Jules Vallès La Punition

C'est le premier livre de la trilogie sur l'autobiographie de Jules Vallès (1832-1885). Les deux autres sont Le Bachelier et L'Insurgé qui conte l'histoire de la commune. Jacques a cinq ans. Il est le fils d'une mère paysanne, injuste et sournoise, et d'un père professeur. Il raconte : "Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants et me fouette tous les matins. Quand elle n'a pas le temps le matin, c'est pour midi et rarement plus tard que quatre heures". La dédicace du livre est dédiée

L’Enfant de Jules Vallès On retrouve le thème «  générations » dans cette œuvre grâce aux relations qu’entretient Jacques Vingtras, le personnage principal avec ses parents. Jacques est le narrateur, il a 5 ans au début du récit, il évoque dans ce livre les moments importants de sa vie. Notamment ses relations avec sa famille, sa scolarité, ses vacances. On peut qualifier le personnage de Jacques de seul et triste, personne ne s’intéresse vraiment à lui et ne lui montre d’affection. Il est fouetté

Ce roman est le premier d’une trilogie retraçant l’histoire de Jacques Vingtras qui est très proche de celle de Jules Vallès. Ce livre rend compte des souffrances de l’enfant (Jacques) avec humour et/ou ironie. Jacques (enfant) est battu par sa famille. A l'école il subit les punitions des professeurs. Mais grâce a son oncle et a Paris il découvre le monde des ouvriers. Résumé: Premier souvenir (chap 1 à 8) Jacques se rappel des mauvais traitements qu’il subit de la part de sa mère

est un outil de liberté à la fois pour le lecteur et pour l'auteur. Un livre permet au lecteur d’oublier le temps qui passe et de s’évader loin de son quotidien. Dans le texte l'enfant de Jules Vallès le personnage principal lit Robinson Crusoé, un livre trouvé, pour avant tout se distraire dans sa punition mais très vite il est nappé par le livre au point de se croire à l'intérieur « clic, clac ! On farfouille dans la serrure. Est-ce Vendredi ? Sont-ce des sauvages… » et de plus la lecture la

fiction. On identifie ce phénomène grâce à l'utilisation des structures grammaticales qui permettent la superposition des deux histoires. Enfin, il y a un risque de perdre la notion de la réalité et ses repères. On le prouve grâce à L'enfant, de Jules Vallès, où le héros, enfermé dans sa salle d'étude, découvre le livre Robinson Crusoé, à cause du quel, il perd son autonomie, étant hypnotisé par l'histoire. Il ne vois donc pas passer le temps, et se retrouve après un grand moment à lire le livre trouvé

nasce la mia angoscia”. Une des tâches de la mère est celui d’éduquer son fils, mais parfois il plomb dans le châtiment exagéré et donc aussi dans la violence physique. On peut utiliser comme exemple L’Enfant de Jules Vallès, (1878-1879), qui raconte à travers les yeux d’un enfant les punitions de sa mère. On peut lire à la ligne 4: “ma mère dit qu’il ne faut pas gâter les enfants, et elle me fouette tous les matins; quand elle n’a pas le temps le matin, c’est pour midi, rarement plus tard que 4 heures

lecture). 2) thèse réfutée : le plaisir de l'illusion - argument 1 : le temps accordé à la lecture de la fiction apporte le bonheur tout en faisant oublier le temps de malheur que donne la réalité. - exemple 1 : l'élève de L'Enfant de Jules Vallès en oublie sa punition, Natacha en oublie qu'elle est seule (sans sa mère, fille unique). - argument 2 : les personnages deviennent des modèles - exemple 2 : Robinson devient un modèle pour Rousseau. - argument 3 : la lecture correspond au besoin qu'ont

· · · . . . . . October 20, 2014 JULES VALLES, L'ENFANT : RESUME Jacques Vingtras se souvient : Le narrateur dresse une galerie de portraits familiaux qui ont bercés sont enfance. Sa mère qui n'hésitait pas à lui infliger des fessées ; Melle Balandreau, une douce et généreuse voisine ; son père, un lettré qui n'a su se défaire de ses origines paysannes ; ses tantes maternelles, Rosalie et Mariou ; ses tantes paternelles, Mélie et Marie-Agnès ; son oncle, Joseph et sa cousine

qu’ils ont pour but de retracé la vie sans l’enjoliver. Le lecteur a donc moins de difficulté a se prendre aux jeux et se met à la place du personnage, tout comme L’Enfant de Jules Vallès, auteur réaliste le roman est d’inspiration autobiographique. Le jeune lycéen de cette œuvre, pense être Robinson Crusoé lors d’une punition dans une salle d’étude. Cependant, les détails exacts de certaines descriptions empêche l’imagination du lecteur. Les détails précis d’un personnage où de son action, peut remettre

Famille comporte un certain nombre d'oncles et de tantes, des personnages plus agréables et plus sympathiques. Jacques tombe amoureux de ses cousines. Après l'oppression maternelle, Jacques connaît l'oppression du collège : il y mange mal, et subit d'autres punitions . Les professeurs sont, eux, d'affreux pédants. L'un d'eux, un philosophe ridicule, prétend même apporter à Jacques les preuves de l'existence de Dieu. Puis Jacques évoque la petite ville où se trouve son école et la toilette ridicule que sa mère