Kant Franc Maconnerie

sollicitude et son souhait de me rassurer dans l’avancée dans l’obscurité a éliminé toute appréhension. Tout au long de cette soirée, j’ai tenté de décrypter les symboles de ce parcours initiatique. Sans doute en ai-je oublié. Je pensais aux premiers francs-maçons dont le parcours devait être plus réel et que les embûches auxquelles j’ai dues faire face devaient être bien fades à côté des parcours anciens. Que devaient affronter, en ces temps anciens, les nouveaux Frères aux épreuves de l’eau, de l’air

charnière entre le monde du métier au quotidien des Apprentis et Compagnon et le vaste domaine de la pensée et de l’action du Maître. Ce symbole fait partie des plus anciens de notre ordre. Il faut en rechercher l’origine à l’aube de notre Maçonnerie et de ce degré de Maître. Il faut en rechercher l’idée dans un contexte historique d’émancipation, de questionnements, de brassage d’idées marquant l’avènement du siècle des lumières. Il faut remonter à la greffe effectuée par nos pionniers

pierre et « de la rendre parfaite à son gré ». Pour J. Boucher, donc, la pierre brute est un « passage » initiatique. La pierre brute l'Apprenti, devra se dégrossir pour parvenir au Soi, se débarrasser des atteintes à l'édifice global que forme la Maçonnerie. Sur le plan opératif, la « pierre brute n est aussi un « passage » entre le bois et la pierre taillée. Ce qui rejoint, sur un autre plan, les considérations de Boucher. Mais il signifie aussi sédentarisation, stabilisation ; Guenon dit la «solidification»

A.·. L.·. G.·. D.·. G.·. A.·. D.·. L.·. U.·. G.·. L.·. C.·. I.·. G.·. L.·. P.·. A.·. L.·. R.·. L.·. FLEUR DE LYS N° 20 R.·. E.·. A.·. A.·. O.·. ABIDJAN LAGUNE .·. V.·. M.·. et vous tous mes BB.·. AA.·. FF.·. en vos grades et qualités. La L.·. Maç.·. est une microsociété humaine très particulière, organisée et hiérarchisée au plan des responsabilités de fonctionnement assumées par des OFF.·. . Pour diriger la L.·. , le V.·. M.·. , Off.·. principal de la L.·. , se fait

la fidélité et l’amour, entre les hommes et en particuliers entre frères.  La fraternité n’est pas quelque chose d’innée certes mais la loge maçonnique est vraiment propice à l’épanouissement fraternel, c’est ce que je vis depuis mon entrée en maçonnerie. Solidarité, indulgence, fidélité, tolérance, des concepts qui très vite deviennent une évidence. La chaîne d’union est formée d’anneaux qui séparément sont inutiles alors qu’unis, ils forment une chaîne. Les références historiques sur la chaine

indispensables quand à la réalisation de notre pensée à l'intérieur comme à l'extérieur du temple. Aussi , dans un premier temps, nous évoquerons comment la corde à nœud est un outil essentiel dans la maçonnerie opérative (I) et comment dans un deuxième , il est devenu un symbole fort dans la maçonnerie spéculative et même au-delà (II). Un outil de la construction opérative A la lumière de notre introduction , nous avons pu constater que la corde à nœud est un outil indispensable

accompagnée de l’étude approfondie des divers rituels. La musique en Loge doit en effet valoriser les divers moments des tenues et rehausser la solennité des cérémonies. Après cette introduction je vais vous parler de la Colonne d’Harmonie. Dans la maçonnerie anglaise-écossaise le chant était pratiqué depuis le début de la création des Loges. Certaines chansons actuelles sont déjà présentées dans les constitutions d’Anderson de 1723, tel que chant du maître et celui de l’apprenti-entré. Le chant fut

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1 La Porte basse ou « Que le haut & le bas n’est qu’une même chose » C’est une porte, elle est basse. Il peut arriver que des maîtres francs-maçons, certainement Rose-Croix ou derniers survivants des Templiers, demandent à un apprenti, de plancher sur « la porte basse ». Mais la « porte basse » existe-t-elle ? Et, si elle existe, symbolise-t-elle l’humilité, avant l’accès à la lumière ? Sans doute, ces grands maîtres ont-ils entendu les paroles de Jésus, et celles-ci résonnent-elles encore

Vénérable Maître et mes Frères en vos grades et qualités. Notre second surveillant m’a demandé pour sortir du Silence de réaliser un travail sur : « Le Silence ». Curieux me suis-je dit tout d’abord ? Faut-il le mimer en m’y replongeant et demeurer muet devant vous ? Difficile ensuite ? Comment expliquer en effet le Silence, par définition une absence de sons, en prononçant une série de mots, une suite de petits bruits ? Parler du Silence est donc déjà faire grand bruit car le Silence est TOUT