Juvénal Habyarimana

d'être essentiellement « tutsi ». D'une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l'histoire et celui de plus grande ampleur en termes de nombre de morts par jour. DÉROULEMENT : • Le 6 avril 1994, le président du Rwanda Juvénal Habyarimana est assassiné. Pendant la nuit du 6 avril, l'attentat fut l'élément déclencheur du génocide réalisé par le Hutu Power. Sur les ondes de la Radio des Mille Collines, radio de propagande de l'Akazu, le signal du début du génocide fut dit. Les

quand les Tutsi réfugiés dans un pays voisin du Sud le Burundi, tuèrent des Hutu en 1972 (Rutinduka, 2002, p.5). Au Rwanda, les Hutu en colère firent payer les Tutsi de leur rage. Le 5 juillet 1973, un coup d’État survient et le général hutu Juvenal Habyarimana prend le pouvoir (Gervais, 2007). Durant les décennies qui suivront des politiques anti-tutsi sont mis en place et ils se voient refuser dans les postes publics. La situation des Tutsi ne fait que dégradé dans leur pays ils sont maltraités et

trentaine d’année. Les Tutsis, étant minoritaires au Rwanda, n’ont jamais réussi à appliquer le partage des pouvoirs prévu lors des Accord d’Arusha le 4 août 1993. La guerre raciale se déclencha suite à un attentat visant le président rwandais Juvénal Habyarimana. Les extrémistes hutus engagèrent alors un “nettoyage” ethnique contre les Tutsis. A partir du 23 juin, la France se lança dans une intervention militaire et humanitaire afin de mettre fin à ce génocide. Ce n’est que suite à la prise du pouvoir

françaises, très actives au Rwanda pendant la période de la préparation et de l'accomplissement du génocide, ont considéré le FPR comme composé uniquement de forces tutsies[11], adoptant ainsi la perception ethnique de la République Hutu de Juvénal Habyarimana, sachant que celle-ci risquait de déboucher sur des massacres de tutsis. La position française a consisté en un aveuglement devant la propagande du gouvernement rwandais, menant à une surestimation du risque de massacres commis par le FPR, tout

le pétrole du Biafra sont reversés aux chefs Biafrais, sous la suggestion d'Houphouët-Boigny, appelé BB pour Big Brother. Au Rwanda, ancienne colonie allemande puis belge et envers laquelle la France se sent pourtant impliquée, le dictateur Juvénal Habyarimana est tué le 7 avril 1994 ; attribué au groupe tutsi, favorisé par les colons et oppressé depuis la prise de pouvoir des Hutu en 1959, s'ensuit un génocide de près d'un million de Tutsis jusqu'en juillet, opéré par le parti Hutu Power, prenant

Grégoire Kayibanda, chef Hutu, celui-ci mène une violente campagne anti-Tutsis. De nombreux Tutsis s'exilèrent en Ouganda , tentant de revenir sur les territoire Rwandais en 1963. Mais, ces derniers échouèrent. A la suite du coup d'Etat du président Habyarimana (Hutu)pour la gouvernance du Rwanda, une nouvelles vague d'exil s'effectua. Cepedant ce dernier ne semblait pas vouloir pratiquer la politique de discrimination ethnique de son prédécesseur empêchant les Tutsis d'accéder à des postes de responsabilités

massacres de Banyarwanda (Zaïrois hutu et tutsi originaires du Rwanda et du Burundi voisins) par des autochtones. Les violences interethniques font 7 000 victimes en quatre mois. 6 avril 1994 - Au Rwanda voisin, l'assassinat du président Juvénal Habyarimana est le facteur déclenchant d'un génocide perpétré par les Hutu contre les Tutsi. 1997 - Profitant de la confusion entre Hutu et Tutsi, à la frontière avec le Rwanda, notamment au Kivu, le maréchal Mobutu est renversé et remplacé par Laurent

(Tutsis) vont s’en aller à l’Ouganda, Congo, Burundi. Dans les années 60, beaucoup de Tutsis vont tenter de revenir au Rwanda. Le premier massacre important de Tutsis en 1963. En 1973, il y a un Coup d’État politique qui va amener au pouvoir Juvenal Habyarimana (dictature Hutus) En octobre 90, le front patriotique Rwandais le FPR formé d’exilé Tutsis et Hutus de l’opposition (arrivant du Congo) avance vers le Rwanda. Parce que les exilés veulent rentrer chez eux. Il va y avoir une guerre entre

labelled as “hardliners.” These individuals are not necessarily génocidaires, but their convictions make it difficult for them to lay down their arms. Take, for example, Sylvestre Mudacumura who never tires of saying that he worked for the regime of Habyarimana, that he is loyal to him and to no one else. It is also the position of Gaston Iyamuremye who, pointing to his advanced age, tries to dissuade men younger than him, including myself, saying: “You are still young, you don’t know the inyenzi. Me,

victimes de pogroms et d’émeutes, sont contraints de se réfugier en Ouganda et au Zaïre. Lors de l’indépendance en 1961, le Rwanda devient une république hutue ou les Tutsis font l’objet de discriminations. Entre 1991 et 1993, le président Juvénal Habyarimana tente un « rééquilibrage ethnique » du Rwanda. Son assassinat, en 1994, provoque le génocide de 800 000 à 1 million de Tutsis et de Hutus modérés puis de 200 000 Hutus, en représailles. Suite à la victoire des Tutsis sur les Hutus extrémistes