Kant Croyance Et Raison

Olympe de Gouges : « Déclaration de la femme et de la citoyenne », Postambule, 1791 En quoi est-ce le discours polémique d’une femme des Lumières ? L’époque des Lumières, au XVIIIe siècle, est une époque de changements des mentalités, des croyances, où on favorise le savoir et les connaissances. Ces changements s’opèrent dans tous les domaines : la littérature, la science, les arts... Cette période marque aussi la naissance du mouvement féministe notamment en littérature avec Voltaire, Diderot

et maintenant et absolu I commencement du savoir comme science systématique Savoir de l’immédiat Conscience Phéno chap1 La certitude sensible qui concerne le ceci et la visée comme / Hippolyte la visée du ceci Lefebvre le pt de vue intime Kant formes pures / Hegel déterminations de la nature elle-même pure extériorité à soi Faudrait une régression en deçà de l’espace et du temps, intersection sans les deux axes Déictique / le non ceci universel « nous ne parlons absolument pas comme nous

"philosophie" origine grec: philosophein (= rechercher la culture, étudier à fond qqch, méditer) Philo-sophie philein- aimer / sophie> sagesse philia- amour philos- ami (sagesse = attitude morale, qui consiste à agir avec raison, c'est éviter les excès, les passions; renvoie aussi au savoir, c'est aussi alors posseder des connaissances) Pythagore : le nom de sage ne convient qu'à Dieu, l'homme ne doit embitionner que le titre d'ami de la sagesse la philosohpie est

parfaite de l’univers, Aristote comme un vivant éternel et parfait, et Spinoza comme une substance infinie. Le Dieu des Philosophes est un concept, compréhensible par la raison, c'est-à-dire par le bon sens et le commun des mortels, contrairement au Dieu des religions, qui dépend d’une révélation ou d’un acte de foi.  La raison, au sens philosophique du terme, est quant à elle une connaissance naturelle, par opposition à la foi, c’est un principe d’explication, une justification. Ces définitions

Croire et savoir "La croyance [das Fürwahrhalten] est un fait de notre entendement susceptible de reposer sur des principes objectifs, mais qui exige aussi des causes subjectives dans l'esprit de celui qui juge. Quand elle est valable pour chacun, en tant du moins qu'il a de la raison, son principe est objectivement suffisant et la croyance se nomme conviction. Si elle n'a son fondement que dans la nature particulière du sujet, elle se nomme persuasion. La persuasion est une simple

Le mouvement des Lumières est né en Europe au XVIII èmesiècle. Il a reçu le nom d'Enlightement en Angleterre et d'Aufklärung en Allemagne. Ses représentants les plus célèbres sont, outre Emmanuel Kant, Montesquieu, Voltaire, Denis Diderot, Jean Le Rond d'Alembert, Jean-Jacques Rousseau et David Hume. Cette période que l'on appelle "le siècle des Lumières" se caractérise par un désir de progrès dans tous les domaines : politique : remise en question de la monarchie absolue de droit divin, religieuse

est considérée comme un genre de connaissance peu fiable fondée sur des impressions, des sentiments et des croyances. Ainsi ne relevant pas d’une connaissance rationnelle l’opinion semble se situé à l’opposé de la raison qui elle est la voie royale dans la recherche de la vérité. En effet c’est ce qui permet à l’homme de juger et de déterminer sa conduite mais aussi de confirmer une croyance et de la transformer en connaissance. Néanmoins dans de nombreuses situations l’homme ne semble pas vouloir

extérieure. Cette conviction intérieure est donc profondément ancrée en chacun de nous. Cependant, la liberté ne serait-elle pas une illusion ? Ou pour le dire autrement, le fait de se sentir libre n’est-il pas susceptible de ne renvoyer qu’à une croyance illusoire ? Le sentiment immédiat de notre liberté est-il vrai, c’est-à-dire renvoie-t-il à une véritable connaissance de soi-même ? elle doit être suffisamment explicite sans en dire trop, sans être trop « lourde » : Nous tenterons, tout d’abord

manière d' abus de langage ? * 3. Suis-je le mieux placé pour savoir ce que je suis ? Question topique. Celle de la place du sujet-supposé-savoir. 1. Sujet psychologique et intuitif ( à la manière d'Amiel ou de Bergson ), transcendantal ( selon Kant ), fictionnel ( d'après les artifices projectifs de l'art romanesque ). Ou sujet miroir -autrui supposé mieux placé que moi-même pour savoir ce que je suis parce qu' à distance et ainsi plus apte -semble-t-il-, à prendre la mesure de mon identité

nature avec son ami un auteur a dit:"à ses cotes, je me sens transparent, sans secret et sans défense" (Amitié) "L'amitié périt de négligence et d'absence de raison d'être, car elle n'est pas un sentiment éthéré sans relation avec ses conditions d'exercice"(M.Onfray, La sculpture de soi) (Amitié) "L'amitié périt de négligence et d'absence de raison d'être, car elle n'est pas un sentiment éthéré sans relation avec ses conditions d'exercice"(M.Onfray, La sculpture de soi) (Amitié) " C'est dépouiller l'amitié