Justice Humaine Et Justice Divine

des cas de conscience et qui veut agir en conscience. La conscience morale se soucie de la justice et doit être capable de critiquer les valeurs ambiantes. ) La capacité d'évaluer moralement les actes (conscience morale). La justice et le droit se disent chacun en deux sens : le sens institutionnel (comme réalités effectives) et le sens moral (comme valeurs idéales). 1) Au sens institutionnel, la justice est dite positive. Elle désigne le respect du droit établi ainsi que le pouvoir judiciaire

| | | |“ La justice ” | |

de vouloir poser un testament est réglé par la loi et il faut à ce moment se plier à cette procédure pour qu'elle soit valide. d)-Règles supplétives Des dispositions légales et réglementaires ne sont d'applications que si la justice n'a pas manifesté de normes expresses. Ex : Le locataire est tenu de réparer les dégâts du logis mais un accord à l'amiable entre celui-ci et le propriétaire pour partager les frais n'est pas interdit. e)-Règles techniques

société a du Bien et du Mal. Ainsi défini, le Droit et la Morale présentent donc des éléments qui les distinguent. Cependant la morale et le droit présente aussi des similitudes. Principalement, l'une de ces similitudes est de régir le comportement humain. Il en résulte alors que parfois, les prescriptions de la morale et du droit se rejoignent. Dans d'autres hypothèses, le droit et la morale ne coincident pas. Exemple: La question de l'obligation alimentaire entre colatéraux. Les colatéraux

surtout souffert tous les 2 de ce conflit. 3) La complicité de la religion et de la justice absurdité : chaque camp remercie Dieu de la même façon : chacun se comporte avec la certitude d’avoir Dieu dans son camp, d’exécuter la volonté divine, d’être favorisé par Dieu. + participation de la religion à la guerre est choquante (« tu ne tueras point ») - même chose pour le rapprochement de la justice et de la guerre : « que les Bulgares avaient brûlé selon les lois du droit public » : respect

bon »! + Importance de l’éducation = Sophistes.! ! La cité doit être fondée sur la Justice issue du Beau, du Vrai, du Bon.! ! PROTAGORAS (485-420) : la cité est la source exclusive de la morale et de la loi ; liberté tant qu’elle ne gène pas les autres.! —> Relativité : il existe autant de loi que de cités.! ! Platon : lois fondées sur une morale transcendante, expression de la Sagesse divine.! Sophistes (positivistes juridiques) : le pv doit être remis à des hommes capables de

Orientales A. Le fondement divin du pouvoir. La Mésopotamie entre le Tigre et l’Euphrate : région fertile à l’époque antique Ces villes abritent des royaumes : représentant de Dieu sur Terre = pouvoir d’origine divine (1000 av. JC) = relais entre Dieu & le peuple = personnage au dessus du commun des mortels = légitimité du roi grâce à l’origine divine. Israel : monarchie juive : détient son pouvoir de Dieu et est sacré (cérémonie du sacre) Sacre = roi choisit par Dieu, élection divine. Dieu différent du

philosophes de lumière se soit exprimé avec + de liberté que par avants. Ils réclament une grande rénovation juridique. A partit de cette période c'est le reigne de la loi qui domine avec partage de souveraineté et domination du pouvoir. Rénovation de la justice criminel, ce sont les révolutionnaire et constituant de 1791 qui vont donner le 1ier code pénal. Ainsi les base de droit nouveaux va être imposé et la loi devenir source essentielle de droit selon la philosophie rousauiste. La loi devient un instrument

a des lois injustes qui nous rendraient injustes si nous y adhérions. C’est donc que la justice peut reposer ou repose sur autre chose que les lois. Suffit-il alors d'obéir aux lois pour être juste ou faut-il autre chose? Qu'est-ce qui nous rend juste? Est-ce le simple fait de suivre les lois imposées par l'Etat parce qu'on serait incapable, sinon, de se conduire soi-même avec justice? Ou bien la justice relève-t-elle d'une aptitude morale antérieure pouvant se passer de lois extérieures?

permet de lui donner son statut, est de rétablir la justice et de l’exercer tandis que celle du juge est de « rendre la justice » et celle du juste de s’y tenir et de respecter les lois de la justice. Ces définitions montrent que le justicier, contrairement aux deux autres figures, a une part active dans la production de la justice elle-même, il ne se contente pas de l’appliquer ou de la respecter. En effet, pour respecter ou faire appliquer la justice, il est logiquement nécessaire que des lois préexistent