Keynes Et Développement Durable

faut pas confondre la croissance et le développement économique. La croissance est une évolution quantitative, alors que le développement est une évolution à la fois quantitative et qualitative. Le développement est un ensemble de transformation structurelle (par exemple l’évolution de la part de chaque secteur dans la production nationale, l’importance de l’emploi agricole) ainsi qu’une accumulation de richesse (infrastructure, savoir faire) le développement se traduit par l’amélioration du niveau

développer. L'objectif de l'économie n'était plus l'enrichissement au sein de la famille, mais au niveau de la nation. L'État va encourager cet enrichissement car il a une volonté de monter en puissance contre l'universalisme de l'église (c'est le développement des États nations). C'est à cette période qu'apparaît le courant des mercantilistes (1500-1750), puis celui des physiocrate (1700-1770) qui vise à enrichir l'État nation par le commerce extérieur et des politiques protectionnistes (barrières douanières

qui surviennent comme moyen de pn dans le présent et das le futur -Le capital technique sont les biens de pn incorporant du Pt, il renvoie tant à des biens matériels qu'à des biens immatériels. Ces capitaux peuvent etre qualifiés de fixes ( biens durables participant à plusieurs cycles de pn) ou de circulants ( détruits au cours d'un cycle de pn) -Le capital travail , le capital humain de Gary Becker (1964) notamment apporte une autre explication de la croissance qui se base sur les capacités

En fonction de leur destination : – biens de consommation, objet de consommation finale, – biens de production, objet de consommation productive. • En fonction de leur durée de vie – biens durables, – Biens semi-durables, menacés d’obsolescence: ils deviennent techniquement dépassés – Biens non durables = biens périssables • • Les biens non marchands sont fournis par les Administrations, soit gratuitement, soit à un prix inférieur au coût de revient. Les biens publics et les biens privés. Les

économique 1.1. Le modèle keynésien Les politiques budgétaires expansives se sont inspirées des théories keynésiennes. En effet, dans LA THEORIE GENERALE DE L’EMPLOI , DE L’INTERET ET DE LA MONNAIE, ouvrage fondamental publié en 1936, John Maynard Keynes justifie l’intervention de l’État dans l’activité économique pour palier aux déficiences du marché, sortir des situations de crise et favoriser la croissance économique. Il préconise un soutien de la demande, c’est-à-dire de la consommation et de

individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres, avec l'ouvrage majeur de John M. Keynes, intitulé Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie[]. De nos jours, l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc. Sommaire I- Histoire

esclaves sont considérés comme étant du bétail. Importance du commerce, source de création de richesse. * L’Occident européen va connaître un développement à partir du XV°S. * Saint Thomas d’Acquin au XIII°S. : importance de la propriété privée, du travail, interdiction de l’usure (prêt à intérêt) ; mais défend le prêt à intérêt s’il permet le développement économique. * Oresme au XIV°S. : Il insiste sur les formes de monnaie métallique le cuivre pour les petits paiements, l’argent pour

droits de propriété et la sécurité. I) Comment définir et mesurer la croissance économique ? A) La croissance et le produit intérieur brut (PIB) 1) La croissance économique Croissance économique La croissance économique correspond à l'accroissement durable de la production globale d'une économie. C'est un phénomène quantitatif de longue période. La croissance économique est un phénomène quantitatif de long terme : Une phase d'expansion économique : augmentation de la production, accélération du rythme

donner un contenu analytique plus précis à la notion d'économie classique : pour Marx comme pour Keynes, celle-ci se définit à partir de l'adhésion à certaines conceptions théoriques, et non à partir d'un découpage chronologique. Mais ils ne s'accordent pas sur le critère constituant la pierre de touche de l'économie classique : chez Marx il s'agit de la théorie de la valeur-travail, alors que Keynes attribue ce rôle à la loi des débouchés. Des frontières incertaines Une telle diversité de

longtemps insisté sur sa volonté de se centrer sur l’avenir, en jouant essentiellement sur l’investissement, c'est-à-dire l’acquisition de biens de production durables. Pour lui, il ne s’agit pas simplement de mesures conjoncturelles (retrouver le chemin de l’expansion), mais bien plus d’agir sur la croissance économique, c'est-à-dire l’augmentation durable de la production globale de l’économie. De fait, des mesures sont prises dans la plupart des pays pour développer des secteurs innovants, comme celui