Julien Sorel Dans La Nature

qu’il ne se défendra pas il reste bel et bien un humain qu’il va devoir tuer. Dès la première phrase l’auteur évoque la moustiquaire qui est un « tas de mousseline blanche qui tombait du plafond » aussi bien la couleur blanche de ce tissu que sa nature évoquent ici l’innocence et la pureté, en contraste avec l’acte que Tchen va devoir commettre. Dans cet extrait des hypotyposes, représentations réalistes et imagées d’une scène, permettent au lecteur de vivre la scène comme si il y en était témoins

social de Julien n’est pas en harmonie avec ses aspirations intellectuelles. Il s’agit d’un monde ouvrier dans lequel les activités manuelles sont valorisées : « son usine », « de lourdes haches », « des copeaux énormes » »les leviers de la machine en action ». Toutes ces descriptions réalistes de l’usine de M.Sorel créent un contraste avec l’idéalisme de Julien. De plus, il s’agit d’un milieu bruyant, « « ils n’entendirent pas la voix de leur père », « le bruit de la machine empêcha Julien d’entendre »

PORTRAIT DU PERSONNAGE DE JULIEN SOREL Comme la description chez Stendhal n’a pas une fonction dramatique, elle est très simple et n’a aucune relation avec le destin du héros. Stendhal se borne à un simple vague rapprochement du visage du héros et de son âge. « Il avait les joues pourpres et les yeux baissés. C’était un petit jeune homme de dix-huit à dix-neuf ans, faible en apparence avec des traits irréguliers, mais délicats, et un nez aquilin. De grands yeux noirs, qui, dans les moments

sont différents du point de vue de leur "naissance", de leurs "noms" de leurs classes sociales et de leurs avantages, mais qui sont tous les deux animés d’une même ambition : faire fortune. Sachons qu’ils ont pour idole Napoléon Bonaparte. L’un Julien Sorel, fils d’un simple charpentier est désavantagé parce qu’il est prolétaire. Mais malgré cela, gratifié d’une beauté exceptionnelle par l’auteur, ses sentiments amoureux se mélangent avec son ambition. En effet, il ne s’attache qu’aux femmes belles

ville de Franche-Comté et à Besançon où Julien se rend au séminaire. Dans la deuxième partie, le héros promu se retrouve dans le faubourg Saint-Germain à Paris, devenu secrétaire au service du marquis de La Mole. Stendhal nous peint la société française de la République , régime monarchique sanctionné par les journées révolutionnaires appelées trentes glorieuses de juillet 1830. Le SUJET du roman: Résumez en quelques lignes l'intrigue du roman: Julien Sorel à l'âge de 19ans, désirs d'épouser une

sont différents du point de vue de leur "naissance", de leurs "noms" de leurs classes sociales et de leurs avantages, mais qui sont tous les deux animés d’une même ambition : faire fortune. Sachons qu’ils ont pour idole Napoléon Bonaparte. L’un Julien Sorel, fils d’un simple charpentier est désavantagé parce qu’il est prolétaire. Mais malgré cela, gratifié d’une beauté exceptionnelle par l’auteur, ses sentiments amoureux se mélangent avec son ambition. En effet, il ne s’attache qu’aux femmes belles

modalisation définit l’attitude du sujet de l’énonciation par rapport à son énoncé, et notamment la manière dont celui-ci nuance ou appuie son propos. On appelle modalisateurs tous les éléments du texte qui traduisent la présence de l’énonciateur. La nature des « modalisateurs » est variée : Il y a des verbes qui expriment une perception, une opinion, une probabilité (sembler, croire, prétendre, douter, vouloir bien, pouvoir, devoir...) ; Il est aussi possible de trouver des adverbes (sans doute,

l'ascension sociale de Julien Sorel. Il est dans les bois, loin des regards des hommes, et marche seul. Cette scène se passe en août, vers le milieu de l'après-midi. Nous nous interresserons au personnage de Julien (ses sentiments et sa personnalité) et à sa solitude dans la nature, qui n'est pas d'écrite n'importe comment. Comment les sentiments et la personnalité de Julien sont énoncés et quelle est la nature décrite, dans laquelle Julien se promène? I) Personnage de Julien Julien devient précepteur

l’idéologie à l’esthétique, Francfort-New YorkBerne, Peter Lang, 1984. —, « Stendhal et l’énergie : du moi à la poétique », Romantisme, n°46, 1984, p. 61-78. Repris dans Stendhal : la politique, l’éros, l’esthétique, Paris, Eurédit, 2003, p. 283-313. —, Nature et société chez Stendhal. La révolte romantique, Lille, Presses universitaires de Lille, 1985. —, Le Naturel, la grâce et le réel dans la poétique de Stendhal. Essai sur la genèse du romantisme 2, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique

jeunesse, c’est pendant celles-ci qu’il écrivait ses poèmes. Il n’aimait pas sa famille qui n’avait pas beaucoup d’argent, et il voulait fuir son milieu. Il avait un grand besoin de liberté, de nouveauté et de voyage. Selon lui, il était protégé par la nature lorsqu’il partait en voyage. Grâce à l’expression « que d'amours splendides j’ai rêvées » on pourrait croire que tous les amours qu’il avait évoqués dans ses poèmes ne seraient pas réels. Il y aurait peut-être un lien entre sa pauvreté et les amours