Jules Grévy

l’esprit des français par l’intermédiaire d’un certain nombre de valeurs. En effet, on distribue des ouvrages, visant à répandre la culture républicaine, tel que « le tour de la France par deux enfants ». 1880 ; principale parti républicain sous Jules Grévy, le 14 juillet devient la date officielle de la fête nationale. Cette fête a pour but de regrouper les français, et de fêter la date de la fin de la monarchie absolue, les monarchistes sont donc retissant. La République n’est plus représentée par

seconde Guerre mondiale. Or, le camp républicain se partage déjà entre réformistes (radicaux) et modérés ("opportunistes"). C'est le camp des modérés qui domine l'Assemblée, et sous la présidence du premier chef de l'Etat républicain, Jules Grévy, le premier ministre Jules Ferry prend en 1881 l'initiative de mesures populaires: liberté totale pour la presse et enseignement primaire laïc et gratuit pour tous, obligatoire de 6 à 13 ans. La liberté d'association sera votée en 1884, de même que l'élection

Jules Francois Camille Ferry, né le 5 avril 1832 à Saint-Dié et mort le 17 mars 1893 à Paris, est un homme politique français. Jules Ferry est le fils de Charles-Edouard Ferry, avocat, et d’Adèle Jamelot. D’abord élève au collège de Saint-Dié jusqu’en 1846, puis au lycée impérial de Strasbourg (actuellement lycée Fustel de Coulanges), il est ensuite étudiant à la faculté de droit de Paris. Il devient avocat réputé, passionné par la politique. Il est vite spécialisé dans la défense juridique

Dissertation Histoire . L'enracinement du modèle Républicain 1871-1914 En 1879, les Républicains sont majoritaires à la Chambre des Députés comme au Sénat et l’un des leurs, Jules Grévy, est Président de la République. Ils font immédiatement voter les grandes Lois destinées à enraciner la République dans le pays : liberté de réunion et d’association, enseignement primaire laïque, gratuit et obligatoire de 6 à 13 ans En 1884, une révision de la Constitution affirme que la République est

d’une majorité républicaines. Il y eu une dissolution de la Chambre par Mac-Mahon. Avec les élections d’octobre les républicains restent majoritaires. En 1879, nous pouvons constater la conquête du Sénat et la démission de Mac-Mahon remplacé par Jules Grévy, c’est le triomphe de la République. Paris redevient capitale, le 14 juillet devient fête nationale et la Marseillaise l’hymne national. La crise du 16 mai : discrédit sur droit de dissolution qui n’est plus utilisé. Les pouvoirs du Président sont

Mac Mahon le royaliste II/ La république opportuniste (1879 – 1899) : La gauche modérée au pouvoir L’état de la Gauche o Gauche « divisée » en 2 (opportunistes ≈ de gauche) : - l’opportunisme (majorité) : * Gauche républicaine de Jules Ferry * Union Républicaine de Gambetta (« L’âge héroïque, l’âge chevaleresque est passé : soyons un parti pratique, un parti de gouvernement ») ces deux partis sont réunis en 1882 par la mort de Gambetta leur philosophie :

poussé à la démission le 30 janvier 1879 et le républicain Jules Grévy le remplace. Le début de la « République républicaine » est dominé les deux fortes personnalités de Léon Gambetta et de Jules Ferry (ministre de l’Instruction publique dès le 4 février 1879, puis Président du Conseil du 25 septembre 1880 au mois de janvier 1881, et à nouveau du 21 février 1883 au 30 mars 1885. B – L’œuvre scolaire des républicains C’est surtout à Jules Ferry, mais aussi à Paul Bert et à Ferdinand Buisson qui

des Républicains aux élections législatives (majorité conservatrice au Sénat) - création du Petit Parisien 1877 - discours de Gambetta : « le cléricalisme, voilà l’ennemi » - crise constitutionnelle, dissolution de l’Assemblée par Mac-Mahon (Jules Simon, Broglie, manifeste des 363, Gambetta), majorité républicaine, Mac-Mahon se « soumet » (c’est la « fin des notables » et la dernière grande bataille de la « République des ducs », comme le dit Daniel Halévy) - Le Tour de la France par deux enfants

crise ? (4 raisons) - L'instabilité ministérielle : Le républicain modéré, Jules Ferry, connaît une certaine impopularité et grâce à celle-ci la droite et les radicaux prennent de plus en plus d'influence au sein des élections législatives d'octobre 1885. Conséquence : La majorité parlementaire a du mal à se stabiliser donc une instabilité ministérielle - Un sentiment de corruption du régime : Car le président Jules Grévy (réélu à la fin de l'année 1885) est victime en 1887 d'un scandale politique

correspond alors à « partisans convaincus d’une république parlementaire / partisans hostiles à république parlementaire. ». Mac-Mahon joue jeu du parlementarisme en misant sur union des centres. Mais gouvernement de Jules Dufaure (Président du conseil des ministres tout comme Simon) et Jules Simon suscitent hostilité des 2 bords et intransigeance du maréchal. En mai 1877, le maréchal exige démission de J. Simon et charge le duc de Broglie de former un ministère de droite homogène. 363 députés lui refusent