Kayapos

Chloë Boilard et Robyn Moke  M. J.Camirand  HSP3U/3C  22 septembre 2015    Mini­recherche anthropologique  Étude d’une société primitive    Quel est le lieu d’origine et la population des Kayapo?  Le lieu d’origine de la tribu des Kayapo (« ceux qui ressemblent aux singes »), aussi  connu sous le nom Mebêngôkre (« l’homme venu de l’eau »), est la province de ​ Pará, dans le  nord du Brézil. Ils vivent dans differents villages répandus dans la forêt, proche de la rivière  Xingu, un segment de la rivière amazonienne mesurant environ 2 000 

aux murs en torchis abritent de grandes familles. Ces indiens ont abandonnés la nudité de leurs ancêtres pour des shorts ou des tee-shirts, des robes et des tongs. Ils peignent encore leurs corps lors de cérémonies. Une journée en Amazonie avec les Kayapo

il est membre du conseil d'administration de la fondation David Suzuki, il a participé à la création de la Rainforest Foundation (pour préserver la forêt vierge amazonienne), aux côtés du reporter belge Jean-Pierre Dutilleux, à la demande du chef kayapo Raoni. Avec sa femme Trudie Styler, il est engagé très activement dans son organisation et ses actions ; il organise chaque année en avril un concert caritatif. En 1988, Sting participa à la grande tournée d'Amnesty International qui passa notamment

Indiens, tels que les Kayapó, les Arara, les Juruna, les Araweté, les Xikrin, les Asurini et les Parakanã, dépendent pour leur survie. Les moyens de subsistance de milliers d’Indiens qui dépendent étroitement de la forêt et de la rivière seront détruits. L’afflux d’immigrants dans la région que suscitera la construction du barrage provoquera d’inévitables conflits et introduira des maladies mettant la vie des Indiens en danger. Dans une lettre adressée au président Lula, les Kayapó ont déclaré : ‘Nous

cette tribu n'est pas forcément condamnée. Ma position est qu'on doit arrêter de chercher des tribus. La FUNAI explique que deux membres de cette tribu sont sortis de la forêt pour rencontrer un groupe proche d'eux et que nous connaissons: les Kayapos. Pourquoi? C'est avant tout la faim, tout bêtement, qui les pousse hors de la forêt. Et ils continuent aussi à faire des échanges avec les groupes qu'ils connaissent. Ils peuvent aussi avoir entendu dire que quelque chose pouvait les menacer,

charisme d’un politicien. Pensons à ces personnalités qui nous ont émues par leur force, leur persévérance, leur courage face aux problèmes de ce monde… Je citerais ainsi pour exemple Sœur Emmanuelle, l’Abbé Pierre, le chef Raoni de la tribu des Kayapos et Martin Luther King. Le charisme que l’on observe chez ces personnes est indéniable, de plus c’est ce charisme-là qui se rapproche le plus de la définition vue plus haut : cette qualité agit pour le bien commun. Ces personnes se sont battues contre

les conséquences sur ces personne s vient depuis des années sur ces terres qui se voit déforester chaque jours. Voici présentées, différentes ethnies vivant en Amazonie: - Aguaruna - Chimane - Guarani - Wayampi - Shipibo-Konibo - Piaroa - Kayapo - Maku - Nambikwara - Urubu-Kaaor - Yanomami Aujourd’hui, il représente plus de 200000 personnes. - Les conséquences sur la planète. Attention: La corrélation entre les déforestations dans le monde et donc en Amazonie, et les modifications

encore plus local et d’autant plus actuel, est l’impact social engendré par la surexploitation de la forêt amazonienne et du fleuve Amazone. L’exemple le plus parlant est l’impact sur les populations autochtones, telles que le peuple kayapo , dont un des chefs, Raoni Metuktire , se bat à l’encontre de la destruction de la forêt amazonienne. Ces représentants autochtones cherchent du soutien, et passent à travers différentes échelles pour l’obtenir

renversement de perspective, devient un indésirable intrus. La politique du vide La disneylandisation de peuples longtemps dominés, assignés dans un folklore figé à destination des touristes, est universelle : Masaïs, Bushmens, Dogons d’Afrique, Yanomamis, Kayapos et Guaranis d’Amérique du sud, Dayaks de Bornéo, femmes girafes karens en Asie orientale, etc. Cette façon de ne tolérer l’autochtone et de le placer sur un piédestal que s’il accepte de rester à l’écart de la civilisation industrielle occidentale

période où elle a été le plus développée, les années 1980 ayant vu la constitution de nombreuses collections dans les laboratoires de biotechnologie travaillant sur les substances naturelles. 3 Selon la terminologie proposée par Redford (1990). 4 Les Kayapó du Brésil se sont particulièrement illustrés dans cette voie à partir du milieu des années 1980, conseillés notamment par Darrell Posey, un des fondateurs de la Société Internationale d’Ethnobiologie. 126 Cahier du GEMDEV n°30 – Quel développement