Julien Sorel Dans La Nature

décide d’en tirer un roman qu’il appelle alors Julien. Il en commence la rédaction et, le 8 avril, vend son roman à l’éditeur Levavasseur pour la somme de 1 500 francs, et un tirage prévu de 1 500 exemplaires. Le livre sort en novembre 1830 avec le sous-titre « Chronique de 1830 » qui ne peut manquer pour les contemporains de faire allusion à l’actualité récente, la Révolution de mai. Le roman se divise en deux livres, l’un consacré à la vie de Julien en province à Verrières puis à Besançon (trente

Eléments d’introductions : Au cœur de la problématique de Julien Sorel et de Stendhal lui-même, se trouve le conflit entre l’être et l’aspiration à un autre être idéalisé, entre la vérité de son être et l’apparence que l’on veut ou doit donner au sein de la société. D’ailleurs qui est le vrai Stendhal ? Henri Beyle ? Entre les différents pseudonymes et la vie d’Henry Brulard on devine bien ses difficultés à définir un « moi » unique au milieu de ses différentes personnalités. Ce qui fait l’unité

stendhaliens du vulgaire ; elle les anime dans les luttes que soutient leur amour ou leur ambition. Il arrive que dans sa quête le héros stendhalien se méprenne dur la nature véritable du bonheur. L'ambition l'aveugle et il ne parvient au bonheur qu'après avoir cruellement ressenti la vanité de l'ambition. C'est dans la prison que Julien Sorel découvre qu'il n'a véritablement aimé que Mme de Rênal ; Fabrice a la révélation de l'amour lorsqu'il est enfermé dans la tour Farnèse. L'auteur dans son œuvre

patronyme Sorel précise la pauvreté et ne laisse au héros que très peu de chance d’avoir une profession prestigieuse. Il ne peut s’imposer dans la société aristocratique où Mme de Rênal connaît la richesse et la réussite. La particule « de » symbolise son titre de noblesse. L’auteur donne une identité morale, sociale, physique et psychologique à ses héros. Pour cela, il peut également se servir de sa propre expérience. C’est le cas de Stendhal qui raconte à travers son personnage Julien Sorel, certains

famille. STENDHAL découpe son texte en 2 parties, dans un premier temps il parle des personnages, les décrit et dans une deuxième partie, il expose les relations qu'on le père et un de ses fils, Julien. Vision qui est opposé à celle présente de nos jours. I Description des personnages : 1 Le Père Sorel : Dès le début du texte, le père est définie comme un patriarche, une autorité suprême malgré une utilisation du vocabulaire néfaste, de la méchanceté pour accentuer et avoir un regard

décide d’en tirer un roman qu’il appelle alors Julien. Il en commence la rédaction et, le 8 avril, vend son roman à l’éditeur Levavasseur pour la somme de 1 500 francs, et un tirage prévu de 1 500 exemplaires. Le livre sort en novembre 1830 avec le sous-titre « Chronique de 1830 » qui ne peut manquer pour les contemporains de faire allusion à l’actualité récente, la Révolution de mai. Le roman se divise en deux livres, l’un consacré à la vie de Julien en province à Verrières puis à Besançon (trente

Nous nous trouvons au chapitre dix-sept du second livre ; précédemment, Julien Sorel a dû quitter Verrières suite à une lettre anonyme envoyée à Monsieur de Rênal dénonçant sa relation adultérine avec la femme de ce dernier. Julien décide donc d’entrer au séminaire de Besançon. L’Abbé Pirard, après avoir remarqué la grande ambition du jeune homme, propose à ce dernier un poste de secrétaire chez le Marquis de la Mole. Julien part donc pour Paris et a une aventure avec la fille du marquis, la jeune

Ressemblances et différences des trois arrivistes. TEXTE 1 Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830), première partie, chapitre X Julien Sorel, fils d’un pauvre charpentier, est précepteur chez le maire de Verrières, Monsieur de Rênal. Il est devenu l’amant de sa femme. Il vient d’avoir une scène avec lui dont il est sorti vainqueur. Pour méditer, Julien part dans la montagne. Julien prenait haleine un instant à l’ombre de ces grandes roches et puis se remettait à monter. Bientôt par un étroit sentier à

décide d’en tirer un roman qu’il appelle alors Julien. Il en commence la rédaction et, le 8 avril, vend son roman à l’éditeur Levavasseur pour la somme de 1 500 francs, et un tirage prévu de 1 500 exemplaires. Le livre sort en novembre 1830 avec le sous-titre « Chronique de 1830 » qui ne peut manquer pour les contemporains de faire allusion à l’actualité récente, la Révolution de mai. Le roman se divise en deux livres, l’un consacré à la vie de Julien en province à Verrières puis à Besançon (trente

d’avoir un héros dont on relate les actions. Cependant, la notion de héros s’est diversifiée avec le temps. Étymologiquement, le terme vient du grec et signifie « demi-dieu ». Le héros grec est celui qui semble avoir dépassé les possibilités de la nature humaine par son courage et ses actions et dont les hauts-faits valent qu’on chante sa geste. Édulcorés par la légende dorée des hagiographes, ils sont alors passés dans la légende populaire. Le héros est donc par définition un être exceptionnel, qui