Keynes Contre Monétariste

occidentaux qui s’accentuent après 1945 (vague de fusion acquisition), la plupart des du temps on a des marchés oligopolistiques (quelques producteurs qui dominent le marché), démontré par Alfred Chandler (idée de formation des entreprises géantes, contre les propos d’Adam Smith et la main invisible). Ronald Coase, est néoclassique et dit que le marché a fait des coûts, il y a des coûts intra secs aux marchés, il n’est pas parfait en matière de formation et de circulation, transmission de l’information

ainsi faire reposer la capacité d’échanger les biens sur leur utilité (valeur d’usage). Selon Smith, les deux sont différents car l’eau par exemple a une forte valeur d’usage (elle est très utile), mais une faible valeur d’échange (on ne l’échange contre quasiment rien). En revanche, le diamant a une forte valeur d’échange, mais une faible valeur d’usage. Mais tous les biens viennent d’un travail. Le travail se trouve à la base de toute richesse. Ainsi, si le travail a été important pour la conception

actionnaires (dividendes) Salaires faibles = hausse demande de travail Salaires élevés = baisse Demande de travail REDISTRIBUTION Cercle vertueux de la croissance économique : gain productivité = / pouvoir achat = / consommation = / production KEYNES : salaire rigide à la baisse, le marché peut fonctionner durablement en équilibre de sous-emploi des facteurs de PN, un certain taux de chômage est inévitable LIBERAUX : salaire flexible à la baisse, la rencontre de l’Offre et la Demande permet

budgétaire autrefois préconisé pour relancer l’économie   Le déficit budgétaire était au départ un outil de politique économique permettant, au mieux,  de stimuler l’économie et au pire de limiter les effets d’une récession. Fondé sur les postulats de Keynes, l’effet multiplicateur fit d’abord ses preuves dans le cadre du New Deal pour enrayer la crise de 1929. A cet effet, le budget fédéral accuse un déficit de 3,6 milliards en 1936. Ce déficit apparaît alors comme salutaire.  Fort de ce succès, l’application

politique monétaire sont assez rudes. Dans notre travail nous allons nous concentrer sur celui que nous considérons comme le plus distinct, celui des Keynésiens et celui des Monétaristes. Ces derniers sont opposés à la base par leur conception de la monnaie. Les Keynésiens sont, comme leur nom l’indique, les disciples de Keynes et s’appuient sur deux chefs d’œuvre : Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie et Traité de La Monnaie. Parmi eux, on compte : John HICKS [1904-1989,

introduction de la monnaie et démontrent que l'introduction de la monnaie ne remet nullement en cause cet équilibre. L'intégration de la monnaie dans l'équilibre par les monétaristes, donne une nouvelle impulsion à la théorie quantitative. Mais la prise en compte du rôle joué par la monnaie dans l'économie est introduite par Keynes qui insiste sur la prise en compte de la monnaie dans les politiques économiques. Chapitre 1 : Analyse quantitative de la monnaie : La théorie quantitative insiste sur le

théoriques en matière de politique économique autour de trois grands courants de la pensée économique: –Le courant classique: •Avec ses différentes ramifications, il se méfie de l’Etat et est plutôt favorable au laisser faire. –Le courant keynésien: •Keynes postule que l’économie n’est à l’équilibre qu’accidentellement; la politique économique vise à corriger les déséquilibre constants. –Le courant marxiste: •Pour Marx, la propriété privée est une aberration. L’Etat a donc une vocation exclusive à

cause consiste en ce qu’une politique budgétaire menée seule augmente la demande de monnaie alors que l’offre de monnaie est exogène et donc stable : le taux d’intérêt augmente, ce qui a pour effet de déprimer l’investissement et donc la demande. Keynes préconisait de résoudre ce décalage entre demande et offre de monnaie par une politique monétaire d’accompagnement et cette double action de relance de la demande a fait la fortune de l’expression policy mix. Avec ce double soutien, l’effet obtenu

structure d’accueil macroéconomique On peut dire que la légitimation théorique de la politique conjoncturelle a été apporté par Keynes (in Théories générales de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie en 1936). Les divergences théoriques La question de cette légitimation reste d’actualité. Est-il légitime de continuer l’usage de cette politique ? Les monétaristes considèrent qu’elles sont loin d’être à la hauteur de leur objectifs. §2 Les modalités de la politique conjoncturelle

traiter du problème des choix, comment tirer le meilleur partie de mes ressources limitées. L'analyse microéconomie s'est développé à partir du 19ème siècle (recours mathématiques) tandis que la macroéconomie a connu son essor au 20ème siècle grâce à Keynes. On va avoir une coïncidence entre les intérêts particuliers et généraux (somme des intérêts particuliers). On peut regrouper les différents agents éco en trois grandes catégories : les entreprises : produire, offre des biens et services marchands