Justinien 533

maniérisme comnène (1058-1185) * L'intermède latin (1204-1261) * La dynastie Paléologue (1261-1453) Le premier art byzantin : Le premier art byzantin est produit entre le IVe siècle et le VIIe siècle. Il connaît son apogée sous le règne de Justinien Ier (527-565), alors qu'a lieu une reconquête temporaire de l'Italie, et se caractérise par un mélange de tradition romaine, de tradition orientale et de christianisme. Pendant cette période les empereurs ont fait leur maximum pour décorer Constantinople

romaine s’étend sur 1200 ans d’Histoire. Elle débute en 753 avant notre ère d’après Tite-Live avec la fondation légendaire de Rome (historien de la Rome antique) et prendra fin en 476 avec la chute du dernier Empereur d’Occident Romulus Augustule. Justinien règnera jusqu’en 565 et sera le dernier Empereur byzantin (Orient) à avoir reconstitué l’unité impériale. Il apparaît délicat de résumer un millénaire d’histoire juridique, il serait donc judicieux de se concentrer sur l’apogée du droit romain à

français dans le temps §1 : L’Ancien droit P1 : La diversité de l’Ancien droit Il est divers. Il y a 2 types de droit : - Un droit au sud de la Loire très influencé par le droit Romain ( droit Romain de la fin de l’empire ( principes du code Justinien). Code consacré aux personnes, aux action, .. Code complété par les juristes de l’époque. Enseigné en France ( Montpellier, Paris ) -Un droit au nord, coutumier. Un certains nb de Rois demandent d’édifier les coutumes. La population n’est pas en

il laisse un ouvrage, Histoire des Goths, qui constitue l'autre grande source concernant l'Empire hunnique et ses voisins. Sa vision reflète celle de son peuple et de la postérité d'Attila un siècle après sa mort. Marcellinus Comes, chancelier de Justinien à la même époque, est une source précieuse concernant les relations des Huns avec l'Empire romain d'Orient3. De nombreuses sources ecclésiastiques contiennent des informations utiles bien qu'éparses, parfois difficiles à authentifier et déformées

de « Nouvelle Rome », ce qui fait de son évêque, le patriarche de Constantinople, le second personnage de l'Église. Cela contribue encore à donner à la ville son caractère indépendant de capitale de l'Empire d'Orient. En 532, sous le règne de Justinien, éclata la sédition Nika, qui faillit renverser l'empereur et causa de terribles dommages à la ville. La fin de son règne fut assombrie par une terrible épidémie de peste (541-544), qui emporta près de la moitié de la population de Constantinople

rédaction du Digeste qui est une compilation de fragments de jurisconsultes du IIème siècle avant JC au IIIème siècle après JC comportant 1.500 œuvres. Le Digeste sera repris par l'empereur Justinien Ier (483-563) qui a un projet ambitieux de restauration de l'empire romain, on parlera de compilations de Justinien. Les Institutes d'Ulpien correspondent à un bref manuel recueillant des ouvrages destinés à l'enseignement du droit, ce droit est révélé à tous puisqu'il est public ayant pour but de délivrer

parties : Empire Romain d’Orient et Empire Romain d’Occident. En 330 Constantin fonde la capitale de l’Empire Romain d’Orient, Constantinople. Depuis 408 l’Empire Romain d’Orient prit le nom de l’Empire Byzantin. Le premier âge d’or (527-565) : règne de Justinien, rétablissement de l’ancien empire romain et construction basilique Sainte-Sophie à Byzance et San Vitale en Italie. Après sa mort : à intérieure crise menée par les iconoclastes et à l’extérieur les assaut barbares perses et musulmans menacent l’Empire

2.2 L'aveu D'entrée, Phèdre culpabilise Hippolyte : " Ah ! cruel... " (v. 670). Elle exprime clairement au vers suivant qu'elle sait qu'Hippolyte a bien compris. Elle ne se maîtrise plus du tout (" Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur. " v. 672). Puis nous retrouvons le complexe de sa dualité : elle se sent victime et en même temps coupable (vv. 673-674). Prise dans son discours, elle en profite pour rappeler toutes ses vaines actions pour se libérer de cet amour (vv. 675-676) ainsi

L'aveu de Phèdre D'entrée, Phèdre culpabilise Hippolyte : « Ah, cruel !» (v. 670). Elle exprime clairement au vers suivant qu'elle sait qu'Hippolyte a bien compris. Elle ne se maîtrise plus du tout « Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur. » (v. 672). Puis nous retrouvons le complexe de sa dualité : elle se sent victime et en même temps coupable (v. 673-674). Prise dans son discours, elle en profite pour rappeler toutes ses vaines actions pour se libérer de cet amour (v. 675-676) ainsi

bacille responsable du fléau. Refusant la soumission et se révoltant contre cet absurde qui touche sa ville moderne, il se trouve confronté à une situation similaire aux autres pestes qui ont constitués la réalité de notre Histoire. De la peste de Justinien jusqu’à celle de Marseille, le remède des citoyens qui vivaient cette catastrophe, résidait dans la religion. A présent, après la dernière pandémie de Chine, la guérison s’en est trouvée perfectionnée par l’apparition de vaccins médicaux. Quel que