Jules Grévy

l’État. C'est le cas en France, sous la Ve République, en période de "fait majoritaire". Parlementarisme orléaniste = parlementarisme dualiste Constitution de Grévy, Le 30 janvier 1879, le président Mac Mahon démissionne, après avoir refusé de signer le décret révoquant certains généraux. Le jour-même, les parlementaires élisent Jules Grévy à la présidence de la République, par 563 voix. Il annonce qu'il n'ira jamais à l'encontre de la volonté populaire, et de fait, abandonne l'exercice du droit de

quatrième président de la République française- convictions républicaines, qui a été précédé par Louis-Napoléon Bonaparte (bonapartiste), Adolphe Thiers (monarchiste/opportuniste), et Patrice de Mac-Mahon (monarchiste résolu). La présidence de Jules Grévy se signale quant à elle par l'affirmation sans ambiguïté du caractère républicain du régime. On adopte la Marseillaise comme hymne national, 14 juillet fête nationale et l'on accorde une amnistie aux révoltés de la Commune. Sous les ordes de ses

plus nombreux alors que Mac Mahon espérait qu’il s’agisse d’une majorité monarchiste. Comme Mac Mahon avait prononcé cette phrase « il faudra se soumettre ou se démettre », il est obligé donc de se soumettre, commence alors la République des Jules. Jules Grévy est nommé président de la République, en effet, les républicains s’installent au pouvoir à partir de 1879 et obtiennent la démission de Mac Mahon. Le Régime Républicain Les Républicains s’installent au gouvernement dans les années 1880

Premièrement, le temps des radicaux au pouvoir. A partir de 1877, le régime est dominé par la Chambre des députés qui n'a plus à craindre de dissolution. En 1879, les Républicains obtiennent la démission de Mac Mahon et nomme le républicain Jules Grévy pour le remplacer. La Marseillaise devient hymne national en 1879 et le 14 juillet fête nationale en 1880. La succession des ministères reflète une évolution politique marquée par des crises qui paradoxalement renforce la République car elles permettent

la gauche (républicain) est aussi divisé en quatre tendances, il y a tout d'abord la gauche conservatrice avec comme chef de file, Adolf Thiers (gauche répu. mais sans convictions), ensuite la gauche républicaine avec les 4 Jules, Jules Simon, Jules Grévy, Jules Fabre et Jules Ferry, ensuite, les radicaux le l'union républicaine avec à leur tête, Gambetta, et enfin les socialistes, mais ils vont disparaitres après la Comine (insurection de Paris hivers/printemps 1871) et enfin , à cette assemblée

que de textes conçus pour l'enseignement, et ceci pour tous les enfants, quelle que soit leur origine ou leur condition. Cette pensée est à rapprocher du développement depuis la fin du XIXe siècle de l'enseignement obligatoire pour tous (Jules Ferry, Jules Grévy). En effet, Alain s'insurge, non sans humour, contre les méthodes appréciées des inspecteurs de l'Instruction publique de l'époque. Il considère que c'est l'enfant qui doit travailler avant tout, orienté par le maître, qui de son côté doit

Paul Doumer (années 20-25, par un anarchiste russe). Président qui démissionne : Casimir Perier, Alexandre Millerand, Paul Deschanel Felix Faure : mort pendant mandat. Jules Grévy Grand président : Raymond Poincaré, auteur des systèmes d'alliance 1913 "La politique coloniale est fille de notre politique industrielle" Jules Ferry 1912 : Titanic, rupture, idée que le progrès est aussi source de menace. Pas forcement signe de bienfaits. Prix Nobel accordé à M. Nobel, créateur de la dynamite

accords de Matignon de 1936 pendant le front populaire mais la liberté syndicale est reconnue en France depuis 1884. La loi dite de « Waldeck-Rousseau » (Waldeck-Rousseau était le ministre de l’intérieur sous le président de la troisième République, Jules Grévy) autorisant la création de syndicats professionnels date en effet du 21 mars 1884, au moment de la révolution industrielle. Les droits du travailleur sont aujourd'hui garantis pas la constitution et la loi. C’est la démocratie sociale. Un syndicat

Présidents de la IIIème République Adolphe Thiers (1797-1877) Durée du mandat du 31 août 1871 au 24 mai 1873, issu du parti centre droit. Patrice de Mac Mahon (1808-1893) Durée du mandat du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879, Légitimiste. Jules Grévy (1807-1887) Durée du mandat du 30 janvier 1879 au 2 décembre, Modéré. Sadi Carnot (1837-1894) Durée du mandat du 3 décembre 1887 au 25 juin 1894 (Assassiné), Modéré. Jean Casimir-Perier (1847-1907) Durée du mandat du 27 juin 1894 au 16 janvier

Intervention de Gambetta à la Chambre de députés (16 mai 1877) ----------------- Commentaire Contexte : • 16 mai : lettre ouverte de Mac Mahon à Jules Simon qui entraîne la démission de ce dernier • 17 mai : Broglie, nouveau président du conseil. Formation d’un gouvernement de combat qui n’a pas la confiance du parlement. Extraits de l’intervention de Gambetta, chef de file de l’Union républicaine, à la chambre des députés (en majorité républicaine). Dans ce discours, qui s’inscrit