Julien Sorel Un Personnage Romanesque

Les personnages du roman du XVIIeme à nos jours * STENDHAL (1783-1842) De son vrai nom Henri Beyle, Stendhal, après avoir préparé polyethnique, participe à l’épopée napoléonienne. Il fait la campagne d’Italie, puis poursuit sa carrière dans l’administration. Oblige de fuir en Italie après la chute de Napoléon, il y commence son œuvre littéraire. C’est en France qu’il écrit ses deux chefs-d’œuvres romanesques : Le Rouge et le Noir (1830) et la Chartreuse de Parme (1939). « Chronique de 1830 »

l’origine le roman est un récit content les aventures merveilleuse d’un héro idéalisé ,étant d’un courage inégalable et accomplissant des exploits remarquables.Il répond ainsi au souhait d’identification au personnage au lecteur. De cette manière, depuis l’invention du roman, on dit du personnage principale de l’action qu’il est un héro du récit. Or dans le dictionnaire , on trouve le mot médiocre (du latin "medius" qui signifie «est au milieu») désignant ainsi ce qui est banal, moyen , sans éclat

d’ambition, le héros, confronté aux réalités de l’existence, perd peu à peu ses illusions : Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal, Lucien de Rubempré dans Illusions perdues de Balzac, Frédéric Moreau dans l’Education sentimentale de Flaubert. Mais après tout, comment nous, lecteurs, pouvons-nous définir le roman ? Cette question existentielle posée lors de la lecture de toute œuvre romanesque, nous la développerons en un plan dialectique formé de trois parties : le roman, une œuvre littéraire

 INTRO : Dans un roman, on y trouve des peripeties, des lieux clés mais surtout, des personnages. Et peu importe son caractère ou son physique, on y trouve egalement un héros. Un être de papier, créé à l'aide de mots et de phrases. Il est le moteur et le centre du récit , les evenements peuvent prendre des tournants differents selon ces choix et ses actions. Souvent idéalisé, d'ou son titre de «  demi-dieu », le héros n'est pas toujours parfait. La plupart des héros représentent les mutations

LE ROMAN ET SES PERSONNAGES 1. L’EVOLUTION DU PERSONAGE DE ROMAN A. La construction du personnage : Le personnage de roman évolua au cour des siècles. Pour passé d’un personnage guerrier chevaleresque a un personnage plus fin mieux décrit qui a des sentiment (amoureux). on le voie dans la princesse de Clèves de Madame La Fayette personnage plus complexe on passe un cape analyse des sentiments. On commence d’écrire les vrais gens, plus uniquement les nobles. Milieu social cupide argent bal

roman. C’est un récit à la première personne, dont Meursault est le narrateur. Camus y présente donc son personnage d’antihéros au lecteur, et lui donne une première idée de la signification du titre L’Étranger. Problématique  : Comment, grâce à un incipit atypique, qui ne répond pas à toutes les attentes du genre romanesque, Camus met-il le lecteur face à la conscience d’un personnage qui créera chez lui un malaise ? Plan du texte : Après le court et très célèbre paragraphe initial

[…] bien instruits […] honnête […] aiguillon […] vertueux […] honneur […] noble » → volonté de ne pas pécherPériphrase : « Un instinct […] vertueux » → remplace la volonté divine 3- Une société harmonieuse (l.11 à 17)Les personnages vivent en osmose. Tout le monde est parfait, et vont être d’accord avec les décisions prises car elle sont excellentes. C’est le principe d’émulation. Polyptote : « Buvons […] buvaient […] jouons […] jouaient» → plusieurs temps pour

« romantique » de façon déviée. Sont dits «romantiques » un paysage de campagne fleurie, une sombre forêt ou encore l’exotisme reposant et frais d’un lagon bleu… L’adjectif suggère le rêve et s’agrémente d’un ensemble de significations parmi lesquelles le romanesque tient une grande place. On n’imagine pas, en effet, qu’un de ces paysages, merveilleux ne puisse être le cadre d’une belle histoire d’amour dont les héros, ténébreux et séduisants, seront à coup sûr des « héros romantiques ». C’est oublier que

contemporains ont été rassemblés par V. Del Litto dans sa précieuse anthologie, Stendhal sous l’œil de la presse contemporaine (1817-1843), Honoré Champion, 2001. 2. Gazette de France, 16 février 1831. 3. Voir S. Bokobza, Contribution à la titrologie romanesque : variation sur le titre « Le Rouge et le Noir », Genève, Droz, 1986 ; M. Butor, « Fantaisie chromatique à propos de Stendhal », Répertoire V, Minuit, 1982. Le Rouge et le Noir 8 qui s’est illustré, avec plus ou moins de bonheur, dans

C O R R I G É Attention ! les indications en couleurs ne sont qu’une aide à la lecture et ne doivent pas figurer dans votre rédaction. Introduction L’imaginaire des lecteurs de romans abrite une galerie de personnages d’une diversité extrême et qui ont pourtant un point commun : ce sont des êtres totalement fictifs, nés de l’imagination d’un romancier. Pourtant, ils s’imposent à nous, sont devenus des références familières – on dit « un Don Quichotte », « un Rastignac » – ; ils nous sont parfois