Kant Pense T On Bien Quand On Pense Seul

FORMATION CONTINUE 2005-2006 Lecture collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement effectif de la première séance illustre déjà cette salutaire « résistance du réel » à nos projets les plus ambitieux… Le schéma suivant est donc susceptible de quelques variations : Première

pas d'exister. Anaximandre n'émet, enfin, qu'une hypothèse sans en avoir de preuve. e) Pythagore (570 – 512 ANC) de Samos est plus intellectuel dans son approche. Il pense que le principe de l'Univers est caché dans les nombres. Pour lui les rapports arithmétiques et mathématiques sont la base bien qu'ils n'aient rien de matériel. Tout s'expliquerait par ces nombres. Pour lui, les nombres sont la clé unique de tout ce qui est. Ex: la nature du son dépend de la longueur d'une

le présent du futur passé au présent, mais sans les affects. Pathologie. -Autre conception : le temps circulaire. Le temps circule en circularité. -temps froissé : Serres -Kant (Métaphysique des mœurs) : nous pouvons devenir autonome, c’est à dire se donner à soi-même sa propre loi. 2 impératifs : impératif hypothétique (soumis aux conditions) et catégorique (inconditionnel) citation : « agit de telle manière que la maxime

nous pouvons avoir en notre esprit des représentations qui ne sont qu’imaginaires (ex : la représentation d’une Chimère) donc fausses car ne renvoyant à rien d’existant en dehors d’elles, et qui pourtant ont une certaine réalité en tant qu’elles sont bien des choses dans notre esprit. Ayant ainsi explicité la différence de la vérité et de la réalité, il n’en faut pas pour autant conclure que ces deux concepts sont sans rapports aucun. C’est même autour de la question de ces rapports que s’affrontent

permettant de distinguer le bien du mal et ayant un but principalement pratique, et la conscience comme source de connaissance de soi et du monde et ayant un but principalement théorique. Les Grecs et le concept de conscience « Rien de plus misérable que l’homme qui tourne autour de tout, qui scrute, comme on dit, « les profondeurs de la terre », qui cherche à deviner ce qui se passe dans les âmes d’autrui, et qui ne sent pas qu’il lui suffit d’être en face du seul génie qui réside en lui

1 - Le sujet ♦ Psychologique : Le sujet est celui qui peut se soumettre à lui même des questions. Le sujet se prend lui même pour sujet de réflexion « je pense donc je suis ». Il est le sujet de sa propre réflexion. Le sujet est une pensée capable de se penser plus tout ce qui permet d'avoir cette pensée. René Descartes est un sujet pensant. Freud parle de sujet, il entend le corps en même temps que l'esprit. On a le problème de l'unité du sujet. ♦ Métaphysique de l'esprit : D'après Descartes

Sommes-nous libres ? L’introduction doit comporter le problème contenu dans le sujet. Ceci n’est pas un problème : Nous allons nous demander si nous pouvons ou non décider seul et agir à notre guise ? Ceci est un problème : Nous pensons décider seul et nous pensons agir à notre guise la plupart du temps. Or, outre les moments où nous ne pouvons pas suivre nos choix pour des raisons extérieures, nous connaissons aussi des moments où nos décisions sont faites sous influence et pas tout à fait

affirmer que l’homme a une conscience. Être conscient c’est dire que l’homme est avant tout un individu, il est unique. L’homme est un sujet libre qui peut se détacher du monde, voire s’y opposer. Il ne se réduit pas à ce qu’il est pour le monde, il se pense indépendamment du monde extérieur - les artistes montrent ces idées avant tout le monde : → Montaigne : l’individu devient une réalité évidente ; l’homme devient intéressant → le roman a été inventé avec la conscience (individualité) ; valorisation

De prime abord, il semble bien que l’opinion ait tort, au sens où elle ne se justifie jamais pleinement. Ne peut-on cependant lui reconnaître un sens, d’abord au plan de la vérité, ensuite au plan pratique et politique ? I - L’opinion semble avoir toujours tort Avoir raison, ce n’est pas seulement dire la vérité, pas plus qu’avoir tort n’est nécessairement énoncer une erreur. Avoir raison, c’est être fondé dans ce qu’on dit ou dans ce qu’on fait. Or, on peut très bien dire la vérité sans être capable

peut s’interroger sur la place du bonheur dans l’ensemble des finalités que se fixe l’homme ? Est-ce le bien suprême ? Le but de toute action humaine ? La recherche du bonheur suffit-elle à donner sens à l’existence ? I – Difficultés à définir le bonheur 1 – Le bonheur se vit plus qu’il ne se pense. Le bonheur relève avant tout du vécu, bien plus que de la pensée et de l’analyse. Toute pensée, tout discours est peut-être inutile, parce qu’il n’y aurait rien à dire, rien d’intéressant à dire sur