Kandinsky Jugement Dernier

différents, mais tous deux en lien étroit avec la musique. Klimt, en représentant célèbre du Jugendstil, offre avec son tableau „Die Musik“, une image douce et poétique, qui, si elle a quitté la sphère du réalisme, n’en reste pas mois figurative. Chez Kandinsky, tout est devenu abstrait „Komposition“, il cherche à associer sons, couleurs et formes, à donner à voir les sentiments, et même à les entendre à travers sa peinture. a on pourra demander aux élèves dans un premier temps d’observer les deux tableaux

une nouvelle dimension à la conscience esthétique, ainsi qu'une immense contribution à l'historiographie  de la sculpture moderne, bien contre sa volonté26.  Dans le domaine de la peinture, un pas décisif est franchi dans les années 1910 lorsque Kandinsky ose  l'art abstrait, qui ne représente pas des sujets ou des objets du monde naturel, réel ou imaginaire, mais  seulement des formes et des couleurs pour elles‐mêmes.  À cette époque, même lorsqu'ils ne renoncent pas aussi radicalement à la représentation d'un sujet

proposé aux R.I.G. d’organiser en 1954, avec son appui, des entretiens consacrés aux relations culturelles entre les peuples européens et ceux du continent américain. Notre Comité lui avait donné d’emblée un accord de principe, qu’il a ratifié l’an dernier ; c’est ainsi que les IXes R.I.G. auront pour thème : LE NOUVEAU MONDE ET L’EUROPE. Un tel sujet est évidemment d’une ampleur redoutable et d’une grande complexité. Le Comité des R.I.G. s’est efforcé de le circonscrire au moins dans une certaine mesure

Né en 1887, il poursuit des études académiques classiques avant de s’intéresser à l’impressionisme. À partir de 1907, il se rend régulièrement à Paris et s’intéresse à la ville elle-même ainsi qu’aux peintres contemporains. Il fréquente alors Kandinsky, Klee ou encore Delaunay pour ne citer que les plus connus. Il meurt en 1914 pendant la guerre. Il n’a que vingt-sept ans. La partie la plus marquante de son œuvre aura finalement été peinte en deux années. Elle est à la croisée de plusieurs

Né en 1887, il poursuit des études académiques classiques avant de s’intéresser à l’impressionisme. À partir de 1907, il se rend régulièrement à Paris et s’intéresse à la ville elle-même ainsi qu’aux peintres contemporains. Il fréquente alors Kandinsky, Klee ou encore Delaunay pour ne citer que les plus connus. Il meurt en 1914 pendant la guerre. Il n’a que vingt-sept ans. La partie la plus marquante de son œuvre aura finalement été peinte en deux années. Elle est à la croisée de plusieurs

courant de «Mirabilia». Cet attachement pour la beauté décorative retardera l’apparition dans la peinture de la Renaissance florentine. Si la peinture réussit à s’en libérer, elle se distingue par des personnalités singulières. On peut porter un jugement négatif sur le manque de rigueur plastique, mais, cette œuvre s’inscrit bien dans la grande tradition byzantine (icônes). Par l’éblouissement des teintes, il fait correspondre l’émerveillement de l’esprit pour accéder à l’étincelle du mystère sacré

Canada par l’entremise du Programme d’aide au développement de l’industrie de l’édition (PADIÉ) pour nos activités d’édition. Mise en pages : PRESSES DE L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC Couverture – Conception : RICHARD HODGSON Illustration : WASSILY KANDINSKY (1866-1944), Improvisation 7, 1910, huile sur toile, 131 cm x 97 cm, Tretyakov Gallery, Moscou. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 PUQ 2003 9 8 7 6 5 4 3 2 1 Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés © 2003 Presses de l’Université

analyses nous permettront d'identifier les éléments fondateurs de cette esthétique. Puis, une définition de l'École de Dakar et en quoi elle consiste mettra en lumière d'autres aspects des productions visuelles de l'époque. Dans le troisième et dernier chapitre, une analyse formelle et thématique d'un corpus d'œuvres tirées de l'exposition de 1974, Art Sénégalais d'Aujourd'hui complètera le portrait des éléments nécessaires nous permettant de valider notre position. Ainsi, à partir des principaux

s’assimile (et bien trop souvent se réduit) à un acte de communication, pour donner ce qu’on appelle aujourd’hui le « design de communication », qui est l’objet de cet ouvrage. On s’explique aussi que puissent s’être développés, à la fin du siècle dernier, des cabinets ou agences de design, au rythme de l’externalisation des coûts industriels, les entreprises abandonnant leurs ateliers internes de conception et d’évolution de leurs produits, de leurs architectures, de leurs marques. Évolution périlleuse

s’assimile (et bien trop souvent se réduit) à un acte de communication, pour donner ce qu’on appelle aujourd’hui le « design de communication », qui est l’objet de cet ouvrage. On s’explique aussi que puissent s’être développés, à la fin du siècle dernier, des cabinets ou agences de design, au rythme de l’externalisation des coûts industriels, les entreprises abandonnant leurs ateliers internes de conception et d’évolution de leurs produits, de leurs architectures, de leurs marques. Évolution périlleuse