-les-Pins. Femmes et sport Actes du séminaire et du colloque 22 novembre 2001, Midi-Pyrénées MAUDET, Thierry ; BARBIEUX, Agathe DRDJS (Midi-Pyrénées - Haute-Garonne), 2001, 132 p. Ce séminaire s'inscrit dans la politique du ministère de la Jeunesse et

(1780) pour l’invention de la montagne, les Grisons (1860) pour la montagne en hiver, Atlantic City (1860) et Arcachon (1860) pour la station balnéaire, Yellowstone (1872) pour le parc national, Waikiki (1900) pour le bronzage et le bain chaud, Juan-les-Pins (1920) pour la Méditerranée, Megève (1920) pour la station de ski, etc. On peut non seulement s’interroger sur les conditions d’émergence de ces lieux dans l’histoire, mais aussi proposer un prolongement en termes d’interprétation de la mise en

où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l'ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays; Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement; Michel-Ange, lieu vague où l'on voit des

hangar en bois achevé à Noël, chargeait son camion et partait faire sa tournée. Lorsque le moteur toussait sous les tours de manivelle de Juan, toute la cabine tremblait, il lui fallait lâcher le volant, tant les vibrations lui démangeaient les mains, et attendre que les cylindres se réchauffent pour que les pistons acceptent de monter en régime. Juan n'avait pas tout à fait dix-huit ans. Il était né à Puerto Cortes et ne se souvenait plus du visage de ses parents. A neuf ans il débardait

grande aile l'entraîne ainsi qu'un blanc navire. Il dresse son beau col au-dessus des roseaux, Le plonge, le promène allongé sur les eaux, Le courbe gracieux comme un profil d'acanthe, Et cache son bec noir dans sa gorge éclatante. Tantôt le long des pins, séjour d'ombre et de paix, Il serpente, et, laissant les herbages épais Traîner derrière lui comme une chevelure, Il va d'une tardive et languissante allure. La grotte où le poète écoute ce qu'il sent, Et la source qui pleure un éternel absent

Vraiment il était fait au tour ! XXVI « C’est bien », dit Véronique, en tendant sa main blanche Au jeune cavalier qui, le poing sur la hanche, En silence attendait : « Don Juan, conduisez-moi. » Juan s’inclina : « Madame, où faut-il qu’on vous mène ? » La dame se pencha sur son oreille : à peine Deux syllabes, – Don Juan comprit. « Holà donc ! Toi, Leporello, dit-il d’une voix haute et claire, Madame veut sortir, prends une torche, éclaire Madame. » À l’instant même, une cire à la main, Leporello

Equestre 21 qui abrite, sur son terrain, une petite Chapelle de la fin du 19ème siècle. • Prenez ensuite à gauche dans l’avenue de la Petite Motte. Allez tout droit, en passant devant le lycée et le collège. Plus loin sur la droite se trouvent les Arènes Juan Bautista; en prenant à droite, vous passez devant le Palais des Sports et le Parc des Sports 23 . 3 22 11 27 10 20 21 23 19 12 10 10 4 15 26 5 9 14 2 1 8 18 25 17 24 7 16 6 22 • Continuez dans l’avenue

mort de ML. C’est elle qui éditera « Sombre comme la tombe où repose un ami » (70, Denoël, 300 p.) et des poèmes de ML (05, Denoël, 294 p.). Deux autres personnages importants dans la vie de ML : un anglais, Paul Leonard Charles Fitte, et un mexicain Juan Fernando Marquez. Ils n’ont pas de relation directe avec la vie de ML et du couple, mais ils apparaissent et rythment quelquefois ses livres. Le premier, Paul Fitte, était étudiant à St. Catharine's College, Cambridge avec ML (29-32). Ils ont commencé