Kaldor

agit sur le court terme, a pour objectifs de corriger les déséquilibres avec des effets quantitatifs. Il s’agit de lutter contre les déséquilibres à court terme matérialisés dans les axes du carré magique (à l’origine de l’économiste anglais Nicolas Kaldor 1908-1986) : croissance éco mesurée avec le Produit Intérieur Brut, plein-emploi ou chômage, inflation (stabilité des prix) et solde extérieur (solde de la balance des transactions courantes). a) Politique de relance Une politique de relance a

carré magique de Kaldor (du nom de Nicholas Kaldor, économiste britannique et pro -keynésien). Ce carré est dit magique puisqu’en réalité, ces quatre objectifs* ne peuvent être atteints simultanément. Noter toutefois que c’est le Japon qui s’en approché le plus près. 5% 10% . . . . . . 6% Taux de croissance 0% 4% 2% 0% Taux de chômage . . . 6% 4% 2% 0% Taux d’inflation Equilibre Extérieur 0% 5% 10% . . . Le carré magique de Kaldor permet de comparer

l'entreprise sont portés sur le concept des 4 « P ». Seul un marketing-mix cohérent est représenté par un carré parfait. * Du point de vue de l’économie : Le carré magique est une théorie économique élaborée par l'économiste keynésien Nicholas Kaldor (1908-1986). C’est une représentation graphique des quatre grands objectifs de la politique économique conjoncturelle d'un pays que sont : la croissance, le taux de  chômage, l'équilibre extérieur de la balance commerciale et la stabilité des prix

électroniques ou industrielles, matériels de production, ordinateurs - degré d’accumulation du capital physique représenté par la proportion de l’investissement dans le PIB Mise en place nouveau capital (Arrow, 1962) Investissement nouvelles technologies (Kaldor, 1957) meilleure organisation production + efficace taux de croissance de la productivité 4 La part des investissements des entreprises dans le PIB a généralement augmenté Part du PIB, années 70-90 La part des investissements des entreprises

Pareto : portée pratique limitée Les changements dans l’allocation des ressources font systématiquement des perdants. Si une personne perd, le changement n’est pas acceptable, même si tout les autres gagnent. LE TEST DE COMPENSATION (DE HICKS ET KALDOR): Le test de compensation stipule qu’un état Y de l’allocation est socialement préférable à un état X lorsque les individus qui gagnent à ce changement sont potentiellement en mesure de compenser les perdants et de conserver malgré tout un gain. Maximisation

la source de la valeur → Les préférences sont mesurées par une disponibilité à payer pour un bénéfice (à recevoir pour un coût) → Le bénéfice social est la somme des bénéfices et des coûts individuels → critère de Pareto → test de Hicks-Kaldor Aca Stratégie De Nivea
ACA

NIVEA – Splash & Sun

I. Analyse de la situation

1. SWOT

2. Diagnostique
Splash & sun est un produit facile d’accès qui résiste au soleil tout en respectant l’environnement malgré un prix élevé.
Le rôle de la campagne

et moins enclins à travailler comme une ‘’association’’. On remarque aussi un changement de la mentalité économique : la balance commerciale est devenu un des indicateurs clés pour mesurer la puissance économique d’un pays (‘’carré magique’’ de Kaldor). b) Les dangers du patriotisme économique dans la mondialisation La crise est propice au repli sur soi à l’échelle des pays : c’est surtout en période de crise que nous avons des réflexes protectionnistes. Le protectionnisme vise à protéger

disfonctionnements. Ces politiques se divisent en 3 groupes : politique budgétaire, politique monétaire et politique de l’emploi. L’efficacité de ces politiques économiques va être appréciée grâce à 4 variables regroupées dans un schéma, le carré magique de Kaldor : Croissance + PIB Chômage - + Balance commercial Inflation - Ces 4 objectifs sont pratiquement impossibles à réaliser en même

contrôler le processus de création monétaire. 2 / Les enjeux récents de la politique monétaire : Le cercle vicieux de la stagflation : La stabilité des prix constituant l'un des axes privilégié de la politique économique (cf. le carré magique de Kaldor), le dérapage des prix enclenché à la fin des années 70 apparaît comme un déséquilibre d'autant plus préjudiciable qu'il s'accompagne d'une stagnation de l'activité économique. Les pays touchés se trouvent alors menacés d'une spirale dépressive :

obligations, devises, créances de crédit). Ils regroupent l’ensemble des transactions réalisées sur les marchés à terme (achat ou vente d’un actif à une date ultérieure, à un prix fixé aujourd’hui). Spéculation Selon la définition de l’économiste Nicholas Kaldor, toute opération d’achat ou de vente d’une marchandise est spéculative dès lors qu’elle est motivée par l’anticipation d’une variation imminente du prix et non par l’emploi ou la transformation de ladite marchandise. La spéculation ne se réduit donc