Justice Chez Platon

chacun à leur manière une idée de la morale. La moralité s'incarne alors dans le monde par l'ensemble de nos droits, devoirs ou lois, en tant qu'ils ont pour but de réaliser dans le monde un principe d'ordre moral tel que la dignité, la liberté, la justice. Se demander si la réalité est utile à la vie sociale peut paraître alors relativement superflu, dans la mesure où il paraît évident que nos rapports avec les autres sont soumis, dans la réalité, à des principes d'ordre moral révélés par nos droits

Philosophie : Gorgias, Platon Introduction : Nous savons que Platon est un philosophe grec né en 428 - 427 av. J.-C., et mort en 347 - 346 av. J.-C, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Se fut un élève de Socrate, et fut influencé par son maître dont, il reprendra le travail philosophique de celui-ci. Dans ces œuvres, pour la plupart des discours Platon cite souvent Socrate. Platon est l'inventeur de la théorie des Formes : celle-ci décrit

978-2-212-54196-0 Sommaire Introduction....................................................................... Chapitre 1 : Les présocratiques : les initiateurs ................ Chapitre 2 : Socrate contre les sophistes .......................... Chapitre 3 : Platon et la théorie des idées ........................ Chapitre 4 : Aristote, science et réalisme dans un monde imparfait .................................................. Chapitre 5 : Diogène le cynique......................................... Chapitre

Cet homme de lettre est le philosophe grec qui se nomme Platon. Né en 427 av. J-C à Athènes, il a écrit plusieurs ouvrages dont La république. De source aristocratique, il fait ses études dans une école privée d’Athènes, et poursuit son apprentissage avec Socrate. Le jeune et riche aristocrate devint le disciple le plus fidèle de Socrate. Influencé par l’exécution de Socrate, il décide d’effectuer long périple qui le conduisit à Mégare, chez Euclide (le philosophe, pas le mathématicien), et ensuite

(à la différence des règles pratiques permettant de décider des sanction, ne relève pas du divin, ne proviennent pas de l'arbitraire d'un seul homme, conçue et respectée par le plus grand nombre). Le code Hammourabi: reprend des décisions de Justice (forme de jurisprudence). I. De l'émergence de la civilisation Grecque au déclin de l'empire Romain A) République et Démocratie dans l'Antiquité 1. Période Mycénienne C'est la montée en puissance du Péloponnèse. Mycènes est une cité puissance

toute entière. C'est pourquoi il leur est nécessaire de prétendre, dans leurs discours et leurs actes, mettre leur pouvoir au service des dirigés : "Je vous menace et vous contrains pour votre bien'' tel est obligatoirement le langage du politique. Chez Hobbes, le Léviathan désigne l’État devant détenir un pouvoir absolu qui, pour la sécurité de ses citoyens, l’ordre et la paix de son royaume, doit instaurer la peur et réprimer ses adversaires. C’est que pour Hobbes, l’être humain est naturellement

une autre fin que les hommes poursuivent : c’est le bien moral. Certains se battent pour la justice, se dévouent à de nobles causes, en sacrifiant éventuellement leur bonheur. L’homme se trouve donc en face de deux fins possibles pour son existence, le bien et le bonheur, qui ne coïncident pas toujours. C’est évidemment une alternative majeure : les hommes devraient se préoccuper du bien et de la justice, tous ne le font pas, mais tous poursuivent effectivement le bonheur. Dire que le bonheur est

La justice est un principe philosophique, juridique et moral fondamental en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du droit, de la morale, de la vertu ou autres sources prescriptives de comportements. Quoique la justice soit un principe à portée universelle, le juste apparaît pouvoir varier en fonction de facteurs culturels. La justice est un idéal souvent jugé fondamentalement pour la vie sociale et la civilisation. En tant

son procès. Platon, Apologie de Socrate 4) L’art de faire accoucher les esprits, la maïeutique. Platon, Théétète (150b-150d) 5) L’ironie socratique. Xénophon, Mémorables, Livre troisième, Chapitre 6 6) Le mal et l’ignorance. Platon, Ménon, 77b-78b 7) Les sophistes. Platon, Protagoras, 311b- 314c 8) L’argent. Xénophon, Mémorables, Livre premier, Chapitre 6 9) La justice et l’injustice. Socrate dans sa cellule. Platon, Criton. 10) Procès et condamnation à mort de Socrate. Platon, Apologie de

Ménon Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et comment ? L'interrogation sur la vertu