Jules Grévy

du sénat dissoudre la chambre des députés. Le Président Mac Mahon a d’ailleurs fait usage de son droit de dissolution lorsque le gouvernement de Broglie fut contesté et marginalisé par la chambre. Malheureusement le successeur de Mac Mahon, Jules Grévy va renoncer publiquement à l’utilisation de son droit de dissolution. Ce qui va causer un grand déséquilibre au profit des assemblées. George Clemenceau dira par ironie il y a deux organes inutiles, « la prostate et le président de la République »

Parlement, a de nombreux pouvoirs : dissolution de la Chambre des députés, initiative des lois, nomination du chef du gouvernement. Le régime est parlementaire*. La Chambre des députés devient, dans les années 1880, le centre du pouvoir. En effet, Jules Grévy, élu président de la République en 1879, s’engage à ne plus user du droit de dissolution et à laisser le président du Conseil gouverner. Or le gouvernement est étroitement contrôlé par la Chambre des députés qui l’a investi et peut le renverser

MacMahon est donc désavoué, son autorité politique est affaiblie durablement par ce conflit. En 1879, il finit par démissionner. Jules Grévy, son successeur, impose la nouvelle lecture des institutions issue de cette crise. Il renonce au droit de dissolution (la dissolution n'est pas conforme à l'esprit républicain). Après Grévy, le droit de dissolution tombe en désuétude. Grévy explique que le président de la République doit seulement être un arbitre de la vie politique chargé d'incarner l'unité de la

l'époque qu'aujourd'hui à voulu construire une ligne de tramway. Ce qui au début étaient contesté par certains, puis de moins en moins et le fût imposer quelques années plus tard par son succeseur. Evolutions Traité de concession Décret signé par Jules Grévy ainsi que Sadi Carnot (ministre des travaux publics) à Paris le 27 octobre 1880 qui déclare l'utilité publique d'établir un tramway à traction de chevaux dans Saint Etienne et sa banlieu. ( cf : Photo décret de concession ) Historique CFVE-STAS

territoires. En 1876, le président Mac-Mahon du parti tente de dissoudre l’assemblée afin de réduire le ombre de Républicain. Cela ne fonctionne pas et la France devient Républicaine. En 1879, Jules Grévy, devient président à son tour . Sous sa présidence, de nombreux changements se trament. En effet grâce au ministre Jules Ferry l’école devient obligatoire et laïque en 1881 et la liberté de la presse ainsi que celle des syndicats est proclamée en 1881 et 1884. La, très importante, loi de 1901 sur les associations

Mac-Mahon nomme Dufort (un non républicain), et veut montrer qu’il n’est pas tenu par la majorité républicaine, suite à un la non approbation des chambres, il démissionne, Mac-Mahon le remplace par Jules Simon, mais Léon Gambetta exprime sa conception républicaine en votant l’ordre du jour, ainsi Jules Simon accepte. Mac-Mahon désapprouve ce comportement et le désavoue. Tandis que Gambetta exprime une conception moniste, Mac-Mahon exprime une conception dualiste, Mac-Mahon prononce alors la dissolution

L'Europe et le monde au XIXème siècle 1. Entrées programmes 2. L'essentiel sur la question 3. Documentation 4. Pédagogie 5. Etude d'un document: Discours de Jules Ferry à la chambre des députés le 28 juillet 1885 1. Entrées programmes : * Histoire cycle 3 de l'école élémentaire. Le XIXème siècle. Une Europe en pleine expansion industrielle et urbaine à la recherche de territoires et de débouchés : le temps de l'émigration et des colonies. * Histoire

monarchiste, néanmoins cette majorité est très faible, en revanche la chambre des députés basculent dans le camp des républicains. Du coup, en mai 1876, Mac Mahon va désigner 2 présidents du conseil : le premier c’est Dufaure et le deuxième c’est Jules Simon, qui sont tous deux républicains. Partant de là, ils auront donc la confiance de la chambre des députés, sauf que Mac Mahon, en plus d’être monarchiste, va avoir une conception dualiste dans le sens où il estime que le président du conseil doit

Le jour de son élection, Jules Ferry fait une déclaration aux deux chambres, dans laquelle il dit : « soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n’entrerais jamais en lutte contre la volonté nationale exprimée par ses organes constitutionnels. ». Il sous entend ainsi, qu’il n’utilisera jamais le droit de dissolution. En disant cela, il va faire basculer la troisième république vers l’effacement du chef de l’Etat. Section 1 : La constitution Grévy Aucun président sous la troisième

légitimistes ne sont plus que 25 à l'Assemblée. L'installation de la RépubliqueA partir de 1879, les républicains disposent des moyens d'agir et se donnent pour but d'enraciner la République pour en faire le régime définitif de la France. La même année, Jules Grévy devient le premier président républicain de la IIIe République. Il appelle Waddington a constituer le premier gouvernement républicain en situation d'agir en conformité avec ses principes.Les élections de 1881 sont un succès pour les républicains