Juif éternel

plastiques : Monumenta : « Personnes » de Christian BOLTANSKI. Comparaison entre AUSCHWITZ et l’exposition de BOLTANSKI : AUSCHWITZ : Histoire ; réalité ; dans un camp de concentration ; Primo LEVY (1919-1987, juif italien, survivant de la shoah, il est écrivain et chimiste.) ; souvenirs ; mémoire ; présence ; émotions forte ; silence ; viscérale ; gêne universelle honte ; dégoût ; plus de réflexion aux images ; expérience psychique et psychologique. « Celui

exposé oral, nous tenterons de vous en apprendre davantage sur cette religion. Son origine et ça fondation Les débuts Premièrement, je vais vous parler de ses origines et sa fondation. Le christianisme, aurait été fondé par Jésus (qui était lui-même juif), ses 12 apôtres et par Paul de Tarse au premier siècle de notre ère. Il s’est déroulé environ un millénaire de paix entre tous les chrétiens. Mais puisque toute bonne chose a une fin, en l’an 1054, l’Église de Constantinople (l’équivalent de l’orthodoxie)

hommes son Esprit pour faire d'eux des fils de Dieu. À la messe, le prêtre redit les paroles de Jésus, prononcées la veille de sa mort : « Ceci est mon corps livré pour vous, Ceci est mon sang versé pour vous, le sang de l'Alliance nouvelle et éternelle ». ANGES : Dans le langage de la Bible, les séraphins sont des anges. Les anges sont des êtres vivants, mystérieux ; ils sont auprès, et Lui servent de messagers auprès des hommes. Les anges disent que Dieu est là très grand, très saint, au dessus

chrétiens. Le champ lexical constitué des mots « pas été assez heureux » (lignes 6-7), « condamnés à des châtiments éternels » (ligne 8), « punissent » (ligne 9), « malheureux » (ligne 18) témoigne de la pitié d’Usbek pour les chrétiens. Effectivement, cela se confirme quand Usbek pose ses questions de rhétorique. En effet, l’Islam rabaisse les chrétiens aux turcs qui serviront d’âne au juif pour les mener en enfer (lignes 2-4). Par ailleurs, il se demande comment Dieu peut condamner quelqu’un à cause

L'ABSURDE DANS « LE PROCES » DE FRANZ KAFKA « Le Procès » est une oeuvre posthume de Franz Kafka, publiée en 1925 par Max Brod un écrivain tchèque juif. Apparemment, c'est à cause de certains faits historiques que Kafka a réagi en écrivant des textes qui dévoilent les injustices. En effet par le moyen d'un récit de vie d'un employé modèle, sans problème et totalement insignifiant qui se retrouve brutalement impliqué dans un procès dont les enjeux lui échappent, Kafka dénonce la persécution

pareille à celle de Judas. Il n’était pas voûté, mais cassé, son échine Faisant avec sa jambe un parfait angle droit, Si bien que son bâton, parachevant sa mine, Lui donnait la tournure et le pas maladroit D’un quadrupède infirme ou d’un juif à trois pattes. Dans la neige et la boue il allait s’empêtrant, Comme s’il écrasait des morts sous ses savates, Hostile à l’univers plutôt qu’indifférent. Son pareil le suivait : barbe, œil, dos, bâton, loques, Nul trait ne distinguait

Société Nationale de la Culture Allemande  - Reichskammer der Bildenden Künste - était fondée. Cette organisation voulait mettre fin à la corruption de l’art et convaincre le public de la relation entre l’origine raciale et l’art. Vers 1933 les termes ‘Juif’ et ‘ Bolchevique’ étaient devenus synonymes pour tout art moderne. Le terme Entartete Kunst (art dégénéré) est forgé par Goebbels pour désigner toutes les productions artistiques qui ne correspondent pas aux critères esthétiques des nazis. Le

sarment jetait ses gerbes d'étincelles  Au dressoir miroitant des antiques vaisselles,  Comme un riche éventail en ordre s'étageant,  Plats de cuivre et d'étain semblaient d'or et d'argent. Aux murs le Juif-Errant d'une ancienne gravure,  Sans pouvoir se coucher, pas même sur la dure,  De son pas éternel marchait dans un brouillard ;  Ailleurs, mais à cheval, Jeanne d'Arc et Bayard. Quand soufflait un vent noir roulant des feuilles mortes,  Si quelque infortuné, le soir, frappait aux portes,  Un pauvre

Hitler uniquement parce qu’il avait une haine contre les juifs, ou contre d'autres peuples, mais l'Allemagne était en crise, les Allemands ne devaient plus voir de fin à leur misères, et Hitler a du leur apparaitre comme une lumière dans un noir éternel. Je sais que leur but n'était pas de détruire la vie, tout ce qu'ils voulaient c'était pouvoir manger à nouveau convenablement, de pouvoir vivre une vie digne de ce nom. Je suis entièrement d'accord sur le fait qu'il fallait agir, le peuple ne pouvait

projetait, pareille à celle de Judas. Il n'était pas voûté, mais cassé, son ÉchineFaisant avec sa jambe un parfait angle droit,Si bien que son bâton, parachevant sa mine,Lui donnait la tournure et le pas maladroit D'un quadrupède infirme ou d'un juif à trois pattes.Dans la neige et la boue il allait s'empêtrant,Comme s'il écrasait des morts sous ses savates,Hostile à l'univers plutôt qu'indifférent. Son pareil le suivait: barbe, oeil, dos, bâton, loques,Nul trait ne distinguait, du même enfer