Juste la fin du monde

de René Bray : « Molière nous dit qu’il veut corriger les hommes et la critique s’évertue à justifier cette affirmation de circonstance. En vérité, il ne pense qu’à nous faire rire. Le théâtre n’est pas un moyen, c’est un but. La comédie n’a pas sa fin hors d’elle-même, dans une moralisation par le rire à laquelle personne ne peut ajouter foi […] : elle est une création autonome qui se justifie par sa seule existence, par la force avec laquelle elle s’impose au spectateur ». (Molière, homme de théâtre

L’intertexte biblique dans Fin de partie INTRO I- Contexte A- Depuis le XIXème l’importance de la religion décroit. B- Après une éducation empreinte de protestantisme, Beckett choisit l’athéisme C- Cependant, il lit la Bible pendant les semaines d’agonie de son frère malade L’intense activité littéraire de Beckett s’interrompt en 1954 quand il doit se rendre au chevet de son frère malade en Irlande. Celui-ci souffre d’un cancer incurable et agonise pendant des mois sans savoir

voir leur visage insiste sur le caractère mystérieux du film. On pourrait supposer aussi, étant donné la posture des personnages, qu’ils viennent de se retourner surpris par un événement, et le fait que Cobb soit juste de profil montre qu’il est moins surpris de ce qu’il se passe dans ce monde étrange de part le fait qu’il y est rester bien plus longtemps que ses coéquipiers. Et en effet lorsque l’on regarde à l’arrière plan, on voit une sorte de vague urbaine, qui semble vouloir venir s’abattre sur

P E R E L M A N P r o f e s s c \ i r à r U n i v e r s i i é d e B r u x e l l e s (1) I La notion de justice est une des plus prestigieuses et aussi des plus confuses de notre univers spiril uel. La justice désigne une valeur que tout le monde invoque et que personne n'ose désavouer. En ce sens, elle est, à proprement parler, une valeur universelle. Elle joue un rôle énorme dans l'orientation de notre action : le sentiment de justice qui nous incite à réaliser certaines aspirations,

groupe d’écrivains nommé le cercle des écrivains indépendants groupes d’écrivains qui militait a l’époque contre l’opposition tchéquoslaque. Malheureusement pour lui, son implication militante lui causera une censure total de ses pièces allant même juste qua se l’ai faire interdire de représentation. Président Havel meurt le 18 décembre 2011 alors agé de 75 d’un cancer du poumon. La république tchèque lui rendes hommage en lui attribuant une journée de deuil le 23 décembre ou plusieurs gens lui rendes

le plan terrestre, l’esprit se débarrasse de son outil, le corps physique. Devant cet organisme sans vie, certains parlent de fin définitive. Mais la mort n’est que le nécessaire abandon d’une enveloppe, afin de passer sur un autre plan. On ne meurt donc sur terre que parce que l’on doit se rendre sur un autre plan. Et, ce qui est vécu comme une séparation et une fin par ceux qui restent sur le plan terrestre est ressenti en haut, par ceux qui sont sur le plan qui va accueillir l’esprit, comme

L'amour et quelque chose qui existe depuis notre existence et qui durera jusqu'à la fin. Il faut l'avoué sans l'amour nous ne somme rien du tout. L'amour peut détruire une vie comme la remplir de bonheur. L'amour va d'un désir passionné à un amour romantique. L'amour est une chose impossible a dirigé et donc a contrôle. On dit que l'amour fini toujours mal mais c'est faux, des fois cela est vrai mais mal grès cela et encire heureux ce n'est pas toujours vrai. Ne marche pas devant moi, je ne suivrai

devient une sorte de nouveau fondateur, donnant des lois à sa patrie. Après la mort de sa femme Pythias, il prend une stagirite, Herpyllis, comme femme légitime ou comme concubine. Il en aura un fils, Nicomaque et lui restera très attaché jusqu'à la fin de sa vie. En 335 ou 334, il rentre à Athènes, soumise à Alexandre après la destruction de Thèbes. C'est alors que la rupture d'Aristote avec l'Académie fut vraiment consommée et qu'à 50 ans il fonde une école rivale, le Lycée, qui tirait son nom d'un

vie, est d'être heureux. Comme l'écrit Aristote, nous ne désirons pas seulement vivre, c'est-à-dire satisfaire nos besoins élémentaires mais nous souhaitons vivre bien, être heureux. On assiste cependant à un paradoxe entre moyen et fin, chacun consent au bonheur comme fin mais pas aux voix menant à ce bonheur, et cela vient de son caractère intrinsèque qui, pour être défini simplement ici, est un état de satisfaction durable et complet contrairement au plaisir qui lui est instantané (pourtant plaisir

velléités de révolte (le demi-habile), celui qui possède « la pensée de derrière » sans avoir la lumière supérieure qui lui permettrait de saisir la raison de la raison des effets (« l’habile »), le fanatique qui croit pouvoir mépriser la vanité du monde parce qu’il a cette lumière supérieure (« le dévot ») et enfin celui qui opère la synthèse de toutes ces vérités partielles parce qu’il pénètre les desseins de Dieu (« le parfait chrétien »). La dialectique qui sous-tend cette hiérarchisation des points