Juif errant

l’écrasement de la révolte spartakiste. Adolf Hitler prend sa carte d’adhérents aux Deutsche Arbeitpartei après avoir été chargé de l’espionné par Karl Mayr ( Lorsque je l’ai rencontré pour la première fois, il m’a donné l’impression d’etre un chien errant à la recherche d’un maitre »), petit parti dont il est le 5ème adhérent selon lui mais est en réalité doté d’une carte numéroté 555, et les cartes éant numérotés à partir de 500, il est tout bonnement le 55ème membre du partie dont la renommé de

plus volontaire mort est la plus belle » Montaigne, phrase  écrite en français . C’est « la dernière liberté devant la mort. La vie dépend  de la volonté des autres, la  mort de notre propre volonté ». - Est obligé de se réfugié : devient  un « juif errant ». - Il rend visite à Freud (exilé lui aussi) et parle de l’horreur du monde hitlérien et de la guerre puis Z. s’installe à Bath (en Ang.) -Salvador Dali, ami de Freud et surtout de Z. peint une esquisse de F. avec la mort. Puis F. meurt 

salut possible que dans l’amour des femmes et dans sa passion pour l’écriture qui est née de ce qu’il a appelé tout au long de sa vie «le jour du camelot». La conscience de ses origines allait déterminer sa vocation : parler et agir au nom du peuple juif. Cette enfance marseillaise fut entrecoupée, à l'été 1908, d'un retour à Corfou, l'île natale qu’il ne cessa de vénérer, pour un séjour de quinze jours qui furent «les plus importants de [sa] vie» (entretien radiophonique à Radio Lausanne, 1954). Bachelier

Solal, brillant et riche diplomate, haut responsable de la Société des Nations, s’est introduit dans la chambre d’Ariane Deume, épouse d’un modeste fonctionnaire, qu’il a rencontrée lors d’une soirée. Grimé en vieux juif errant, il lui fait le récit de leur première rencontre. Assise sur le bord du lit, elle grelottait dans sa robe du soir. Un fou, avec un fou dans une chambre fermée à clé, et le fou s'était emparé de la clé. Appeler au secours? À quoi bon, personne dans la maison. Maintenant

la fois le Mal-amant et le Mal-aimé. DOUBLE SOMBRE: personnage représentant la partie maléfique de la personnalité incosciente (vd le criminel dans le Juif Latin). À 17 ans Apollinaire use le nom «Guillaume Macabre» pour signer ses poèmes. Le thème du Juif errant hante le poète et ce personnage représente la partie sombre de sa personnalité. Ce Juif manque des racines, ne peut pas s'intégrer => difficultés d'identification d'A. IDÉAL DU MOI: les personnages qui font figure idéal pour Apollinaire

salut possible que dans l’amour des femmes et dans sa passion pour l’écriture qui est née de ce qu’il a appelé tout au long de sa vie «le jour du camelot». La conscience de ses origines allait déterminer sa vocation : parler et agir au nom du peuple juif. Cette enfance marseillaise fut entrecoupée, à l'été 1908, d'un retour à Corfou, l'île natale qu’il ne cessa de vénérer, pour un séjour de quinze jours qui furent «les plus importants de [sa] vie» (entretien radiophonique à Radio Lausanne, 1954).

être justifiée et la tolérance est la seule attitude possible. Certains vont jusqu’à dire qu’aux yeux de Dieu, toutes les opinions, toutes les croyances et tous les cultes sont bons à condition que l’homme, qu’il soit catholique, protestant, musulman, juif voire athée, mène une vie socialement acceptable. Or jusqu’à la Révolution et même plus tard encore, les catholiques ont vigoureusement contesté l’idée selon laquelle les opinions religieuses n’appartiennent qu’à la conscience. Là où rien n’est certain

étais-je sur la trace de 10 Dora Bruder et de ses parents. Ils étaient là, déjà, en filigrane. J’essaye de trouver des indices, les plus lointains dans le temps. Vers douze ans, quand j’accompagnais ma mère au marché aux Puces de Clignancourt, un juif polonais vendait des valises, à droite, au début de l’une de ces allées bordées de stands, marché Malik, marché Vernaison… Des valises luxueuses, en cuir, en crocodile, d’autres en carton bouilli, des sacs de voyage, des malles-cabines portant des

moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain. Louise Ackermann, Poésies Philosophiques Le Voyageur Tu nous rends nos derniers signaux; Le long du bord le câble crie; L’ancre s’élève et sort des eaux; La voile s’ouvre; adieu, patrie! Des flots l’un par l’autre heurtés Je vois fuir les cimes mouvantes, Comme les flocons argentés Des toisons sur nos monts errantes. Je vois se dérouler les noeuds

Oswald, en rentrant, dit à l’oreille de son maître : – C’est un juif qui se nomme Isaac d’York ; est-il convenable que je le conduise dans cette salle ? – Que Gurth fasse son office, Oswald, dit Wamba avec son effronterie habituelle ; le porcher sera un huissier tout trouvé pour le juif. – Sainte Vierge ! dit le prieur en se signant, un juif incrédule ! un juif admis en notre présence ! – Un chien de juif ! répéta le templier, un chien de juif s’approcher d’un défenseur du saint sépulcre ! – Par ma foi