Kaldor

productivité (cause ou conséquence de la récession ?) [thèse de l’effet de structure et tertiairisation, thèse du sous-investissement en infrastructure de BARRO, thèse du changement de système technologique des néoschumpetériens, thèse procyclique d’OKUN et KALDOR, thèse de la réglementation des libéraux, thèse de l’effet de rattrapage de SOLOW]. La crise est aussi inflationniste : X4 prix du baril au 1er choc pétrolier puis X3 avec le 2nd choc pétrolier. Chômage massif >10% dans les années 1980 stagflation

d’investissement stimule ainsi l’activité. Par ailleurs, investissement favorise l’offre des biens et des services puisqu’il permet de produire plus et mieux. Cependant, la caractéristique positive de l’investissement dans l’économie est remise en cause par Kaldor, car selon un surinvestissement très élevé conduit généralement à une crise économique. I Caractère important de l’investissement dans la croissance. II I nécessaire mais pas suffisant, certains investissements peuvent provoquer ou amplifier les

relations formelles susceptibles d'être exactement concevables5». I Pour rechercher une définition de la firme, il faut embrasser tout d'abord le système économique du regard de 1. 2. 3. 4. 5. J. Robinson, Economies is a serious subject, p. 12. Cf. N. Kaldor, The equilibrium of the firm, Economic Journal, mars 1934. Op. cit., p. 6. Cf. J.M. Keynes, Essays in biography, pp. 223-224. L. Robbins, Nature and significance of economic science, p. 63. R.H. Coase 135 l'économiste. Prenons la description

pas de consommation : mauvais partage de la VA si hausse du pouvoir d’achat, pas de profit donc il faut de la productivité : si le PT s’épuise ou est en contradiction avec le mode de régulation, alors cela se verra dans un pb de partage de la VA (Kaldor 1/3 2/3). A court terme, la relation n’est pas vérifiée. Cette contradiction apparait lorsqu’une nouvelle RI intervient et bouleverse les conditions existantes préalablement. L’innovation génère un bouleversement dans le partage de la VA : croissance

fait au détriment d’autres pays. Pour les mercantilistes, le commerce est une lutte pour accaparer des richesses qui existent en quantité limitées. L'enrichissement mutuel n'est donc pas possible. * Théorie de l’industrie sénescente de Kaldor : Nicholas Kaldor préconise une protection des entreprises nationales aussi bien au début de leur existence qu'à leur fin. C’est pour lui un moyen de prévenir une rapide chute des profits de l’entreprise concernée, et ainsi de ne pas laisser aux concurrents

sur le fil du rasoir Et pour que la croissance soit équilibrée et sans chômage, il faut que le taux de croissance naturel soit égal au taux de croissance garanti. Le néo-cambridgien N. KALDOR atténue le pessimisme du modèle HARROD-DOMAR en faisant de l’épargne une variable endogène d’ajustement. Pour Kaldor, le taux d’épargne d’un pays est une fonction croissante de la part des profits dans le produit national car la propension à épargner des capitalistes est supérieure à celle des salariés.

travaux empiriques de N.Kaldor le conduisent à un sentiment d’insatisfaction grandissant concernant les modèles macroéconomiques formels. Ce sentiment provenait de l’hypothèse d’un progrès technique neutre. Les « faits stylisés » retenus par Kaldor sont : - Une croissance continue de la production globale et de la productivité du travail à un taux constant ; - Un accroissement continu du montant de capital par travailleur ; - Un taux de profit, sur le capital, constant ; - Des rapports capital-produit

générale. Depuis peu, la politique monétaire échappe à l’intervention de l’Etat puisqu’elle est prise en charge par la Banque Centrale Européenne. B/ les objectifs de la politique économique : Ces objectifs ont été schématisés par l’économiste Kaldor sous la forme d’un carré magique. Il représente de cette manière les quatre principaux objectifs de la politique économiques qui sont : • la croissance économique : ( évaluée par le taux de croissance du PIB ) L’Etat cherche a promouvoir une

l'activité économique à court terme (la politique conjoncturelle) ou quelle vise à modifier le fonctionnement de l'économie sur le moyen ou long terme (politique structurelle). Ainsi, la politique économique se fixe de grands objectifs, dont Nicholas Kaldor fait une synthèse avec son carré magique (GRAPHIQUE CARRE MAGIQUE). Pour les atteindre, divers instruments seront au service de la politique économique et verront leur utilisation proportionnelle à l'importance de l'interventionnisme étatique

: il produit des externalités (def) positives génératrices de croissance. Cette théorie justifie donc l'intervention de l'etat (investissement en formation, en infrastructures....) 2- LE PROGRES TECHNIQUE DEPEND DE LA CROISSANCE. A- La loi de Kaldor - Verdoorn. La croissance accélère le rythme du progrés technique grace aux économies d'echelle (def) , aux investissements de Recherche-Developpement, ect.. B-Les expplications du "paradoxe de la productivité" Pour l'économiste américain Robert