Jules Verne

paisible, ordonnée et insouciante. Le méchant permet de perturber cet équilibre, c’est pour cela que l’on dit que le méchant est le moteur de l’action. Enfin, Fix rend le tour du monde de Phileas Fogg intéressant dans Le Tour du Monde en 80 jours de Jules Verne écrit en 1892. Les méchants sont donc les personnages moteurs de l’histoire mais peuvent aussi permettre une identification aux valeurs. Enfin, on peut dire que le méchant permet une identification aux valeurs. En effet, c’est ce méchant qui est

déterminer approximativement les températures qu’il fera durant trois mois. Mais tout ceci est loin d’être une source sûre car parfois, des dérèglements ont lieu. Ce monde est fascinant ! Il y a une si grande diversité de paysages et comme le disait Jules Verne dans Voyage au centre de la Terre lorsqu’il parle du sol et dit ‘les dernières touffes d’herbes venaient mourir sous nos pieds’ c’est une impression que je ressens. Même s’il parle au sens propre du terme ‘mourir’ j’ai, pour ma part, cette somptueuse

Godwin Arlequin, Empereur dans la Lune, de Nolant de Fatouville Voyages de Milord Céton dans les sept planètes, de Marie-Anne Robert Histoire comique des États et Empires de la Lune, de Cyrano de Bergerac Autour de la lune de Jules Verne qui servira d'inspiration pour Le Voyage dans la Lune (opéra-féerie) de Jacques Offenbach Les Premiers Hommes dans la lune de H.G.Wells Aventures extraordinaires d'un savant russe, I. La lune, de Georges Le Faure et Henry de Graffigny

péripéties vécues par le héros font que le lecteur est captivé par l’histoire. Et enfin le dénouement heureux de l’intrigue fait croire au lecteur qu’un tel dénouement est possible aussi dans la réalité et donne espoir au lecteur. Mistress Branican de Jules Verne en est le parfait exemple. L’héroïne du roman perd tragiquement son fils au début du roman ce qui entraine la pitié du lecteur pour le personnage et s’identifie facilement à lui car à cette époque les femmes perdent encore beaucoup d’enfants tôt

d'ouvrages qui me rendissent à mon enfance: il y eut "les petits livres roses" d'abord, recueils mensuels de contes de fées puis, peu à peu, Les Enfants du capitaine Grant, Le Dernier des Mohicans, Nicolas Nickleby, Les Cinq Sous de Lavarède. A Jules Verne, trop pondéré, je préférai les extravagances de Paul d'Ivoi. Mais, quel que fût l'auteur, j'adorais les ouvrages de la collection Hetzel, petits théâtres dont la couverture rouge à glands d'or figurait le rideau : la poussière de soleil, sur les

solutions. Il doit alors nous permettre de nous évader, nous procurer un bien-être, une détente, une évasion ou même nous permettre de nous identifier aux personnages. C’est le cas des romans d’aventure (Alexandre Dumas « Le Comte de Monte Cristo, Jules Verne « Le Tour du Monde en 80 Jours »), les romans policiers (Agatha Christie « Les 10 petits Nègres », Georges Simenon), les romans fantastiques ou de science fiction (Orwell « 1984 »). L’écrivain peut avoir aussi un rôle pédagogique en particulier

dans les sous-sols de Budapest. Cependant, le roman a également besoin de l'imaginaire et peut ainsi ne pas du tout rendre compte du réel. En effet, le roman imaginaire permet de distraire le lecteur. C'est le cas par exemple des roman de Jules Verne qui sont tous tirés de l'imaginaire débordante de leur auteur. Voyage au centre de la Terre ou Cinq semaines en ballon permet à l'auteur de s'évader et de faire, dans ces cas là, le voyage avec les personnages, de s'intégrer à l'histoire et de rentrer

comme des animaux se terrant dans un terrier, comme le démontre « la population reparaît hors de ses trous ». Nous pouvons trouver deux raisons à ce point de vue rabaissant les Africains: soit nous voyons ici le reflet d'un préjugé colonialiste (Jules verne a cette opinion politique que les africains ne sont pas égaux aux européens et qu’ils doivent être par conséquent, traité de la sorte), soit la hauteur donnée par la montgolfière donnent un sentiment de supériorité aux Anglais. En tout état de cause

cinématographique (L'évadé d'Alcatraz, Rock...). Le stéréotype si varié de l'île ne peut qu'inspirer les récits d'aventures scientifiques de la seconde moitié du XIX° siècle; l'île devient un terrain d'expérimentation, un laboratoire à l'exemple de Jules Verne dans l'île mystérieuse Lincoln (1874) et dans l'île à hélices (Standard Island qui se déplace !) ou Robert Stevenson avec l'île au trésor (1889). Beaucoup de récits de voyages sont alimentés par les enquêtes naturalistes ou ethnographiques effectuées

Rougon-Macquart de Zola dont il dira lui-même « Les Rougon-Macquart personnifieront l’époque, l’Empire lui-même » et quand l’auteur de roman ne se fait pas historien, on peut également le voir revêtir une casquette plus scientifique comme le fera Jules Verne avec Vingt mille lieues sous les mers ou encore Le tour du monde en quatre-vingt jours. Dans ces différents cas le roman divertie tout en éduquant et c’est selon moi un aspect important. Enfin, le roman peut être un merveilleux vecteur afin de