Judy Garland

1947, Judy Garland et Gene Kelly étaient en répétitions pour “Parade De Printemps” mais ce dernier se cassa la cheville et on appela Fred Astaire pour lui demander de prendre sa place. Conscient du potentiel que représentaient Astaire et Garland sur une même affiche, le studio les reconduisit pour tourner un second film. Judy Garland en fut évincée suite à ses constants retards et son comportement erratique, et fut remplacée au pied levé par Ginger Rogers. Faute d'affiche Astaire-Garland, Arthur

l’unit à Vincente Minnelli. Ils ont réalisé ensemble pas moins de douze films : uniquement des comédies musicales (comme Le Chant du Missouri, Le Pirate, Brigadoon ou Tous en scène), à l’exception notable d’une comédie dramatique, The Clock avec Judy Garland, l’une des œuvres méconnues de Minnelli. Minnelli doit beaucoup à cette collaboration qui débute dès son premier film en 1943, Un petit coin aux cieux. Elle donnera la possibilité au cinéaste de développer le genre de la comédie musicale avec

(Silvia Maglioni) 7 Le symbolisme du voyage 7.1 L'identification à « Chrétien » (John Bunyan) 7.2 Le chemin emblématique 7.3 Le φόβος και έλεος du dénouement 8 La virulence de l'étrange 8.1 Le Punch et Judy de la vie 8.2 Un univers « kafkaïen » (Peter Preston) 8.3 Sally Brass, la femme-homme 8.4 Daniel Quilp, le rictus en action 8.5 Dick Swiveller, l'extravagant linguiste 9 La manière d'écrire 9.1 Le continuum

his long career, he was commissioned to paint the portraits for Presidents Eisenhower, Kennedy, Johnson, and Nixon, as well as those of foreign figures, including Gamal Abdel Nasser and Jawaharlal Nehru. One of his last works was a portrait of Judy Garland in 1969. Norman Rockwell Museum is the authoritative source for all things Norman Rockwell. The Museum's collection is the world's largest, including more than 700 original Rockwell paintings, drawings, and studies. The Rockwell Center for

cette chanson devint alors le standard de pop « Smile », enregistré pour la première fois par Nat King Cole, et plus tard repris par des artistes tels que Michael Jackson, Barbara Streisand, Diana Ross, Michael Bublé, Petula Clark, Liberace, Judy Garland, Madeleine Peyroux, J-Five et Robert Downey, Jr. (inclus sur la bande originale du film Chaplin). - Les Temps modernes fut le premier film où la voix de Chaplin est entendue : il y interprète, en « charabia », la chanson de Léo Daniderff

connues sortiront des de la MGM. Arthur Freed est d'ailleurs l’un des producteurs incontournable du genre avec dès 1939 Le Magicien D’Oz de Victor Fleming. Il travaillera avec les meilleurs du genre comme Stanley Donen, Gene Kelly, Fred Astaire, Judy Garland; et fera sortir le genre de son cocon de simple numéros musicaux. Directeur des comédies musicales de la MGM pendant plus de 20 ans, Arthur Freed avec une quarantaine de films musicaux à son actif, sera pour beaucoup dans le succès du genre.

mouvements symétriques, grands décors, plongée verticale.. il faut faire toujours plus grand plus impressionnant, plus luxueux. Rien n’est retouché, on voit par exemple sous chaque piano, il y a des hommes habillés en noir pour les bouger. * Judy Garland : Le magicien d’Oz . Toutes les comédies musicales se concurrençaient au niveau des chorégraphies. Il fallait faire dans l’impressionnant. * The Big Lebowski : référence aux comédies musicales. Même genre de chorégraphies et positions de caméra

jouait la jeune Judy Garland (1939, M.G.M.). Photographie King Kong (1933) Le film King Kong, de Schoedsack et Cooper (1933), tire l'essentiel de son succès mondial de la technique et de la fantaisie de ses effets spéciaux. Le monstre attrapant les avions au vol du sommet de l'Empire State Building à New York fascine tous les publics, consacrant le cinéma comme art de masse.  Crédits: J. Kobal Foundation/ Getty Consulter Photographie Le Magicien d'Oz Dorothy Gale (Judy Garland) et le bonhomme

similitude du personnage de Lara du Docteur Jivago incarné par Julie Christie, pensée attendrie, reconnaissante à l’égard d’un cortège de ravissantes frimousses, frais minois, et incomparables charmeresses s’envolant sur les « Ailes de la danse », de Judy Garland, à Barbra Streisand, de Cyd Charisse à Ginger Rogers, Shirley Mac Laine… Quant à vous, mes seigneurs, de quoi oseriez-vous vous plaindre ? N’avez-vous pas déjà atteint le Nirvana, en tenant entre vos bras à fleur de peau, virtuellement s’entend

icons who have gone before her, recalls their tragedies in Dance in the Dark, a song about being vulnerable and “falling apart.” She evokes them in the lyrics, “Marilyn, Judy, Sylvia, tell them how you feel girls!” at once positioning herself as one of them, and as a fan of them. So, Lady Gaga addresses Marilyn Monroe or Judy Garland because she became one of them, a tragic icon who “will die alone surrounded by my stage props and sketches”. Indeed, as Jung notices, there is something of the trickster