Keynes Contre Monétariste

difficile. - Un compromis fordiste entre salarié et capitaliste : le caractère aliénant du travail sera compensée par des augmentations de salaire réel. - Le partage de la VA est plus favorable aux salariés qu’auparavant ( 70% pour les salaires contre 30% pour les profits en France entre 1945 et 1970 ). - Relation conflictuelle dans les entreprises : importance des syndicats dans le rapport salarial fordiste. - L’espace de négociation social est collectif ou « macro-social ». - Les

 population  :   chasteté    et  célibat  (on  doit  se  marier  le  plus  tard  possible).  Mais  Malthus  ne  veut  pas  que   l’Etat  intervienne.  De  plus,  il  est  contre  le  fait  d’aider  les  pauvres  à  sortir  de  la  misère  :  ils  se   reproduisent  et  entrainent  les  autres  dans  cette  dernière.  Ce  pasteur  est  également

• Les grandes théories de la monnaie (quantitative, keynésienne, monétariste) • Les outils de la politique monétaire et le rôle d’une BC « La monnaie est dans l’Etat ce que le sang est dans le corps humain ; sans l’un on ne saurait vivre, sans l’autre on ne saurait agir » John Law « L’importance de la monnaie découle essentiellement du fait qu’elle constitue un lien entre le présent et l’avenir » J.M. Keynes La monnaie est au cœur des mécanismes économiques dans les sociétés

Macroéconomie fermée Licence Economie, niveau L2 Année Universitaire 2010-2011 Chapitre 1 « Le modèle keynésien IS-LM» Zoulfikar MEHOUMOUD ISSOP Introduction • Keynes, fondateur de la macro moderne avec « la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la Monnaie », en 1936. • Sur fond de la crise de 29, Keynes remet en cause le dogme de l’autorégulation du système économique et affirme que le monde peut connaître des crises. • Dans ce chapitre, on expose le modèle IS-LM proposé par

modèle induit au contrôle social lequel recouvre l’ensemble des sanctions positives et négatives auxquelles une société recourt pour assurer la conformité au modèle établi. DURKHEIM dénonce ainsi l’homo sociologicus qui est selon lui un être passif. KEYNES et RAMONET s’expriment, eux, en termes de pensée unique pour dénoncer l’incapacité des êtres à raisonner de façon autonome.   Le libéralisme   Origine   Fin XVIIIème siècle A.Smith (école libérale classique) fait la synthèse de toutes les théories

milieu du XVIIIème siècle, les économistes vont penser la possibilité d’une économie entièrement régie par le fonctionnement des marchés. Adam Smith explique que le marché garantit à chacun la possibilité de troquer le surplus du produit de son travail contre les denrées dont il a besoin. En effet, ces échanges ne reposent pas sur la générosité mais sur l’intérêt de chacun. C’est la théorie de la « main invisible ». Dans une économie de marché, non seulement la question des motivations, du bien et du mal

strictes : * L’annualité * L’unité * L’universalité * Sincérité * La structure et le rôle économique du budget L’école libérale considère que le budget de l’état doit être limite aux fonctions régalienne Les keynésiens par contre justifie le poids de l’état et son intervention pour financer les fonctions de l’état providence L’équilibre budgétaire n’est pas une fin en soi 2) Quelques explications techniques a propos du budget A) Les dépenses Les ressources

réserve de valeur, la monnaie doit conserver son pouvoir d'achat par rapport à l'économie réelle. La valeur de la monnaie doit donc rester stable et ne pas subir de dépréciation de nature inflationniste. La monnaie est ainsi, selon l'expression de Keynes "un lien entre le présent et l'avenir". Cette dernière fonction participe donc au développement économique car l'épargne est indispensable à l'investissement, et donc à la production. Cette fonction de réserve de valeur explique que pendant longtemps

monétaires mises en place dans l'UE 1)Définition La politique monétaire consiste à jouer sur la quantité de monnaie en circulation à l'intérieur d'un pays, c'est-à-dire sur la masse monétaire, pour s'adapter aux besoins de l'économie. Pour les monétaristes comme Milton Friedman, économiste américain et Nobel d'économie 1976, seule la stabilité des prix permettrait la croissance économique. La quantité de masse monétaire a en effet un rôle important: E. Fisher la mit d'ailleurs en relation directe

investissements. De plus les agents ne sont pas incités à épargner du fait des taux d’intérêt assez rigides, ce qui ne privilégie pas l’autofinancement. Adam Smith dans sa théorie classique sur la relation épargne-investissement (et s’opposant sur ce point à Keynes), dit que même si l’épargne est envisagée comme un solde, le taux d’intérêt reste son moteur essentiel. Au niveau des banques commerciales le refinancement auprès de la banque centrale est rendue obligatoire et systématique afin de répondre aux besoins